Les primeurs comme si vous y étiez
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Vincent Messier-Lemoyne
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Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Vincent Messier-Lemoyne a écrit:Pas sûr que 2001 ait le fond des 1988 ... je miserais peut-être plus sur 1998.
tu es la première personne que je lis ou entend dire pareille....hérésie
2001 vs 1988, je ne sais pas lequel est supérieur, il faudra attendre 2011-2015 pour se faire une idée juste de la profondeur de 2001 .
Mais 2001 vs 1998...On parle bien de rive gauche 1998?
Soit que je n'ai pas goûté aux mêmes 1998 que toi ou que tu n'as pas goûté aux mêmes 2001 que moi....À mon sens il n'y a pas photo....je reconnais que je n'ai pas goûté des masses de 1998 mais j'attends encore le premier qui va m'émouvoir....même Cos m'a paru carré, sans réelle âme ni profondeur et surtout aucun charme
Pour les 2001 c'est le contraire....j'en ai pris pas mal et aucun ne m'a vraiment déçu.
Un exemple au hasard: Sociando 1998 ou 2001? Ce cru bourgeois est souvent un bon baromètre de la réussite d'un millésime, or 2001 me semble vraiment supérieur. Même chose pour Chasse Spleen.
Faudrait que je retrouve les autres pour lesquels j'ai goûté aux deux années mais 1998 jusqu'à présent me semble rappeler un peu trop 1994, i.e. plus de structure que de matière dans bien des cas. Des vins qui pourraient sécher sur leurs tanins pour certains.
Je commence à trouver des similitudes entre 2001 et 1985...des vins de finesse souvent, beaucoup de charme. 98 est vraiment d'un autre style, c'est le moins qu'on puisse dire.
Yves Martineau- Messages : 8370
Date d'inscription : 07/06/2009
Localisation : Montréal
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Karl Duval a écrit:Yves Martineau a écrit:Il y a longtemps que je chante les louanges de 1988 en Médoc. Aujourd'hui 2001 est ma nouvelle chanson thème
J'aime également beaucoup les 2001 à Bordeaux...ça me donne le goût d'en ouvrir ce week-end...histoire de changer de la Bourgogne.
J'aime beaucoup aussi 2001, qui est beaucoup mieux que prévu. Je pense aussi que 1998 a quand même plus de profondeur que 2001 mais j'ai eu de belles expériences avec 2001 aussi.
Mario
Mario Vaillancourt- Messages : 1297
Date d'inscription : 03/06/2009
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Yves, peut-être me suis-je mal exprimé, mais je parlais du type de millésime, davantage que des mérites de chacun. L'austérité des 1998, leur franchise, leur tonus et leur fraîcheur me rappellent, beaucoup plus que les 2001, les 1988.
En termes de plaisir, et pour plusieurs années encore, je boirai des 2001, mais j'ai eu des expériences mémorables avec certains 1998 (Lafite et Rauzan me viennent en tête).
En termes de plaisir, et pour plusieurs années encore, je boirai des 2001, mais j'ai eu des expériences mémorables avec certains 1998 (Lafite et Rauzan me viennent en tête).
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"Mes goûts sont simples, je me contente aisément de ce qu'il y a de meilleur" - Winston Churchill
Vincent Messier-Lemoyne- Messages : 8731
Date d'inscription : 12/05/2009
Age : 40
Localisation : Montréal
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Yanouk Lévesque a écrit:Merci beaucoup Marc pour les capsules, on y était presque! Petite question, parmi les autres dégustateurs/journalistes objectifs qui y participent à chaque année, quel était le ton en général, comment ils situent 2009 versus les derniers millésimes du siècle (2000, 2003, 2005)?
Yanouk
1982 a souvent été évoqué,tant les vins ont du gras, une texture étonnamment veloutée. Le gars de la RVF, que j'ai cité dans une capsule, parlait du meilleur millésime depuis 1961. Jacques Dupont, du magazine français Le Point, m'avait confirmé en début d'année que c'était effectivement très beau.
