Mini-dreamer en blanc

Michel Dunberry a écrit:Je modifie mon offre:
Je ne crois pas que l'Italie en blanc sera très populaire..
Je retire donc le Terlano.
Je le remplace par un Pessac: Domaine de Chevalier 2001
Je conserve bien entendu les Silex 2007, le dernier millésime du grand Didier Dagueneau avant sa mort prématurée.

Très triste...
10 ans plus tard.
Michel utilise le facteur émotif pour faire pencher la balance de son côté.

En tout cas, pendant le temps des Fêtes où les émotions remontent à la surface en écoutant la Mélodie du Bonheur et le Ciné-Cadeau: touché!
Sans blague: ce sera sûrement exceptionnel!

Je change aussi mon vin blanc de Corton-Charlemagne par le grand cru des grands crus soit,
Montrachet 2008, Bouchard Père & Fils
Un vin qui sera donc à 10 ans d'âge en 2018

Note de Burghound

Maison Bouchard Père & Fils
2008
Montrachet
Grand Cru White 750 ml

Score: 98

Tasted: Jun 01, 2010

Don't miss!

Note: from a .89 ha parcel of Puligny vines

Tasting note: At the risk of waxing poetic, the nose is genuinely like a spring day in a garden with utterly beguiling and multifaceted aromas of an implausibly broad variety of flowers, spices, discreet pain grillé, roasted nuts and a hint of garrigue that complements the dense, brooding and very serious flavors that are borderline massive yet, like the Cabotte, betray absolutely no sense of undue weight or blowsyness. The explosive finish stains the palate and coats the mouth with dry extract and this is one of the greatest examples of this wine that I have ever seen from Bouchard but be prepared to be patient. A true 'wow' wine.

Oh ! Oh ! Genre de changement qui pousse les concurrents à réflexion. Que vais-je faire ?

À suivre.

Patrick Désy a écrit:Intéressé...

Je me lance avec:

Chardonnay 2012, Pierre Overnoy - Emmanuel Houillon, Arbois-Pupillin

R.D. 2002, Bollinger, Champagne

Je ne vois pas le RD 2002 Bollinger dans l'alignement......

Oulala, Mike sort l'artillerie lourde! Est-ce que ce sera suffisant??

En effet, ça prendrait une mise à jour à moins de 30 heures de la limite et ce, afin de se faire une tête plus précise dans la perspective d'un changement d'offrande.

Yves Martineau a écrit:Oulala, Mike sort l'artillerie lourde! Est-ce que ce sera suffisant??

Suffisant.....tu penses à ton Climens 1986?

En espérant faire sortir d'autre belle quilles.
À tout le moins, il manque un Yquem d'une vingtaine d'année ou plus.

C’es mis à jour!

Pour choisir le Ganevat vignes de mon père 2005? Car il s’agit d’un vin unique, désormais très rare, probablement le plus grand savagnin ouillé produit d'année en année. Élevé pendant 130 mois (!), il s’agit d’un vin puissant, singulier, d’une jeunesse incroyable malgré ses 12 ans.

Critique du WA:

Rating : 100

I think I can brag about having drunk every single vintage of this exceptional wine produced since the initial 1998, and I've always been amazed at the freshness and purity of this wine, but the 2005 Les Vignes de Mon Père really blew me away. This is nothing other than the Savagnin bottled as Chalasses Marnes Bleues but kept for 130 months (yes, 130 months! that's almost 11 years!) in topped up 600-liter oak barrels without any SO2. Tasting it next to the 2013 Chalasses, the two wines have almost the same color. I still don't understand how he manages such a pale color and fresh nose with such extended aging, and the fact that he adds no sulfur is even more mind boggling. This vintage was considered exceptional in Jura and produced age-worthy wines to lay down, and this 2005 is no exception. The intensity, acidity and purity of this white are all exceptional, a point above previous vintages, with great persistence and an eternal, salty and umami aftertaste. As with all coup de coeur wines, I tasted (and drunk) as many bottles as possible, and weather (and air pressure) conditions seem to affect the nose quite a lot; the wine benefits from extended contact with air. Of course, a hint of volatility can give it away, but it's the palate where all the bottles were uniformly great - displaying that unbelievable length and laser focus, the tremendous salinity and mineral aftertaste. Eleven-years-old and fresh as a daisy. This is one of those wines I want to pursue, no matter how difficult it is to find (quite difficult) or the price asked (not cheap). This is truly exceptional, world class. Decant it in advance or even better, hold it for a few years. I've drunk the wine a few times after the original tasting and I'm convinced this is better than any of the previous vintages released. This wine deserves the highest score possible, as it's really unique.

Je crois qu'il manque les offrandes de Sylvain dans la liste :

Sylvain Rhainds a écrit:Voici mes offrandes,

Domaine Huet Vouvray Moelleux 1ère Trie Clos du Bourg 1989.
Domaine Leflaive Puligny-Montrachet 1er Cru Sous le Dos d Âne 2009.
Merci!

