Début octobre 2010...

Ping-pong et Bojos entre copains...

Hubert LaPierre Chénas Vieilles Vignes 2009
Joli nez discret sur le fruit frais et coté floral (violettes)
Un vin dense, charnu, profond et sérieux, avec une belle fraicheur. Une première pour moi avec ce producteur, franchement excellent, avec un bon potentiel de garde. 90+ pts

Louis Claude Desvignes Morgon La Voute St Vincent 2009
Plus moderne que le Chénas de Lapierre goûté juste avant. Nez parfumé, attaque souple et enjôleuse, creux en milieu de bouche, belle et longue finale minérale avec une rétro sur la violette. Charmeur et rond mais pas superficiel. Très beau Morgon. 89 pts

Lousteauneuf 2007. Agréable surprise.

2006 Domaine Armand Rousseau Père et Fils Clos de la Roche
Rarement ai-je bu un vin m’ayant donné autant l’impression de goûté la vigne, le terroir, et sans jeu de mots facile, les roches sous les plants. Dès l’ouverture, on perçoit cet aspect rustique, séveux, on a presque le sentiment d’être à Morey-Saint-Denis, couché au beau milieu de ses vignes. Sans être particulièrement complexe, son bouquet est en plus d’une grande pureté, sur les fruits rouges. La bouche est d’une finesse et d’une élégance inouïe, voire rarissime, d’une texture caressante où tous les éléments sont en parfaite harmonie. De la soie en bouche, et un grand plaisir dont on ne peut se lasser. Le vin glisse jusqu’au moment où l’on s’apprête à l’avaler, et alors qu’on s’attend à une finale en douceur, symbole de ce qui précédait, il nous surprend par une finale explosive, intense et puissante, tapissant le palais, et s’étirant plusieurs secondes. Le vin a été mis en carafe immédiatement après le service du premier verre, et nous l’avons dégusté sur deux heures; il m’a grandement surpris par son accessibilité actuelle. J’ai adoré ce vin. 92-93

Une belle congestion nasale m'empêche de sentir et goûter quoi que ce soit depuis plus de deux jours ... à voir l'actitivé de cette rubrique, je ne suis pas le seul!! Rassurez-vous, je serai sur pied (et le nez bien libre!) jeudi pour La Paulée.

Gros week-end à Québec. Superbe bouffe au Champlain du Château Frontenac.

Champagne De Vonoge Brut 2000
Élégant tout en demeurant souple. Registre axé sur la finesse, jolie finale. Belle découverte qui laisse présager un beau moment à Montréal Passion Vin, à la fin du mois. 16/20

Domaine Jean-Louis Chave Hermitage (blanc) 2006
Belle robe à l’éclat doré. Nez qui prend un certain temps à se livrer. Gagne en puissance comme en définition : notes fines de miel, tilleul, d’acacia, de melon jaune avec un arrière-plan minéral lui donnant beaucoup de panache. Bouche merveilleuse, impression suave, texture grasse relevée par une acidité, qui bien que basse, donne à l’ensemble une tenue parfaite. Quel jeu d’équilibre! Longue finale caressante se terminant sur des notes salines. Un verre abandonné la nuit durante et revisiter le lendemain matin affichait une fraîcheur déconcertante. Magnifique. 18-19/20

Comte Liger-Bélair Vosne-Romanée premier cru Aux Reignots 2006
Le vin semble se refermer si je compare avec les deux dernières fois où j’ai eu le bonheur de le boire. Nez mystérieux qui pinotte avec maestria sur un fond minéral aux tonalités animales d’une terrible élégance et complété par des notes de sauge et de petits fruits noirs. Droit en attaque, la texture soyeuse prend rapidement le relais, gagne en volume, devient énergique. Bien ciselé, il offre une longue finale aromatique sur un registre amer qui lui donne beaucoup de coffre. Superbe. 17.5+