Chose certaine, c'est plus rond que 2005 tout en demeurant très bien structuré, c'est très mûr sans confiture ni brett, pratiquement. Pour finir, et pour ce que vaut ce type d'approximation, je dirais que ça ressemble à un croisement entre 2001 et 1982. Ou entre 2000 et 1982, 2005 et 1982...
La main de fer dans un gant de velours, quoi.
Difficile de ne pas aimer - et quasi assuré que ça va bien vieillir, les taux d'acidité n'étant pas trop bas.
Marc Chapleau- Messages : 78
Date d'inscription : 03/06/2009
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Marc Chapleau a écrit:
Chose certaine, c'est plus rond que 2005 tout en demeurant très bien structuré, c'est très mûr sans confiture ni brett, pratiquement.
Est-ce à dire que vous trouvez certains millésimes plus prônes aux bretts que d'autres à Bordeaux?
Difficile de ne pas aimer - et quasi assuré que ça va bien vieillir, les taux d'acidité n'étant pas trop bas.
Et les grands millésimes de garde du bordelais sont les millésimes d'acidité pas trop basse? Encore là, je suis vraiment intéressé à savoir si c'est un énoncé tout simplement général (les vins qui vieillissent sont ceux qui ont un bonne acidité) que vous appliquez à tout vin, ou si cela correspond plus spécifiquement à votre expérience des vins bordelais?
Olivier Collin- Messages : 2477
Date d'inscription : 03/06/2009
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Non, je ne trouve pas nécessairement que certains millésimes « brettent » plus que d'autres.
Quant à l'acidité, je ne crois pas pour autant qu'elle garantisse à elle seule la bonne tenue du vin au vieillissement ; sinon, certains vins comme les seyvals québécois - ou encore des cuvées du Nouveau Monde acidifiées - pourraient vieillir des décennies.
Selon ce que j'en sais, et je ne suis ni oenologue ni un quelconque technicien, c'est beaucoup l'harmonie, l'équilibre irréprochable entre les diverses composantes, dont l'acidité, qui permet d'envisager un bon potentiel de vieillissement.
Encore là, ce n'est pas tout, parce qu'à ce compte, certains vins de dépanneurs, qu'on peut présumer chimiquement tout à fait équilibrés... pourraient vieillir eux aussi.
Le terroir, alors ? La touche du vinificateur ? Tout simplement la « magie » du vin ?
Quant à l'acidité, je ne crois pas pour autant qu'elle garantisse à elle seule la bonne tenue du vin au vieillissement ; sinon, certains vins comme les seyvals québécois - ou encore des cuvées du Nouveau Monde acidifiées - pourraient vieillir des décennies.
Selon ce que j'en sais, et je ne suis ni oenologue ni un quelconque technicien, c'est beaucoup l'harmonie, l'équilibre irréprochable entre les diverses composantes, dont l'acidité, qui permet d'envisager un bon potentiel de vieillissement.
Encore là, ce n'est pas tout, parce qu'à ce compte, certains vins de dépanneurs, qu'on peut présumer chimiquement tout à fait équilibrés... pourraient vieillir eux aussi.
Le terroir, alors ? La touche du vinificateur ? Tout simplement la « magie » du vin ?
Marc Chapleau- Messages : 78
Date d'inscription : 03/06/2009
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Mais certains millésimes présentent des risques plus élevés pour les bretts non? Je pense entre autres à 2003 où il me semble que le problème était présent.
Ludwig Desjardins- Messages : 5774
Date d'inscription : 05/06/2009
Localisation : Montréal
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Marc Chapleau a écrit: Quant à l'acidité, je ne crois pas pour autant qu'elle garantisse à elle seule la bonne tenue du vin au vieillissement ; sinon, certains vins comme les seyvals québécois - ou encore des cuvées du Nouveau Monde acidifiées - pourraient vieillir des décennies.
