Semaine du 21 août 2022 : le rentrée pour les profs.

Pour accompagner des sushis divers........des bulles ou du riesling....ce dernier ce soir.

Un jeune riesling.....il y aura un peu de bulles!

Moselle, Karthäuserhofberg Riesling Großes Gewächs 2018, Karthäuserhof
Un seul proprio sur 19 hectares au village de Eitelsbacher.
La robe est jaune or.
Bouquet intense à la fois exotique et de pêches mûres. Point de pétrole ici. Un peu de pourriture noble aussi.
Un vin qui doit être servi autour de 10*....du moins cette bouteille.
Un peu froide vers 6-8*, elle perd ses bulles et sa complexité. Vers 12-13*, le sucre ressort en finale avec moins de fraicheur.
À 10*, la bouche est fraiche, légèrement perlante, son coeur est dense et croquant, la finale devient épicée, fumée avec ses notes franchement exotique.
Un beau plaisir.
17,5/20. IP AB2vin

Michel Therrien a écrit:Pour accompagner des sushis divers........des bulles ou du riesling....ce dernier ce soir.

Un jeune riesling.....il y aura un peu de bulles!

Moselle, Karthäuserhofberg Riesling Großes Gewächs 2018, Karthäuserhof
Un seul proprio sur 19 hectares au village de Eitelsbacher.
La robe est jaune or.
Bouquet intense à la fois exotique et de pêches mûres. Point de pétrole ici. Un peu de pourriture noble aussi.
Un vin qui doit être servi autour de 10*....du moins cette bouteille.
Un peu froide vers 6-8*, elle perd ses bulles et sa complexité. Vers 12-13*, le sucre ressort en finale avec moins de fraicheur.
À 10*, la bouche est fraiche, légèrement perlante, son coeur est dense et croquant, la finale devient épicée, fumée avec ses notes franchement exotique.
Un beau plaisir.
17,5/20. IP AB2vin

C’est assez précis comme consignes. Avec l’aide de quel objet mesures-tu la température? Est-ce que tu suis toujours l’évolution du vin de cette façon?

La cave étant actuellement à 16*, je mets la bouteille dans un sceau avec beaucoup d'eau et peu de glace et j'y insère (par le goulot) un thermomètre. J'attends 8* et on commence. En suite je sors la bouteille et compare à 10-12* comment le vin se déguste. Par la suite le plus souvent, je laisse la T monter car je bois surtout du vin bourguignon à base de chardonnay. Si aligoté je laisse dans eau glacée pour autour de 8* tout comme pour le champagne.

Il est méticuleux ce Baron!!

Je transcris quelques notes de voyage, ça me refait voyager!

Domaine Jean-Marc / Thomas Bouley Pommard 1er Cru Les Fremiers 2017
146 euros au Colombier.
Joli nez assez complexe de fruit mûr, un brin confit, avec aussi une dimension florale. La bouche montre une douce extraction, qu’on n’associe pas aux clichés de Pommard. D’aucuns pourraient lui reprocher un manque de concentration. Il montre une certaine puissance, mais c’est très bien équilibré, avec un côté gourmand, presque tendre à l’aération, avec une finale suave, d’une belle précision. Un Pommard charmeur, léger, tout en finesse. On l’aurait mis à Volnay bien avant. Qu’importe, au final, c’est excellent. 92-93 pts

Tout simplement parce que j’en avais envie:

Georges Descombes Brouilly Vieilles Vignes 2012
Couleur grenat/brique de moyen intensité. Muet et fermé sur la première heure, le vin fini par se transformer, et quel changement! Arômes et saveurs de fruits secs, de cuir, de fleurs séchées, un peu de chocolat amer, le vin est profond, goûteux tout en étant fin et se donne des airs d’un excellent pinot ayant atteint une certaine maturité. Niveau grand cru gamay. Excellent+ presque Superbe (92-93)

Patrick Ayotte a écrit:Tout simplement parce que j’en avais envie:

Georges Descombes Brouilly Vieilles Vignes 2012
Couleur grenat/brique de moyen intensité. Muet et fermé sur la première heure, le vin fini par se transformer, et quel changement! Arômes et saveurs de fruits secs, de cuir, de fleurs séchées, un peu de chocolat amer, le vin est profond, goûteux tout en étant fin et se donne des airs d’un excellent pinot ayant atteint une certaine maturité. Niveau grand cru gamay. Excellent+ presque Superbe (92-93)

Une phrase qui demande explication…C’est un peu comme le pêcheur rencontré sur un lac cette année qui nous a dit avoir attrapé un poisson « à bosse »…..

