Semaine du 1er Novembre

Rully Montagne La Folie 2013, Claudie Jobard:  Couleur jaune paille clair, nez moyennement expressif sur les agrumes et amandes fraiches.  En bouche, c'est caressant, le côté beurré se fait sentir plus au niveau de la texture alors que les notes de saveurs restent sur les agrumes. Finale correcte, pas le vin le plus profond mais en équilibre, de belles saveurs franches, pointe de minéralité.  Difficile de trouver des bons Chardo autour de 30$, celui ci en est un.   15.5/20+

Commençons par la fin … hier soir donc, en clôture d’un weekend généreusement arrosé, pour l’anniversaire d’un cousin :

Vouette et Sorbée Saignée de Sorbée extra-brut champagne : Jolie couleur rosée. Nez ravissant de petits fruits rouges, de rose fanée, de pot-pourri, de cannelle et de poivre blanc. Bouche ample et caressante, finement crémeuse, aérienne et vineuse à la fois, parfumée, gourmande et éclatante. Finale crayeuse, longue et savoureuse. Comme à chaque fois, je tombe sous le charme … j’adore ce vin, assurément le plus grand Champagne rosé que je connaisse. Superbe.

Ramonet Morgeot chassagne-montrachet 1er cru 2008 : Couleur jaune pâle des plus encourageantes. Après quelques minutes, le nez se livre libre de toute réduction, sur des arômes de fruits blancs et jaunes, d’acacia, d’amande rôtie et quelques fines notes pâtissières. Attaque riche et milieu de bouche volumineux, concentré et séveux. Finale qui s’épure et s’affine, toujours ample, avec une suavité renversante. Un vin sec au moelleux séduisant, sans rien de forcé ou d’artificiel. Alors que plusieurs 2008 me semblent évoluer bizarrement, ce Ramonet me comble en tous points. Excellent, voire plus.

Marquis d’Angerville Taillepieds volnay 1er cru 2007 : Je n’ai pu réprimer un sourire en pensant à Alain alors que je sortais de la cave, ce flacon à la main. Magnifique couleur brillante et jeune. Nez de petits fruits rouges, d’encens, d’épices douces et d’iris. Bouche fine, croquante et expressive, parfumée. Ce cru toujours explosif se montre à la fois accessible, mais porté par une réelle tension. Finale classique, minérale et salivante, avec un rien d’amertume qui appelle la table (ce qui s’y trouve en fait) et nous indique que ce vin qui se montre encore d’une prime jeunesse en a sous la pédale. Excellent, voire plus.

 Angerville est dans mes préférés jusqu'à date ! Pour les pauléens qui penseraient que je suis un groupie de Volnay, ce n'est pas vrai, je pensais juste pas en avoir autant en cave ! Mais je suis en voie de le devenir, groupie.

Les Lurets 2012, Volnay 1er cru, C.Giroud, acheté en 2015, 85$.

Rubis peu dense limpide collet rosé. D'abord un peu poussiéreux, puis ça pinote ! Baies rouges fraîches, le bouquet est frais, élégant, épicé. Attaque franche, texture ferme, amertume de caractère. Pas profond ni complexe mais vif, insolent, festif, virevoltant, aérien mais loin d'être maigre...et trop jeune ! Un peu cher aussi. C'est fini, je n'ouvre plus de 2012. Le lendemain: un peu bonbon.

Alain Roy a écrit:  Angerville est dans mes préférés jusqu'à date ! Pour les pauléens qui penseraient que je suis un groupie de Volnay, ce n'est pas vrai, je pensais juste pas en avoir autant en cave ! Mais je suis en voie de le devenir, groupie.

Les Lurets 2012, Volnay 1er cru, C.Giroud, acheté en 2015, 85$.

Rubis peu dense limpide collet rosé. D'abord un peu poussiéreux, puis ça pinote ! Baies rouges fraîches, le bouquet est frais, élégant, épicé. Attaque franche, texture ferme, amertume de caractère. Pas profond ni complexe mais vif, insolent, festif, virevoltant, aérien mais loin d'être maigre...et trop jeune ! Un peu cher aussi. C'est fini, je n'ouvre plus de 2012. Le lendemain: un peu bonbon.