Selon ce que j'en sais, et je ne suis ni oenologue ni un quelconque technicien, c'est beaucoup l'harmonie, l'équilibre irréprochable entre les diverses composantes, dont l'acidité, qui permet d'envisager un bon potentiel de vieillissement.
Emile Peynaud a tout de même bien expliqué ces choses il y a plus de 40 ans... du moins pour les vins bordelais.
Le rôle de l'acidité est tout de même fort différent selon que le vignoble soit situé ou non à la limite nord de sa zone optimale. Le bordelais constitue essentiellement la limite nord pour le Cabernet Sauvignon et le Merlot, ce qui amène un besoin tout autre en acidité que pour les vins disons de Californie qui, eux seraient en pleine zone sud de production optimale. Ceci explique (en partie bien sûr) que les plus grands millésimes de garde bordelais (ou encore mieux comme exemple : dans la Loire en Cabernet Franc) soient les millésimes chauds, donc d'acidité plus basse. Inversement, les meilleurs millésimes à Cabernet pour la Californie seront ceux qui auront bénéficié d'une certaine fraîcheur sans agir au détriment de la maturité des baies. Et puis en blanc sec à Bordeaux c'est le contraire : on est à la limite sud du Sauvignon Blanc, si bien que les années chaudes donnant des vins d'acidité basse sont problématiques...
Olivier Collin- Messages : 2477
Date d'inscription : 03/06/2009
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Olivier Collin a écrit:Marc Chapleau a écrit: Quant à l'acidité, je ne crois pas pour autant qu'elle garantisse à elle seule la bonne tenue du vin au vieillissement ; sinon, certains vins comme les seyvals québécois - ou encore des cuvées du Nouveau Monde acidifiées - pourraient vieillir des décennies.
Selon ce que j'en sais, et je ne suis ni oenologue ni un quelconque technicien, c'est beaucoup l'harmonie, l'équilibre irréprochable entre les diverses composantes, dont l'acidité, qui permet d'envisager un bon potentiel de vieillissement.
Emile Peynaud a tout de même bien expliqué ces choses il y a plus de 40 ans... du moins pour les vins bordelais.
Le rôle de l'acidité est tout de même fort différent selon que le vignoble soit situé ou non à la limite nord de sa zone optimale. Le bordelais constitue essentiellement la limite nord pour le Cabernet Sauvignon et le Merlot, ce qui amène un besoin tout autre en acidité que pour les vins disons de Californie qui, eux seraient en pleine zone sud de production optimale. Ceci explique (en partie bien sûr) que les plus grands millésimes de garde bordelais (ou encore mieux comme exemple : dans la Loire en Cabernet Franc) soient les millésimes chauds, donc d'acidité plus basse. Inversement, les meilleurs millésimes à Cabernet pour la Californie seront ceux qui auront bénéficié d'une certaine fraîcheur sans agir au détriment de la maturité des baies. Et puis en blanc sec à Bordeaux c'est le contraire : on est à la limite sud du Sauvignon Blanc, si bien que les années chaudes donnant des vins d'acidité basse sont problématiques...
Très intéressant Olivier, mais n'est-ce pas un raisonnement un peu trop simpliste de la complexité du problème, même venant de M. Peynaud? On pourrait en déduire que 2003 est donc un millésime de grande garde, alors que ça reste à être démontrer, surtout en rive droite ou déjà on voit des vins mollassons qui ne sortiront peut-être jamais de leur torpeur.
Ludwig Desjardins- Messages : 5774
Date d'inscription : 05/06/2009
Localisation : Montréal
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Olivier Collin a écrit:
Emile Peynaud a tout de même bien expliqué ces choses il y a plus de 40 ans... du moins pour les vins bordelais.