Coume Pascole 2004, Collioure, La Rectorie, 30$ en 2007.

Pnp. Robe encore rouge mais clairement évoluée, assez soutenue mais nette. Ça sent pas très bon, l'Oxy Lady rôde peut-être: un peu de bouillon en poudre mais aussi du fruit rouge confit et de la pâtisserie. À la bouche !

Bien moins pire que le récent Chaumes, pas certain qu'il soit oxydé plutôt que simplement vieillot: entrée franche, texture légère, fruité rouge cuit un brin sucré, tension de bon aloi, amers de feuilles mortes ! La finale est courte mais pas désagréable ce qui me fait humblement conclure que cet amour de Collioure n'est pas oxydé mais sur le très tertiaire, autrement dit sur le déclin mais encore vivant et fier. Mais le petit plaisir ne dure pas longtemps alors m'inspirant de Michelle je dirais qu'ici il ne s'agit pas d'un "one-night" mais d'une p'tite vite !

Lendemain: l'ai mis en carafe une heure pour le fun. Le bouquet a pas bougé. Bouche ? Ça ressemble à hier ! Bref c'est ni une p'tite vite ni un "one-night" ! Il y a encore du fruit et de la vie, mais à mon goût c'est trop dans le tertiaire. Tout demême à 18 ans, il saurait encore plaire à certains. Bravo !

Mas de la Rouvière 2000, Bandol, dom.Bunan, 25$ en 2004.

J'ouvre pnp ce Bandol à côté du Collioure car je veux mieux boire à mon goût. Plus vieux mais pourtant moins évolué avec cette belle robe semblable mais plus rouge et brillante, ocre au pourtour. Bouquet intrigant, rien de bouillon ici mais un fond de basse cour léger qui n'altère aucunement un joli fruité rouge frais et épicé (poivre) entouré de fleurs séchées. Wow sérieux quel bouquet, je suis étonné.

Oh my God en bouche aussi on est ailleurs, et bien plus haut ! Entrée tendre sur texture de velours offrant sur plateau d'argent un fruité rouge en pleine forme, dodu, rouge un brin sucré, à peine rissolé, sur une tension parfaite et des amers de toute beauté...Encore étonné suis-je !
Finale harmonieuse, salivante, inspirante, appelant urgemment les prochaines rasades. Un vin généreux presque fondu, qui en a encore dedans, savoureux, d'une jeunesse ahurissante à 22 ans, je dirais même qu'il n'y a rien de secondaire ! Gros coup de coeur, je suis ému.

Lendemain: wow, quelle finesse, quelle élégance ! C'est une beauté du vin d'ouvrir une bouteille comme celle-ci sans attentes, même qu'on craint le déclin, et puis paf c'est sublime et on est ému...

C'est pas tuable, du Bandol.

Mercredi soir, autour d'un bon souper à la maison, j'ouvre un vieux Sancerre pour lequel mes attentes ne sont pas au niveau firmament en me remémorant le Paul Cotat 1990 ouvert il y a quelques mois.  Ce dernier, loin d'être mauvais, il n'avait pas la classe de plusieurs bouteilles de la famille Cotat ouvertes au fil des années.  Il faut les attendre, mais peut être qu'à plus de 30 ans c'est vraiment tester les limites.  Toujours est il que mes attentes étaient modérées pour ce 1996.

Ceci étant dit, je ne crois pas avoir bu un aussi bon vin de sauvignon blanc.  Jusqu'à présent, ma référence était un Silex de Dagueneau 2005.  La beauté de La Grande Côte 1996 de Cotat (je n'ose parler de Paul, ou de François ou encore celui-ci de Mme Paul Cotat comme celui ouvert mercredi) résidait dans la profondeur olfactive du vin ainsi et surtout dans sa texture en bouche et dans sa densité.