Mon deuxième vin se passe de présentation, je vais laisser Bob exprimer ce qu’il a pensé du Beaucastel vieilles vignes 2009:

Rating : 100

The 2009 Chateauneuf du Pape Blanc Vieilles Vignes (Roussanne) is a staggering wine of extraordinary complexity and richness. Aromas of rose petals, exotic fruits such as mango and nectarine intermixed with peach marmalade, honeysuckle and crushed pineapple emerge from this full-bodied white along with good acidity and lavish amounts of fruit and glycerin. It offers a nearly out of body wine tasting experience.


Out of body wine experience...

Liste corrigée merci de votre vigilance!

Bon ! Allons-y avec le blanc sec auquel j'ai attribué la plus haute note :

Dagueneau Silex 2005

Désolé pour ceux ou celle, déjà dans la même catégorie. C'est comme un peu ce qui s'est passé à Champagne.

Pierre Beauregard a écrit:Bon !  Allons-y avec le blanc sec auquel j'ai attribué la plus haute note :

Dagueneau Silex 2005  

Désolé pour ceux ou celle, déjà dans la même catégorie.  C'est comme un peu ce qui s'est passé à Champagne.  

À la place de quel vin?

Pierre Beauregard a écrit:Bon !  Allons-y avec le blanc sec auquel j'ai attribué la plus haute note :

Dagueneau Silex 2005  

Désolé pour ceux ou celle, déjà dans la même catégorie.  C'est comme un peu ce qui s'est passé à Champagne.  

Faut pas être désolé.
Faut augmenter notre mise tout simplement.
De toute façon Cotat 2005 passera pour La Loire..... ou je l'apporterai pour la comparaison si tu y es.....


ps: Le petit prince doit être nerveux tout comme le chevalier d'ailleurs. Du mois je le serais à leur place.

Oups ! Bonne question Ludwig. Le super merveilleux Silex 2005 remplace l'Autrichien. Merci !

Michel Therrien a écrit:

Yves Martineau a écrit:Oulala, Mike sort l'artillerie lourde! Est-ce que ce sera suffisant??

Suffisant.....tu penses à ton Climens 1986?

En espérant faire sortir d'autre belle quilles.
À tout le moins, il manque un Yquem d'une vingtaine d'année ou plus.

comme un Château d'Yquem Sauternes 1990?

Done! Je change le Climens pour le roi des vins

Pierre Beauregard a écrit:Bon !  Allons-y avec le blanc sec auquel j'ai attribué la plus haute note :

Dagueneau Silex 2005  

Désolé pour ceux ou celle, déjà dans la même catégorie.  C'est comme un peu ce qui s'est passé à Champagne.  

et en Côte de Beaune.....

Yves Martineau a écrit:

Michel Therrien a écrit:

Yves Martineau a écrit:Oulala, Mike sort l'artillerie lourde! Est-ce que ce sera suffisant??

Suffisant.....tu penses à ton Climens 1986?

En espérant faire sortir d'autre belle quilles.
À tout le moins, il manque un Yquem d'une vingtaine d'année ou plus.

comme un Château d'Yquem Sauternes 1990?  

Done! Je change le Climens pour le roi des vins  

Yquem 1990!
Généreuse proposition à tout le moins.

ps: le petit prince semble dormir....

Je suis vraiment des plus surpris de voir le Baron s’amuser comme un petit fou à ce jeu compétitif …

Tout vient à point à qui sait attendre.

Et n'en déplaise au Chevalier, (le vin des rois) le roi des vins, c'est Gruaud Larose.

Je ne veux pas faire le pointilleux mais dans la liste il manque le millésime 2010 dans l'offrande d'Olivier (Péninsule Ibérique) et pour l'offrande de Sylvain en côte de Beaune le Leflaive n'est pas un Puligny mais plutôt un Meursault.

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:
Et n'en déplaise au Chevalier, (le vin des rois) le roi des vins, c'est Gruaud Larose.

C'est inexact, cher ami, ou à tout le moins fort réducteur!

Cette expression fut d'abord attribuée à Louis XIV, qui parlait du Tokaj.

Ce n'est qu'en 1812 que la devise « le roi des vins, le vin des rois » fut attribuée au Gruaud Larose par le baron Sarget, sans doute un spécialiste du marketing, puisqu'il parlait de son vin...

Quant à Yquem, une recherche sur Google révèle une pléthore d'utilisation des termes "roi des vins" à son sujet, ce qui vaut bien la devise autoproclamée du baron Sarget!

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:
Tout vient à point à qui sait attendre.

Plus que quelque heures!

Yves Martineau a écrit:Quant à Yquem, une recherche sur Google révèle une pléthore d'utilisation des termes "roi des vins" à son sujet, ce qui vaut bien la devise autoproclamée du baron Sarget!

Plusieurs recherches sur Google révélant des pléthores de résultats sont dans les faits des faussetés! Ce recours à un argumentaire populaire.iste (pour adopter l'écrire inclusive) m'étonne ...

Yves Martineau a écrit:Plus que quelque heures!

Je saute alors ... en remplacement de mon Preuses 2008 de Dauvissat, j'offre un Valmur 2005 de Raveneau.