Semaine du 31 mai 2020

De Martino Vigno Vignadores de Carignan Maule Valley 2013 (le 2015 est 39,75$ à la SAQ)
Couleur entre le grenat et le rubis avec un contour rosé. Arômes dominées par le sol avec cerises de terre, vieux bois, tabac, terre sèche tout en gardant une belle fraîcheur. Plus fruité et rustique en bouche, le corps du vin est semi-léger, mais la finale fraîche perdure un bon moment avec des tanins fins. J'ai trouvé le vin goûteux sans être concentré, peu fruité, mais intéressant. Se boit facilement car entre le vin sérieux et à bonne buvabilité. Bien apprécié le vin, mais ne casse rien non plus. Très bien+ (90)

Un vin qui avait "scoré" 96 points au Wine Advocate...

Catherine et Pierre Breton Nuits d'Ivresse 2015. J’avais beaucoup aimé ce Bourgueil et donc acheté quelques bouteilles malgré mon récalcitrant de chum face au cabernet franc. Il faut bien ce faire plaisir de temps à autre! Le vin offrait à son arrivée beaucoup de fruits et très peu de poivron. Hier, le fruit était moins dominant et avait laissé un peu plus de place au poivron mais rien de répulsif. Tout était noble et d’une grande délicatesse. Nez toujours habité par la fraise maintenant légèrement confiturée. Belle souplesse en bouche où le poivron rouge se dépose doucement pour ce perdre dans une certaine minéralité. Finale sapide. Petit bémol cependant, il y a la présence de cette gomme «Spearmint » d’un vin nature qui selon moi fait de l’ombre au cépage. Ça devient redondant ce goût nature...Du bon cabernet franc malgré tout mais pas pour mon chum qui m’a laissé finir la bouteille!

Maquina & Tabla Bierzo Laderas de Leonila 2017
J'avais un bon souvenir sur ce vin dans les millésimes précédents, mais avec le 2017 je suis un peu déçu, malgré le respect que j'ai pour ce couple de producteurs sérieux. Les style est trop nature pour moi, avec une robe trouble, des odeurs de levures, un léger pétillant, et une maturité peut-être non optimale. Je vais échanger mes autres bouteilles. C'est un vin tout de même intéressant, mais il manque de précision, et on trouve mieux pour le même prix dans cette région. 86-87

Christophe Pacalet Beaujolais les Marcellins 2018
Couleur rubis violacé assez foncé. Arômes de petits fruits compotés, d'épices sucrées, un peu de viande et de terre. Rond et gourmand malgré une petite verdeur en finale, le vin n'a pas beaucoup d'acidité ni de fraîcheur. Le fruit est cuit et rappelle le goût d'une tarte aux fruits des champs, de la prune et de la terre. Au style très accessible de Beaujo. Tout juste Bien+ (88)

Alexandre Trudel a écrit:Maquina & Tabla Bierzo Laderas de Leonila 2017
J'avais un bon souvenir sur ce vin dans les millésimes précédents, mais avec le 2017 je suis un peu déçu, malgré le respect que j'ai pour ce couple de producteurs sérieux. Les style est trop nature pour moi, avec une robe trouble, des odeurs de levures, un léger pétillant, et une maturité peut-être non optimale. Je vais échanger mes autres bouteilles. C'est un vin tout de même intéressant, mais il manque de précision, et on trouve mieux pour le même prix dans cette région. 86-87

Ouf! Il s’agit du même producteur que mon Verdejo à saveur de gomme Bazooka...Je me rappelle maintenant avoir aimé son Rueda 2014 à 35$; original mais bien fait. Sur le coup, je n’avais pas fait le lien. J’ose espérer que ce Mencia soit manqué plutôt que le style de la maison. De mon côté, je vais me tenir loin de ce producteur.

Cela dit, hier, j’ai également bu un Mencia. Celui de Veronica Ortega Quite Bierzo 2017, une suggestion de Fred. J’avais acheté 2 bouteilles. Mes impressions étaient mitigées sur la première car j’avais trouvé qu’elle manquait de fraîcheur. Ce qui n’est pas le cas de cette deuxième. Sans être au niveau des vins de Perez, c’est un Mencia de soleil, d’un rouge cerise foncée, au nez de fruits noirs, de violette et une pointe de pain grillé. Souple, vineux et des tanins poudreux s’installent délicatement en fin de bouche. Une finale chaude trahit son 14.5 degrés d’alcool. Belle découverte!