Vega-Sicilia Unico Coseco Ribera del Duero 1998
Robe dense, sans être grasse, rubis aux reflets prune. Bu sur près de 24h, le nez n’a cessé d’évoluer. Boisé soigné mais imposant s’entremêlant à merveille avec le caractère fruité lui confère un charme proprement irrésistible. Avec le temps, il gagne en complexité sur des tonalités d’épices exotiques, de havane, de fruits à noyau et un côté sanguin qui prend de plus en plus de place. Ça demeure néanmoins bien jeune et moins épanoui que le 1981 bu en début de semaine passée. La bouche magnifiquement constituée, dense, nourrie, puissante et sphérique avec une impression de boire un porto mais avec un côté aérien qui permet au tout de se déployer sans lourdeur, aucune. Finale en queue de paon. À laisser dormir en cave au minimum un 5-8 ans encore. On flirt avec le grandiose. Mais c'est diablement cher!!! 18-18.5+/20

De bien beaux canons!

Patrick Desy a écrit:Domaine Jean-Louis Chave Hermitage (blanc) 2006
Belle robe à l’éclat doré. Nez qui prend un certain temps à se livrer. Gagne en puissance comme en définition : notes fines de miel, tilleul, d’acacia, de melon jaune avec un arrière-plan minéral lui donnant beaucoup de panache. Bouche merveilleuse, impression suave, texture grasse relevée par une acidité, qui bien que basse, donne à l’ensemble une tenue parfaite. Quel jeu d’équilibre! Longue finale caressante se terminant sur des notes salines. Un verre abandonné la nuit durante et revisiter le lendemain matin affichait une fraîcheur déconcertante. Magnifique. 18-19/20

J'avais eu la chance de goûter ce vin à la Signature, le lendemain de son ouverture et j'avais été transporté ... au point d'en acheter, malgré le prix!

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:De bien beaux canons!

Patrick Desy a écrit:Domaine Jean-Louis Chave Hermitage (blanc) 2006
Belle robe à l’éclat doré. Nez qui prend un certain temps à se livrer. Gagne en puissance comme en définition : notes fines de miel, tilleul, d’acacia, de melon jaune avec un arrière-plan minéral lui donnant beaucoup de panache. Bouche merveilleuse, impression suave, texture grasse relevée par une acidité, qui bien que basse, donne à l’ensemble une tenue parfaite. Quel jeu d’équilibre! Longue finale caressante se terminant sur des notes salines. Un verre abandonné la nuit durante et revisiter le lendemain matin affichait une fraîcheur déconcertante. Magnifique. 18-19/20

J'avais eu la chance de goûter ce vin à la Signature, le lendemain de son ouverture et j'avais été transporté ... au point d'en acheter, malgré le prix!

Maintenant à 170$, si l'on profite d'un rabais supplémentaire (genre, 10%), ça devient franchement intéressant vu la très grande qualité!

C'est exactement ce que j'ai fait cet été!

Domaine du Clos des Fées Côtes du Roussillon Villages Vieilles Vignes 2007
Nez sur le fruit noir et l'anis, avec de plus en plus de garrigue, d'herbes grillées qui apparaissent à l'aération.
L'aération en carafe lui fait grand bien, il est plus large et profond qu'il n'y parait à l'ouverture. La bouche est grasse tout en montrant une souplesse et un joli grain de tanins. Un beau vin mais la finale est un peu chaleureuse à mon goût. 89 pts

Le lendemain les notes boisées sont dominantes, pas très jolies. J'avoue que je ne sais trop que penser sur le potentiel de garde et ce que ça va donner sur l'évolution.