C'est intéressant Alain car avec une appellation plus "féminine" que d'autres en Côte d'Or, je croyais que ça impliquait des tannins moindres et une plus grande accessibilité en jeunesse.  Or, il y a aussi l'acidité en jeu qui peut être dominante les premières années, et certains Volnays sont plus tanniques/costauds que d'autres.  Un autre point important appris avec ce mois thématique: merci!

Si vous avez l'occasion, Stéphanie, de goûter une jour un Champans de Joseph Voillot, vous verrez que ce n'est pas une ode à la féminité :-)

daniel.seriot a écrit:Si vous avez l'occasion, Stéphanie, de goûter une jour un Champans de Joseph Voillot, vous verrez que ce n'est pas une ode à la féminité :-)

Merci de la suggestion Daniel!

J'ai été dégusté quelques lots de vins du millésime 2015, après fermentation alcoolique chez un ami. Nous lui proposons de venir dîner sans chichi chez nous le soir. Il me propose d'apporter une bouteille de vin rouge, je prépare de mon côté un Châteauneuf du Pape du Domaine de La Mordorée 2003 (carafé une heure et demie) .Il apporte son vin en carafe, aéré une heure avant la dégustation. Voici les commentaires :

Châteauneuf du Pape : Rayas : 2003
La robe est assez soutenue de couleur rubis qui évolue vers une teinte orangée au bord du verre. Le bouquets est intense, séduisant et complexe, avec des arômes de cerises légèrement kirschées, de fraises sauvages, de boite à épices, de laurier, de lavande, nuancés de notes d'écorce d'oranges. L'attaque est délicate, la texture est soyeuse, les sensations sont ascendantes, avec un milieu de bouche bien tramé, serré, et dense, rehaussé de séduisants fruits épicés. La finale est longue, d'un très bon maintien ( tannins légèrement plus sensibles), harmonieuse, aérienne, avec même une sensation de fraîcheur bienvenue, et très persistante et complexe grâce aux avenantes saveurs décelées à l'olfaction. Noté 17,5, même note plaisir

Châteauneuf du Pape : Domaine de La Mordorée 2003
La robe est profonde avec un liseré de teinte sanguine. Le nez net et bien ouvert évoque les cerises bien mûres, le cassis (jus), les épices douces, et les herbes aromatiques. La bouche est riche, dotée d'une chair généreuse, très veloutée à soyeuse, le milieu de bouche est concentré, puissant et ample, souligné par d'intenses fruits épicés, avec des tannins très enrobés. La finale est longue, pure, très soutenue ( tannins un peu plus fermes), bien chair, harmonieuse, et persistante (fruits, épices, garrigue). Noté 17,5, note plaisir 16,5

Dans le cadre de ´´Montréal à table ´´, repas à La Chronique avec ma douce.
´ ´PSI Dominio de Pingus 2009 ´ 100% tempranillo.

Robe rubis brillant très foncé.

Un nez au départ assez fermé qui s'ouvre graduellement durant le repas pour révéler graduellement des notes de chocolat mi amer, cerises noires et vanille.

En bouche tanins fins, encore des fruits noirs et du chocolat foncé , notes épicées laurier? Très long en bouche,on goûte le bois, mais le vin a le fruit nécessaire pour survivre à l'élevage. A l'aveugle pourrait passer pour un grand cabernet américain genre Caymus SS ou Heitz Trailside. Encore jeune. A regoûter dans 5 ans.´

Malheureusement il fut acheté par les proprios dans le cadre de Prestige et Patrimoine(qté limitée) et celui-ci étant bu, mon souhait ne se réalisera probablement pas.

NB: Jamais goûté le grand vin de Pingus mais si celui-ci est le bébé j'aimerais bien goûter le grand vin

Clos des Angles 2010, dom.Nicolas Rossignol, acheté en 2013, 60$.