La robe est assez claire pour un vin de cet âge (26 ans).  Le nez nous renvoie des notes d'agrumes de litchi et de citron confit.  La bouche tout en fraicheur démontre une énergie encore intense ce qui surprend de prime abord.  Le plaisir en bouche est assuré par une texture ample, enveloppante et une longueur importante sur des notes florales.  On sent toujours un certain niveau de sucre résiduel mais ici il s'exprime faiblement, en finesse quoi.  95 pts.  Un des plus grands plaisirs à boire du sauvignon.

ps : sur l'étiquette, on peut voir le domaine : Mme Paul Cotat (mère de François). Peu de temps après, une nouvelle loi a été votée pour interdire l'utilisation de plusieurs domaines pour la même parcelle de vin. À compter de 1997, tous les vins produits portaient le label François Cotat.

Ce 1996 reste le plus grand Sancerre que j'ai bu!

1996 Domaine François Cotat Sancerre La Grande Côte Sauvignon Blanc more
Options
12/18/2013 - I wrote: 96 points (Edit)

Un vin extraordinaire! Dense et plein d'extraits secs, je pensais qu'il s'agissait d'un Monts Damnés, avant de voir l'étiquette.
Un vin profond, incroyablement minéral, très salin. Son style aérien et complexe emplit la bouche et charme d'emblée, puis de manière presque inattendue, alors qu'on s'attend à ce qu'il tombe, la finale explose et développe une grande complexité avec une longueur exceptionnelle. Un vin époustouflant, sans doute le plus grand Sancerre que j'ai pris. 96 Pts

Le Prince Winston nous l'avait également servi lors d'un lunch en 2016, il était presque aussi bon.

Hier, au pied du mont chauve, non ce n’est pas en Estrie, c’est en Bourgogne, le Au Pied du Mont Chauve Hautes-Côtes de Beaune 2019. Je ne suis pas très Hautes-Côtes mais celui-ci m’a vraiment plu. Rouge tendre comme le vin. Cerise, rose et cannelle au menu. La bouche est très digeste, souple, doublée d’une jolie acidité mettant en valeur de beaux fruits rouge frais. Ce n’est pas un monstre de concentration mais il a une très belle tenue.

En parlant de Au Pied du Mont Chauve....

Connaissez-vous une appellation que les vignerons nomment Pied du Montrachet?

Fun noir avec neveu hier soir, je l'ai mené en bateau bien comme il faut ! Proposition de base était 2 vins, même millésime, même appellation, 2 producteurs mais le Ca'Rome Maria Di Brun Barbaresco 2005 s'est avéré oxydé raide. Plan B, je présente la dégustation à neveu, en total aveugle: 2 vins, même millésime, même région, 2 producteurs.

Tenute Cisa Asinari dei Marchesi di Grésy Camp Gros Martinenga Barbaresco 2005 versus Andrea Oberto Barolo Vignetto Rocche 2005

Je verse.
Neveu: "Oh, de la belle Bourgogne !"
Moi: "Ouais, les robes sont belles hein ?"
Nous sentons.
Neveu: "Cuir, beaux petits fruits rouges frais, ça pinote !"
Moi: "En effet !"
Nous goûtons.
Moi et neveu: "le #1, wow ! Quel vin ! Le #2, plus dense mais moins fin."

Après une demie-heure de dégustation, avant de passer à table:

Moi: "Neveu, avant de dévoiler, faudrait que tu guesses sur le pays..."
Neveu: "Ben la France ! ....quoi, c'est pas français ???"
Moi: "Non !"
Neveu commence à chercher des pays où on fait du pinot noir hé hé...
Moi: "Neveu, après le pays faut que tu guesses sur le cépage..."
Neveu: "Ben pinot noir ! ...quoi, c'est pas du pinot ???"
Moi: "Non !!!"
Nous:

Envahi par la honte, neveu ne veut plus venir à la dégustation du 16 septembre .
Il reprend confiance, nomme qu'on est en Italie dans le Piémont. Bravo ! Et il sera là le 16 !