Domaine Anne Gros, Clos Vougeot, Le Grand Maupertui 2007
Nez que je trouvais au départ fermé, une belle structure très fine avec un côté minéral. La bouche très fine , malgré le côté souvent austère d'un clos vougeot. Sans être un très grand vin, je le trouve racé sur des notes de bourgeons de cassis et de fleurs. Je suis à mes premières expériences de Anne et j'aime beaucoup la précision de ces vins. Un vin à attendre ...92-94

Suite à l'organisation de la dégustation Côte Rôtie dans l'ouest de la ville, j'avais le goût d'en prendre une.
En accompagnement d'une bavette de boeuf saignante,

Côte Rôtie 2003, Guigal
Un assemblage de 96% Syrah et 4% Viognier des côtes "brune et blonde".
La robe est rubis foncé. Un bouquet de fruits noirs confits dont bleuets et framboises sur un fond de lard fumé. Nous avons cherché les épices comme la réglisse et le poivre pendant longtemps........sans succès. La texture en bouche est bien glycérinée et veloutée. L'acidité est normale, les tannins sont joufflus et l'ensemble donne une bonne sucrosité tout en demeurant frais. Je n'aurais pas pas pensé Côte Rôtie à l'aveugle mais une shiraz très bien faite i:e sans excès. Un vin de négoce "haute couture" que j'ai souvent aimé. Ce millésime lui donne moins de typicité pour la région mais bien de son année, tout simplement! 16/20. Je vais laisser ma dernière bouteille à la cave pour encore 3 ans et ainsi la boire à 10 ans. 88$ à son prix d'achat n'en fait pas un grand rapport Q/P!


Ps Quelqu'un a essayé le millésime 2005?

Lors d’un dîner d’affaires hier :

Faiveley Les Mauvarennes blanc mercurey 2006 : Nez passablement boisé dont le profil tourne essentiellement autour du caramel, de la vanille et de la pâtisserie, avec quelques notes de fruits mûrs. La bouche est polie, peu dense, mais encore là marquée par l’élevage. Pas mal fait, mais trop boisé … Correct, sans plus.

Château La Croix St-Estèphe st-estèphe 2006 : Vin issu de l’écurie Cuvelier qui possède également le cru bourgeois Le Crock à St-Estèphe et le cru classé Léoville-Poyferré à St-Julien. Bouquet assez intense, frais et pur, classique. Bouche pleine, vigoureuse, légèrement rustique, mais fruitée, classique et plutôt plaisante. Un beau plaisir. Bien.

COSPRONS LEVANTS 1999, COLLIOURE, dom. du MAS BLANC, acheté en 2003, 35$.

Bouchon épeurant, imbibé à la demie, sentant le vinaigre. La robe n'est pas plus rassurante: ambrée, presque brune...moyennement opaque et très fluide. Nez très discret, peu invitant, ça sent l'eau...En bouche: insipide...ce vin a rendu l'âme ! Mais j'ai tout de même bu d'autres collioures de 8-10 ans qui étaient excellents.


De l'enfer au paradis:

CHÂTEAU LACROIX 1999, POMEROL, acheté en 2003, 50$.

Robe hyper classe, rouge sombre au collet orangé, assez opaque, fluide mais avec quelques particules flottantes. Nez subtil mais agréable, wow...juste à brasser le verre les arômes se réveillent et se déploient...de la confiture de mamie ! En bouche, voilà ce que bordeaux fait de mieux à mon avis: vachement bon, gras, élégant, racé, fruité, caressant le palais à chaque lampée, parfaitement mûr...du grand vin à petit prix !


Deux vins au purgatoire:

CHÂTEAU BEL AIR 1998, GEVREY CHAMBERTIN 1er CRU, dom.TAUPENOT-MERME, acheté en 2002, 60$.

Vieille robe, inhabituellement opaque pour ce cru que je connais, rouge d'un ocre trahissant son âge, un peu brouille. Odeurs de vieilles chaussetes, d'alcool et peu de fruits, ce qui m'inquiète toujours pour un bourgogne...En bouche: un vin tout de même soyeux, mais un peu acidulé, un peu amer, un peu fruité, un peu champignon, bref beaucoup de "un peu" et pas assez de "assez" ! Je suis perplexe, ce vin n'est pas mort, mais probablement sur son déclin. Il était temps de le boire !


LES PERRIÈRES 2005, POMMARD, dom.SÉBASTIEN MAGNIEN, acheté en 2008, 40$.