Le rôle de l'acidité est tout de même fort différent selon que le vignoble soit situé ou non à la limite nord de sa zone optimale. Le bordelais constitue essentiellement la limite nord pour le Cabernet Sauvignon et le Merlot, ce qui amène un besoin tout autre en acidité que pour les vins disons de Californie qui, eux seraient en pleine zone sud de production optimale. Ceci explique (en partie bien sûr) que les plus grands millésimes de garde bordelais (ou encore mieux comme exemple : dans la Loire en Cabernet Franc) soient les millésimes chauds, donc d'acidité plus basse. Inversement, les meilleurs millésimes à Cabernet pour la Californie seront ceux qui auront bénéficié d'une certaine fraîcheur sans agir au détriment de la maturité des baies. Et puis en blanc sec à Bordeaux c'est le contraire : on est à la limite sud du Sauvignon Blanc, si bien que les années chaudes donnant des vins d'acidité basse sont problématiques...
N'est-ce pas là souligner que les grands millésimes de garde impliquent un équilibre entre ce qu'on appelle la maturité phénolique et l 'acidité et peut-être même d'autre composants comme l'alcool (potentiel), le caractère du fruit (cuit ou éclatant), etc.?
Franz-E. Schürch- Messages : 506
Date d'inscription : 15/06/2009
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Ludwig Desjardins a écrit:
Très intéressant Olivier, mais n'est-ce pas un raisonnement un peu trop simpliste de la complexité du problème, même venant de M. Peynaud? On pourrait en déduire que 2003 est donc un millésime de grande garde, alors que ça reste à être démontrer, surtout en rive droite ou déjà on voit des vins mollassons qui ne sortiront peut-être jamais de leur torpeur.
Un peu simpliste dans l'absolu certes... mais tout de même moins que les adages très généraux comme "ce qui fait bien vieillir un vin c'est l'acidité" ou encore "ce qui fait bien vieillir un vin c'est l'équilibre"... Mais bon, il faut prendre plus de temps pour s'exprimer avec précision, ce que lon n'a pas toujours le loisir de faire.
Premièrement je tiens à préciser que je ne me fais pas un apôtre de tous les vins issus de millésimes à acidité basse à Bordeaux. Ma préférence personnelle va bien plus souvent à des 1988 que des 1989, des 2001 plutôt qu'à de nombreux 2003, etc. Mais force m'est de constater que les plus grands vins que j'ai eu la chance de goûter à Bordeaux et qui se sont maintenus le mieux dans le temps n'étaient pas issus de millésimes "classiques", où l'acidité rafraîchissante joue un rôle vivifiant.
Ton exemple de 2003 est excellent pour parler d'un millésime qui crée des doutes quant au vieillissement, mais je ne suis pas convaincu que ce soit surtout une question d'acidité. Bien sûr Peynaud (ni personne de contemporain!) ne recommande au bordelais des années de sécheresse, de blocage de la vigne, de raisins complètement grillés qui se rendent en cuve car les rendements étaient bas,... sans parler de taux d'alcool avoisinant les 15%!
En étant plus nuancé, je dirais que 2003 est probablement une exception parmi les millésimes d'acidité basse dans le bordelais. On y a atteint les limites sudistes que l'oenologie bordelaise puisse travailler tout en préservant une forme de typicité ("Bordeaux n'est pas la plaine de Napa") comme rarement dans le passé.
Franz-E. Schürch a écrit:
N'est-ce pas là souligner que les grands millésimes de garde impliquent un équilibre entre ce qu'on appelle la maturité phénolique et l 'acidité et peut-être même d'autre composants comme l'alcool (potentiel), le caractère du fruit (cuit ou éclatant), etc.?
Je serais d'accord avec cette définition pour une appellation comme Châteauneuf, où certaines composantes peuvent facilement déséquilibrer un vin. Mais le bordelais a toujours produit des vins (assemblage de cépages à maturité différente, assemblages de parcelles, etc) qui sont d'un naturel équilibré. Le problème à Bordeaux vient bien plus souvent du mauvais temps que des excès de chaleur et de beau temps!