Mon Cr (je me suis mené aussi en bateau car je ne m'attendais pas du tout à de tels vins...):

#1 (Barbaresco 2005): belle robe brillante, limpide, rubis moyennement soutenu, évoluée oui au pourtour. Bouquet discret mais extrêmement élégant sur les petits fruits rouges frais épicés, le cuir, le bois noble, rien de vieux, simplement envoûtant. Bouche: ayoye (neveu a la même réaction), dès l'entrée la réponse est évidente: mi-e-miam !!! Entrée éthérée, texture angélique, fruité rouge frais de grande classe, assagi, tendre, sur tension parfaite et petits amers. La finale est salivante, émouvante. Un grand vin accompli, fondu, harmonieux, savoureux. Une femme. Toute la soirée, à chaque gorgée ça fera menum de façon étonnante...On voulait pas, on avait peur de goûter au #2 !

#2 (Barolo 2005): Robe un brin brouille, un brin plus évoluée et plus profonde. Bouquet puissant sur un fruité plus noir que rouge,gomme balloune, truffe, c'est très fruité. Un nez semblant plus complexe, assez invitant, mais nettement moins fin. En bouche, oups, ici c'est un gars, un ado presque ! On sent la parenté mais c'est assez différent du #1. L'entrée est plus pesante sur une texture plus grasse, le fruit est riche, opulent quoi que assez frais aussi, le tout sur une tension pas assez élevée et des tanins peu fondus. En fait ce vin de 17 ans est encore trop jeune ! Alors que le #1 ne pourrait être plus bellement émouvant, celui-ci a encore beaucoup de travail à faire...Malheureusement c'était ma dernière bouteille.

Vincent Dauvissat (René & Vincent) Chablis 1er Cru La Forest 2013
Un Chablis de style très classique pour un 2013.
Le nez citronné, avec le bord de mer. La bouche est puissante, ample et généreuse, un brin moins tendue. C’est moins fin et précis qu’un 2014 bien sûr, mais il a une belle complexité et constitue un véritable tour de force sur ce millésime. 91-92 pts

Ermitage du Pic St. Loup Pic St. Loup Guilhem Gaucelm 2020
Au Leméac
Nez floral avec des notes de fruit confit, frais. La bouche est dense, ronde et dotée d’un fruit gourmand, savoureux. Un style plus riche et solaire que d’habitude et plutôt fermé en l'état. Il a besoin d’une bonne heure d’aération, ou idéalement quelques années.

Hier soir :

Domaine des Lambrays clos-des-lambrays grand cru 2010 : Long bouchon impeccable. Couleur pâle, légèrement évoluée. Nez séduisant et aérien, sur les fruits rouges, les épices, des notes terreuses et des relents de menthe séchée. Le nez gagnera en intensité et en profondeur au courant de la dégustation, mais demeurera moyennement puissant, annonçant ce qu’on allait retrouver en bouche. L’attaque est assez contenue, mais on retrouve un peu plus de chair en milieu de bouche. La finale est parfumée, avec un côté évanescent. Structurellement, elle est modeste, mais la persistance aromatique est bonne. Au fur et à mesure que le temps passe, le vin gagne en intensité et en densité. Ça demeure néanmoins inférieur à ce qu’on peut s’attendre d’un grand cru issu d’un grand millésime. Très bien.

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:Hier soir :

Domaine des Lambrays clos-des-lambrays grand cru 2010 : Long bouchon impeccable. Couleur pâle, légèrement évoluée. Nez séduisant et aérien, sur les fruits rouges, les épices, des notes terreuses et des relents de menthe séchée. Le nez gagnera en intensité et en profondeur au courant de la dégustation, mais demeurera moyennement puissant, annonçant ce qu’on allait retrouver en bouche. L’attaque est assez contenue, mais on retrouve un peu plus de chair en milieu de bouche. La finale est parfumée, avec un côté évanescent. Structurellement, elle est modeste, mais la persistance aromatique est bonne. Au fur et à mesure que le temps passe, le vin gagne en intensité et en densité. Ça demeure néanmoins inférieur à ce qu’on peut s’attendre d’un grand cru issu d’un grand millésime. Très bien.