Rubis très légèrement brouille moyen dense. Nez puant ! De la booze à Volnay ? Bah ça alors ! Un p'tit coup d'air et puis ça va, s'expriment de subtiles effluves de fruits rouges plutôt cuits cette fois je dirais, tsé genre confiture de fraises, avec un peu de vanille. C'est doux à mon nez, pas d'épices qui piquent. En bouche, wow, quelle tendre entrée en la matière...Ce velours est presque gras, vraiment la texture m'émeut. Le fruit, quant à lui, est tout simplement croquant, un brin sucré, séduisant. La tension ? Des plus fraîches...La finale, qui persiste et signe en étalant toutes ces qualités, me fait à peine revenir sur terre à cause d'amers un peu trop appuyés. Après quelques 2012 un peu rudes, cette dentelle exquise me refait retomber pour Volnay. Dans mon top 4 maybe, et le prix !

Lendemain: amers adoucis, addiction supérieure, la bouteille se siffle et je suis en manque ! Dans mon top 3 maybe.


Dernière heure, dernière heure, dernière heure :âmes (palais) sensibles s'abstenir...

J'ai terminé ce Volnay en bouffant des rouleaux de printemps faits par io, au boeuf avec full herbes fraîches (coriandre, basilic et menthe), huile de sésame et pâtes au thé vert, ces dits rouleaux trempés dans une chinoiseries du commerce au soya bien sucrée...et l'accord était hallucinamment jouissif !

Alain Roy a écrit:Clos des Angles 2010, dom.Nicolas Rossignol, acheté en 2013, 60$.

Rubis très légèrement brouille moyen dense. Nez puant ! De la booze à Volnay ? Bah ça alors ! Un p'tit coup d'air et puis ça va, s'expriment de subtiles effluves de fruits rouges plutôt cuits cette fois je dirais, tsé genre confiture de fraises, avec un peu de vanille. C'est doux à mon nez, pas d'épices qui piquent. En bouche, wow, quelle tendre entrée en la matière...Ce velours est presque gras, vraiment la texture m'émeut. Le fruit, quant à lui, est tout simplement croquant, un brin sucré, séduisant. La tension ? Des plus fraîches...La finale, qui persiste et signe en étalant toutes ces qualités, me fait à peine revenir sur terre à cause d'amers un peu trop appuyés. Après quelques 2012 un peu rudes, cette dentelle exquise me refait retomber pour Volnay. Dans mon top 4 maybe, et le prix !

Lendemain: amers adoucis, addiction supérieure, la bouteille se siffle et je suis en manque ! Dans mon top 3 maybe.


Dernière heure, dernière heure, dernière heure :âmes (palais) sensibles s'abstenir...

J'ai terminé ce Volnay en bouffant des rouleaux de printemps faits par io, au boeuf avec full herbes fraîches (coriandre, basilic et menthe), huile de sésame et pâtes au thé vert, ces dits rouleaux trempés dans une chinoiseries du commerce au soya bien sucrée...et l'accord était hallucinamment jouissif !

Alain, je suis déçue de ne pas avoir pu te suivre avec celui-là!
Je sais que Vincent a déjà écrit avoir beaucoup aimé le Chevret de Nicolas Rossignol.
Allen (et non Alain!) Meadows aime beaucoup son Santenots.
Est-ce que les collègues ont d'autres expériences avec ce vigneron?

Vino Lauria, Frappato 2013 Couleur grenat clair, bouquet d'herbes fraiches, tomates séchées, fraises mures, assez expressif et le tout se manifeste malgré tout avec fraicheur. En bouche l'ensemble est soyeux, gourmand et ample, beaucoup de fruit mur, texture en fraicheur, finale gourmande sur les fruits et les herbes. Fait 12,5%, fruité, équilibré et gourmand, le bojo de la Sicile. 15.5/20

Deux beaux vins la fin de semaine dernière....

Domaine de la Janasse Châteauneuf-du-Pape Cuvée Chaupin 2001
Chaupin étant du style bombe de fruits en jeunesse, il est étonnant de constater la finesse qu'il peut développer avec l'âge. Un parfum séduisant de fraises des champs, de kirsch et de garrigue, très classique. La bouche se révèle toute en douceur, voluptueuse, j'oserais presque parler de finesse, mais ce serait exagéré. Ça reste civilisé, chaleureux (mais non alcooleux) réconfortant, d'une belle gourmandise. 92 pts

Antinori Tignanello Toscana IGT 1999
Nez séduisant, avec des notes de chocolat, d'épices, de cuir, de terre humide. La bouche est ronde, tout y est agréable, c'est fin, digeste, équilibré. Très joli. 92 pts

daniel.seriot a écrit:Si vous avez l'occasion, Stéphanie, de goûter une jour un Champans de Joseph Voillot, vous verrez que ce n'est pas une ode à la féminité :-)

De memoire, les Volnays de Michel Lafarge etait aussi plus masculin...