Pour essayer de mieux illustrer mon point, je prendrais la Loire en rouge comme exemple. Demandez-vous quels sont les millésimes de garde à Chinon, Bourgueil ou Saumur? Ce sont les années où le Cabernet Franc arrive à maturité dans une zone où il est encore trop souvent récolté pas assez mûr avec ses notes soit-disant typiques de poivron... L'acidité n'est - dans ce cas - vraiment pas un facteur pour y produire un vin de grande garde.
Olivier Collin- Messages : 2477
Date d'inscription : 03/06/2009
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
À Bordeaux, mais c’est aussi le cas de d’autres régions « froides », les millésimes à l’acidité en retrait se font habituellement taxer d’être faciles, peu disposés à affronter la garde. Ce fut le cas pour les 1982, 1990 entre autres, et de 2009 maintenant. Le recul devrait nous apprendre à se méfier de ces mises en garde et à conserver quelques flacons pour la très longue réclusion.
Certains m’ont raconté que les bourgognes 1959 étaient à ce point bons et séduisants jeunes que la majorité des gens croyaient qu’ils ne se garderaient pas … au point où ils en ont très peu gardés! Paraît que ceux qui en ont encore sont bien heureux!
Certains m’ont raconté que les bourgognes 1959 étaient à ce point bons et séduisants jeunes que la majorité des gens croyaient qu’ils ne se garderaient pas … au point où ils en ont très peu gardés! Paraît que ceux qui en ont encore sont bien heureux!
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Vincent Messier-Lemoyne- Messages : 8731
Date d'inscription : 12/05/2009
Age : 40
Localisation : Montréal
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
[quote="Olivier Collin"]
Mais tu dis que l'acidité n'est pas un facteur parce qu'en tant que limite nord, elle est acquise non? Elle est donc un facteur.
Ludwig Desjardins a écrit:
Pour essayer de mieux illustrer mon point, je prendrais la Loire en rouge comme exemple. Demandez-vous quels sont les millésimes de garde à Chinon, Bourgueil ou Saumur? Ce sont les années où le Cabernet Franc arrive à maturité dans une zone où il est encore trop souvent récolté pas assez mûr avec ses notes soit-disant typiques de poivron... L'acidité n'est - dans ce cas - vraiment pas un facteur pour y produire un vin de grande garde.
Mais tu dis que l'acidité n'est pas un facteur parce qu'en tant que limite nord, elle est acquise non? Elle est donc un facteur.
Franz-E. Schürch- Messages : 506
Date d'inscription : 15/06/2009
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Franz-E. Schürch a écrit:
Mais tu dis que l'acidité n'est pas un facteur parce qu'en tant que limite nord, elle est acquise non? Elle est donc un facteur.
Elle est alors plutôt un facteur négatif pour la production d'un grand vin de garde dans de telles régions. Ce n'est pas demain la veille que l'on verra des Bourgueil ou des Chinon mollassons.
Olivier Collin- Messages : 2477
Date d'inscription : 03/06/2009
Re: Les primeurs comme si vous y étiez
Je viens de lire une nouveauté dans le Courrier Vinicole: "Afin de continuer à recevoir la version papier du Courrier vinicole, il vous faudra commander pour au moins 150 $ de produits par année dans le cadre des opérations de vente du Courrier vinicole."
J'espère que c'est bien commander pour au moins 150$ et non acheter pour au moins 150$, car avec mes pauvres allocations ils m'arrivent très souvent de ne rien pouvoir acheter!
Sinon, pourquoi faire de tels dépliants glacés hors format et très chers l'heure de l'internet?
J'espère que c'est bien commander pour au moins 150$ et non acheter pour au moins 150$, car avec mes pauvres allocations ils m'arrivent très souvent de ne rien pouvoir acheter!
Sinon, pourquoi faire de tels dépliants glacés hors format et très chers l'heure de l'internet?
Ludwig Desjardins- Messages : 5774
Date d'inscription : 05/06/2009
Localisation : Montréal
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