Ayant ce vin en cave, on boit maintenant ou tu crois qu'il peut se bonifier en l'attendant encore un peu?

De retour d'une escapade de 5 jours dans cette grande ville qu'est New York, notre fils Nicolas s'est pointé à la maison avec un beau Bordeaux et tout ce qu'il faut pour nous préparer un petit festin. On ne peut demander mieux pour le retour au bercail.

Sur un tataki de thon rouge de la Gaspésie façon asiatique

Domaine Coffinet-Duvernay Chassagne-Montrachet 1er Cru Les Caillerets 2017: Quel beau vin. Une belle robe dorée claire et brillante. Un nez fin sur les agrumes, la poire et de fines notes grillées. Délicat et aérien en bouche sur le citron et une touche de vanille. Une finale longue et fraiche sur une acidité bien dosé. Un vin de nos amis les Bourguignols. 92-93 pts.

Avec des bavettes de bœuf de chez Toqué:

Château Pape Clément Pessac-Léognan 2003: Une bouteille somme toute assez évoluée. Robe grenat au pourtour orangée. Nez terreux et des relents de petits fruits rouges compotés. La bouche est toutefois plus convaincante. De corps moyen, une pointe de richesse sur un fruité mur et des tannins bien enrobées et tendres. Fine amertume en finale. 91 pts.

Une petite facile pour vous? D'où origine le nom du Château Pape Clément?

François Guyot a écrit:Ayant ce vin en cave, on boit maintenant ou tu crois qu'il peut se bonifier en l'attendant encore un peu?

François,

Je l'ouvrirais d'ici 3 ans, en ouvrant la bouteille un bon deux heures à l'avance considérant la manière dont l'aération semble l'avoir aidé.

François Guyot a écrit:
Une petite facile pour vous? D'où origine le nom du Château Pape Clément?

Pas facile du tout! Mais la coïncidence est incroyable: J'arrive à l'instant d'un 5 à 7 avec de sympathiques voisins qui ont ouvert le 2013, j'ai donc lu la contre-étiquette il y a une heure ou deux, car on se posait la question! C'est bien le propriétaire du vignoble, qui fut nommé pape et pris le nom de Clément (5 de mémoire??).

Yves Martineau a écrit:J'arrive à l'instant d'un 5 à 7 avec de sympathiques voisins

Écrit à 22h16 ... le genre de 5 à 7 qu'on aime!

En plein dans le mille Yves. Bertrand de Goth, propriétaire du domaine et archevêque de Bordeaux, fut élu pape en 1305 et pris le nom de Clément 5. Le monsieur a donc décidé d’appeler son domaine Pape Clément.

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:

Yves Martineau a écrit:J'arrive à l'instant d'un 5 à 7 avec de sympathiques voisins

Écrit à 22h16 ... le genre de 5 à 7 qu'on aime!

Par chez nous, 5 à 7 c'est le nombre de consommations...

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:

Yves Martineau a écrit:J'arrive à l'instant d'un 5 à 7 avec de sympathiques voisins

Écrit à 22h16 ... le genre de 5 à 7 qu'on aime!

Michelle Champagne a écrit:

Patrick Ayotte a écrit:Tout simplement parce que j’en avais envie:

Georges Descombes Brouilly Vieilles Vignes 2012
Couleur grenat/brique de moyen intensité. Muet et fermé sur la première heure, le vin fini par se transformer, et quel changement! Arômes et saveurs de fruits secs, de cuir, de fleurs séchées, un peu de chocolat amer, le vin est profond, goûteux tout en étant fin et se donne des airs d’un excellent pinot ayant atteint une certaine maturité. Niveau grand cru gamay. Excellent+ presque Superbe (92-93)

Une phrase qui demande explication…C’est un peu comme le pêcheur rencontré sur un lac cette année qui nous a dit avoir attrapé un poisson « à bosse »…..

L'envie de boire du "vieux" Bojo bien sûr!