J'ai déjà lu quelque part une très jolie définition sur les Volnays en général. ''Dentelle empesée'' J'aime bien !

Fontodi Chianti Classico DOCG 2012



Couleur rubis avec reflets violacés. Arômes de fruits rouges, d’épices, de fleurs et de cuir. Fruit gourmand en bouche, juste assez épicé, se boit très bien, surtout lorsqu’accompagné d’un repas là où le brille. Sa jeunesse est perceptible avec la tension présente dans finale un brin asséchante. L’aération quant à elle porte le vin vers une texture soyeuse qui me fait apprécier le vin encore plus. Très bien+ (90)

Fait de Sangiovese. Élevage en fûts de chêne français pour 12 mois. Fait 14% d’alcool.

Yves Martineau a écrit:Deux beaux vins la fin de semaine dernière....

Domaine de la Janasse Châteauneuf-du-Pape Cuvée Chaupin 2001
Chaupin étant du style bombe de fruits en jeunesse, il est étonnant de constater la finesse qu'il peut développer avec l'âge. Un parfum séduisant de fraises des champs, de kirsch et de garrigue, très classique. La bouche se révèle toute en douceur, voluptueuse, j'oserais presque parler de finesse, mais ce serait exagéré. Ça reste civilisé, chaleureux (mais non alcooleux) réconfortant, d'une belle gourmandise. 92 pts

Est-ce que c'est le vin qui s'affine dans le temps ou le domaine qui produit des vins plus riches avec les années?

Excellente question que je me pose aussi Vincent, comme pour plusieurs domaines. Mon souvenir des Chaupin de 1998 à 2001 était que je les trouvais opulents, sans toutefois verser dans l'exagération...

Dans le cas du 2001, Parker le trouvait déjà fin à cette époque:

Wine Advocate #151
Feb 2004 Robert M. Parker, Jr. 95 Drink: 2006 - 2015 $85-$98 (50)
Made from 100% Grenache (60-year old vines planted in one of the region’s coolest terroirs), the 2001 Chateauneuf du Pape Cuvee Chaupin sees no new oak, contrary to what readers may have heard elsewhere. The saturated purple/plum color is followed by a big, sweet bouquet of raspberries, black kirsch liqueur, and a hint of white flowers. Chewy and full-bodied, with slightly more structure and tannin than usual, this surprisingly elegant yet full-flavored 2001 will benefit from another 1-3 years of cellaring. The most backward and structured Chaupin made between 1998 and 2001, it could easily be mistaken for a top grand cru red Burgundy from a great vintage. Anticipated maturity: 2006-2015.  

 

Stéphanie Chénier a écrit:

Alain, je suis déçue de ne pas avoir pu te suivre avec celui-là!
Je sais que Vincent a déjà écrit avoir beaucoup aimé le Chevret de Nicolas Rossignol.
Allen (et non Alain!) Meadows aime beaucoup son Santenots.
Est-ce que les collègues ont d'autres expériences avec ce vigneron?

Intrigué par ceci, je fais petite recherche saq.com: il y a 30 bouteilles de 2011 dispo, et toutes dans une seule et unique succursale !? Elle est pas trop loin de chez moi...Vroom vroom, I'm on my way !

Alain Roy a écrit:

Stéphanie Chénier a écrit:

Alain, je suis déçue de ne pas avoir pu te suivre avec celui-là!
Je sais que Vincent a déjà écrit avoir beaucoup aimé le Chevret de Nicolas Rossignol.
Allen (et non Alain!) Meadows aime beaucoup son Santenots.
Est-ce que les collègues ont d'autres expériences avec ce vigneron?

Intrigué par ceci, je fais petite recherche saq.com: il y a 30 bouteilles de 2011 dispo, et toutes dans une seule et unique succursale !? Elle est pas trop loin de chez moi...Vroom vroom, I'm on my way !