Robe moyennement opaque, élégante, rouge cerise au petit collet clair-rosé, à l'oeil ça a l'air soyeux. Petit nez subtil qui n'est pas sans me plaire...de la douceur, beaucoup de fruits, des épices (?), au nez ça a l'air bon. En bouche: effectivement soyeux, très sec, mais pas vraiment fruité et un peu sûrette. Est-il fermé ? Je carafe ! La carafe n'aide pas, il a vraiment peu de fruits...à mon avis ce vin fait dodo !


Un sang chaud:

MASSARA 2004, BAROLO, CASTELLO DI VERDUNO, acheté en 2010, 65$.

Même s'il n'est pas vieux, la robe n'est pas très éclatante mais plutôt d'un rouge sombre au collet ocre, assez pâlotte pour un italien (peut-être est-ce ainsi pour le barolo ?) et fluide. Nez discret, sucré, fruité, un beau petit nez. En bouche: pas représentatif de ce que j'ai bu d'italien mais excellent, pas mal corsé, très fruité, on perçoit bien l'alcool, malgré la robe ce vin a de quoi tenir encore le route un bon bout de temps.


Une verticale extatique:

CHÂTEAU LA CONSEILLANTE 2001, POMEROL, acheté en 2003, 160$.
CHÂTEAU LA CONSEILLANTE 2004, POMEROL, acheté en 2006, 95$.

Chouuuuu, pas de notes ! Un moment magique, des vins émouvants, envoûtants, dégustés avec des gens que j'aime, voilà ! Mais vais-je acheter du 2009 à 320$ ? Que non !!!


p.s. Michel: j'ai justement bu une Côte-Rotie blonde et brune de Guigal ce week-end, une 2002. Un vin mi-opaque, facile et fort plaisant à boire, mais ne connaissant pas beaucoup Côte-Rotie, je m'attendais tout de même à plus "costaud". J'ai eu l'impression de boire un bon bourgogne, suis-je dans le champs ?

Alain Roy a écrit:

p.s. Michel: j'ai justement bu une Côte-Rotie blonde et brune de Guigal ce week-end, une 2002. Un vin mi-opaque, facile et fort plaisant à boire, mais ne connaissant pas beaucoup Côte-Rotie, je m'attendais tout de même à plus "costaud". J'ai eu l'impression de boire un bon bourgogne, suis-je dans le champs ?

2002 = probablement l'un des pires millésimes de la région...

Patrick Desy a écrit:

Alain Roy a écrit:

p.s. Michel: j'ai justement bu une Côte-Rotie blonde et brune de Guigal ce week-end, une 2002. Un vin mi-opaque, facile et fort plaisant à boire, mais ne connaissant pas beaucoup Côte-Rotie, je m'attendais tout de même à plus "costaud". J'ai eu l'impression de boire un bon bourgogne, suis-je dans le champs ?

2002 = probablement l'un des pires millésimes de la région...

Mais par ailleurs, Alain, les Côte-rôtie sont sans doute les vins les plus souples, veloutés et charmeurs du Rhône. Bien que moins acides et présentant des arômes un peu plus bestiaux, la comparaison avec les Bourgogne n'est pas impertinente.

Bien d'accord, Franz.

Alain Roy a écrit:
j'ai justement bu une Côte-Rotie blonde et brune de Guigal ce week-end, une 2002. Un vin mi-opaque, facile et fort plaisant à boire, mais ne connaissant pas beaucoup Côte-Rotie, je m'attendais tout de même à plus "costaud". J'ai eu l'impression de boire un bon bourgogne, suis-je dans le champs ?

Franz-E. Schürch a écrit:
Mais par ailleurs, Alain, les Côte-rôtie sont sans doute les vins les plus souples, veloutés et charmeurs du Rhône. Bien que moins acides et présentant des arômes un peu plus bestiaux, la comparaison avec les Bourgogne n'est pas impertinente.

Tel un Dupont, je dirais même plus.
Enfin, il n'est pas difficile de dire plus que le "pas impertinente" de Franz, un sommet d'euphémisme!