Souvent, quand il y a plusieurs caisses à un seul endroit, c'est que le directeur de cette succursale a commandé juste avant les autres je crois, et que ça arrivera sous peu dans d'autres succursales...

Stéphanie Chénier a écrit:

Souvent, quand il y a plusieurs caisses à un seul endroit, c'est que le directeur de cette succursale a commandé juste avant les autres je crois, et que ça arrivera sous peu dans d'autres succursales...  

Y aura-t-il un arrivage en Abitibi

Alain Roy a écrit:

Stéphanie Chénier a écrit:

Souvent, quand il y a plusieurs caisses à un seul endroit, c'est que le directeur de cette succursale a commandé juste avant les autres je crois, et que ça arrivera sous peu dans d'autres succursales...  

Y aura-t-il un arrivage en Abitibi

Je doute...

Santenots 2010, Volnay 1er cru, Rebourgeon-Mure, acheté en 2013, 50$
(médaille d'or concours international des vins 2012 Lyon ?)

Rubis tendre et rosé très peu soutenu et très net. Xième bouquet séduisant, tout léger de petits fruits rouges sous la pluie, un doux "scent of a woman". Que c'est bon...L'entrée est comme toucher à une dentelle (non empesée !), l'addiction est immédiate. L'élixir est aérien, féminin, enivrant par sa souplesse juvénile, son fruité généreux, sa vivacité de printemps et ses amers d'automne. J'aurais aimé le déguster côte à côte avec le 2009, et me relisant je dirais que si ce dernier est un homme au coeur tendre, celle-là est une femme au coeur léger. Miam !

Alain Roy a écrit:Santenots 2010, Volnay 1er cru, Rebourgeon-Mure, acheté en 2013, 50$  
(médaille d'or concours international des vins 2012 Lyon ?)

Rubis tendre et rosé très peu soutenu et très net. Xième bouquet séduisant, tout léger de petits fruits rouges sous la pluie, un doux "scent of a woman". Que c'est bon...L'entrée est comme toucher à une dentelle (non empesée !), l'addiction est immédiate. L'élixir est aérien, féminin, enivrant par sa souplesse juvénile, son fruité généreux, sa vivacité de printemps et ses amers d'automne. J'aurais aimé le déguster côte à côte avec le 2009, et me relisant je dirais que si ce dernier est un homme au coeur tendre, celle-là est une femme au coeur léger. Miam !

J'ai bu ce vin à 2 reprises, et il était vraiment excellent, comme tu le décris ! Je regrette de ne pas en avoir encavé plusieurs, surtout à ce prix.

2013 Stanners Vineyard Chardonnay (environ 25$)

Un vin acheté au domaine à PEC. On avais bu moi et la douce ce vin chez Angeline's , un restaurant bien sympa à Bloomfield. Un peu plus déçu cette fois ci. Tsé , des fois l'effet vacances prend le dessus et tout est bon et sympatoche! 100% chardonnay et vieillit en fut de chêne pendant 9 mois. Un petit goût amer que j'aimais moins. L'impression d'avoir un peu de citron mais vieilli! Légèrement boisé et vanillé , il est meilleur avec la bouffe qu'en apéro .15.5/20

Bourgogne Vézelay Les Angelots 2013 La Soeur Cadette

Société de négoce gérée par Valentin Montanet (achat de raisins). 100% Chardonnay. 2,5 hectares de vignes en conversion biologique.Pressurage des grappes entières, fermentation alcoolique et malolactique en cuve inox et élevage pendant 6-8 mois.

Dégustation: Aromatique frais et de bonne richesse sur des notes de citronnelle, de paille et de melon au miel. En bouche, l’effet millésime se fait sentir par un beau gras dès l’attaque et du volume. Le vin se retend bien par la suite sur une finale saline/iodée et zestée de longueur appréciable pour l’appellation. C’est fort digeste et rafraîchissant. Bu sur une période de 3 à 4 heures, le vin a gagné en tension et en harmonie d’ensemble. Malgré sa grande buvabilité, je vous recommande quand même de prévoir une période d’aération. 2*1/2