À l'aveugle, il arrive souvent (à mon point de vue du moins) que certains Syrah et Pinot Noir présentent des caractéristiques similaires: bonne acidité, textures aériennes, arômes floraux et petit fruits rouges. C'est aussi vrai de quelques Gamays......

Il m'est arrivé de les confondre et de constater que je n'étais pas le seul.
Je préserverai l'anonymat des administrateurs impliqués....

C'est toujours agréable de me faire éclairer la lanterne...merci Messieurs !

Ninquén Moutain Vineyard Colchagua 2007 , Code SAQ :00928853

Servi avec un braisé de boeuf barbacoa

Le vin est sombre avec des reflets violets. Le nez offre fruits noirs, épices, mais aussi menthol, poivre noir, un peu de cacao et du bois. En bouche la matière est dense, complexe sur le fruit noir, les épices, un peu de menthe, de chocolat amer sur une finale assez longue où le bois est bien présent, mais qui n'écrase pas les saveurs perçues. Encore un vin très jeune. Aurait bénéficié d'une bonne heure de carafe (bu a bouteille ouvert sur près de 3 heures). Très bien.


Cépages: 65% Syrah, 35% Cabernet Sauvignon
Élevage: 19 mois (85% chêne francais et 15% américan, 80% barrique neuve et 20% 2e usage)
Taux alcool: 14,5%
Vinificateurs: Hernán Gras et Paul Hobbs conseille le domaine

Patrick

Château Thivin Côte de Brouilly Cuvée les Griottes 2009
Couleur dense et mauve typique du millésime.
Nez sur les violettes et les griottes. Le vin est dense et fin à la fois, avec de la fraîcheur et du fruit. C'est un superbe Côte de Brouilly, sérieux, plein, savoureux mais pas du tout racoleur. Le prix est ridicule. 91 pts

Mas Jullien Coteaux du Languedoc Les états d'âme du Mas Jullien 2008
Nez expressif de fraises, caneberges et…de tomates séchées, avec un coté poivré. En bouche, c’est frais, une bonne acidité, assez vigoureux, avec des tanins un peu verts. Savoureux, expressif, un vin de plaisir original, bien fait, mais l’effet millésime se fait sentir, moins dense et convaincant que les 2006 et 2007. 86-87 pts

J’ai terminé hier les deux verres restant du :

Alain Voge Les Vieilles Vignes cornas 2004 : Nez plus ouvert et moins brutal m’a-t-il semblé, sur des notes de framboise sauvage, d’encens, d’encre et de viande grillée. La bouche est plus épanouie également, franche, structurée. Finale assise, minérale, large et un peu rustique pour tout dire … Est-ce l’aération ou l’absence de comparaison avec Allemand, mais il m’a paru plus intéressant, toujours un peu brutal, mais plus expressif et cohérent … Excellent.

Vincent, comment ressentais-tu l'utilisation plus appuyée du bois chez Voge après quelques années en bouteille?

Martin

Quelqu'un s'est-il laissé tenté par le Terroir de Chablis 2009 de Patrick Piuze pour 25$ ? Oui, un québécois de St-Lambert à Chablis!!

Je m'en suis procuré quelques bouteilles hier et je dois avouer qu'il représente toute un prise pour le prix!! Il est frais, pur, salin et minéral. Il s'est bonifié tout au long du service. On s'entend pour dire qu'il ne s'agit pas d'un Clos de Drouhin, mais quand même, un rapport qualité-prix plus qu'intéressant. Un bel aperçu de ce que donnera les 2009.

Je dois avouer Martin n'avoir jamais été réellement indisposé par l'utilisation du bois chez Voge ... Ce 2004 n'en portait pas les traces, ni jeudi, ni hier. Je dois dire que c'est davantage son côté sauvage et terrien qui ressortait, même sur un millésime un peu en retrait comme 2004.

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:Je dois avouer Martin n'avoir jamais été réellement indisposé par l'utilisation du bois chez Voge ... Ce 2004 n'en portait pas les traces, ni jeudi, ni hier. Je dois dire que c'est davantage son côté sauvage et terrien qui ressortait, même sur un millésime un peu en retrait comme 2004.

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