Trio rhodanien récemment :

Jamet côte-rôtie 2006 : Bouteille ouverte en matinée. Couleur sombre, moyennement dense et pas vraiment dégradée. Nez typé, avec des notes de cassis, de viande fumée, de poivre concassé. La vendange entière se fait sentir par des notes de laurier et de menthe. La bouche est de puissance moyenne, avec une texture assez fine, des tanins un rien rugueux et de la fraîcheur, procurant une impression craquante. Longueur correcte avec une bonne persistance aromatique. Si le vin est bon, on est quand même loin du statut mythique que le domaine a développé. Très bien.

Chapoutier Barbe Rac châteauneuf-du-pape 2010 : Bouteille ouverte en matinée. Couleur plus sombre qu’attendu, bien brillante. Nez mûr de figue, de cerise à l’alcool et de liqueur de prune, avec de notes d’herbes grillées, d’épices et de cacao en arrière-plan. Bouche ample, glycérinée avec un très bel éclat compte tenu de la richesse de l’ensemble. Les tanins sont fins et structurants, un rien de chaleur et d’amertume ponctuent la finale, mais sans que ce soit gênant, sur des notes animales (cuir, sang, écurie). Si j’attendais davantage de fraîcheur de ce millésime, j’ai été impressionné par le reste de la bouteille le lendemain. Une garde supplémentaire lui permettra de mieux se développer aromatiquement et de fondre davantage la finale. Potentiellement excellent.

Guigal La Mouline côte-rôtie 2007 : Une folie, ouverte sans préméditation. Nez magnifique dès le départ : liqueur de cassis, poivre rose et blanc, viande fumée, violette avec un soupçon d’élevage de qualité (genre espresso). La bouche est renversante, veloutée, puissante et tendre à la fois, fraîche et parfumée, éclatante et magnifiquement construite. La longueur est ahurissante, vibrante et caressante, aromatique et salivante. Un grand vin, sans aucun doute, d’une maîtrise totale. Je pense n’avoir jamais été déçu par une LaLaLa est ce fût encore le cas, bien que mes attentes aient été élevées, elles ont même été dépassées. Superbe, voire plus.

Ouin, ça avait l'air vraiment délicieux cette Mouline ! J'ai une petite 2009 et ça me donne envie de l'ouvrir, mais je vais résister !

Ça devait quand même être un peu jeune une 2007?

D'où l'absence de préméditation

Certes, mais pas trop.

Jean-Claude Ramonet Chassagne-Montrachet 2014
Nez discret mais plaisant, sur les herbes séchées, citron confit, les agrumes. Assez puissant en attaque, milieu de bouche bien sec, crayeux. Un joli vin fort agréable mais un peu court et pas très complexe. C’est bon, mais l’écart avec les magnifiques premiers crus 2014 du domaine est très grand, plus qu’ailleurs. 89 pts

Daniel Bouland Morgon Vieilles Vignes 2016
Joli vin au fruité pur, avec une belle énergie, de la fraîcheur à souhait, les tanins sont tendres, ça glisse tout seul. Il se boit comme un vin de soif, mais c’est beaucoup plus que ça, il a la finesse et l’éclat des meilleurs. Rapport q/p exceptionnel. 92-93 pts

Domaine de La Paonnerie Simplement Gamay Loire 2018 (IP Vins Dame-Jeanne, achat au Vin Mon Lapin pour 36$)
Couleur rubis assez sombre avec contour rosé. Arômes fruités, herbacés / végétales, avec des notes d'épices et de terre. Amertume assez présente qui s'ouvre sur le fruit, les épices et la terre, ainsi qu'un peu de notes végétales en finale. Un vin moyennement charmeur, goûteux et original. J'en boirais à nouveau. Très bien (89)

Après un RQB du tonnerre bu en un instant donc sans prise de notes, le Tetramythos Roditis Patras 2019 , a suivi un:

Guy Breton Morgon 2016
Couleur rubis peu sombre. Arômes de cerises, de baies rouges des champs, d'épices poivrées et un peu de terre, mais tout en fraîcheur. Beau fruit rouge en bouche, saveurs plus subtiles d'épices et de terre, petite amertume, moyenne à bonne acidité. Semble complexe tout en ayant une excellente buvabilité et donne l'impression de pouvoir être gardé un moment. Eu du plaisir avec le vin et les burgers qui l'accompagnait. Excellent (91)

R. López de Heredia Rioja Rosado Gran Reserva Viña Tondonia 2010


Nouvelle expérience avec ce vin qui est aujourd’hui probablement un des rosés les plus recherchés au monde. Un 10 ans sans aucun ride, la couleur est incroyable avec ses reflets orangés. La pelure d’agrume est immédiate au nez, de même que des notes d’herbes et d’orange sanguine. Il se présente presque comme un rouge léger, mais l’aspect rosé ressort en bouche avec de l’eau de rose, des petits fruits rouges frais, on se croirait en Provence si ce n’était de l’élevage de 4 ans qui ressort avec de délicates notes de noix. Atypique et délicieux, un rosé singulier qui traversera les années. 93

Tiens, pourquoi pas un sauvignon pour accompagner les petoncles poilés et crevettes grillées sur le BBQ.  Plusieurs choix possibles sur plusieurs millésimes.  Histoire de laisser vieillir les grands millésimes je consulte (Eh ! du moins j'essaie de consulter) les différents tableaux des millésimes, pour m'apercevoir que ça ne tient pas debout la plupart de ces tableaux lorsqu'il est temps de les consulter pour les vins de la Loire et plus particulièrement les blancs.  En bourgogne les chartes isolent Chablis de ceux de la Côte-de-Beaune distancées d'environ 140 km.  Pour les blancs de la Loire une seule mention même si la distance entre les vignes de Muscadet et de Sancerre est de 400 km et c'est sans compter la multitude de cépages différents.

Toujours est-il qu'à ce qu'il paraît, 2012 et 2013 ont été moins gâtés que les autres dans le coin de Sancerre.  J'opte donc pour Domaine Gérard Boulay Clos de Beaujeu 2012.  Robe de couleur or pâle (tout de même plus foncée que je m'attendais) le nez nous renvoie des notes de buis, de fleurs blanches, de pêche et de gazon fraîchement coupé.  L'attaque en bouche est puissante, grasse (2e étonnement) aérée et d'une grande longueur.  On n'est loin du millésime négligé.  Peut-être la touche du producteur ?  Belle bouteille 93 pts.  
p.s. Je viens de voir que je lui avais donné 91 en 2014 et 92 en 2017.  Il s'améliore le p'tit

Pierre, je déplore la même chose que toi pour les millésimes, il ne semble y avoir aucune source fiable pour la Loire. C'est encore pire pour le Languedoc d'ailleurs.

Par ailleurs, j'avais l'impression nette que 2012 était un très beau millésime à Sancerre...

Je ne sais plus où j'avais lu ça à l'époque mais j'avais fait le plein et ne l'ai jamais regretté. J'ai 18 notes de dégustation élogieuses sur mon CT...et plusieurs vins encore en cave...

Yves, c'est à ce lien que j'ai pris ces infos

https://www.platsnetvins.com/affnotemillesime.php?vin=595&appellation=Sancerre

Superbe duel de luxe avec neveu et sa blonde hier soir:

Bel-Air 2010, Gevrey-Chambertin 1er cru, Taupenot-Merme, acheté en 2013, 100$
versus
Chambertin grand cru 2010 de Camille Giroud, acheté en 2013, 230$

Pnp. Deux robes assez semblables, rubis vif et brillant assez soutenu, un peu plus le Chambertin, avec tout de même signe d'évolution dans les deux cas avec tuile au ménisque.

Bel-Air 1er cru: un peu puant au début, je pensais fuel mais c'était plutôt huile de truffe, avec du fruit rouge mi-cuit ?, généreux, des fleurs. Un bouquet très dégourdi, intense, complexe et costaud. Cependant il évolue vite dans le verres et les arômes s'ennoblissent significativement, me séduisant totalement. Je suis un peu dérouté par la première gorgée: il y a de l'austérité et de la richesse en même temps...Mais dès la deuxième, je commence à faiblir: la texture est superbement caressante, le fruité gourmand tout en restant classy, et plus le temps passe plus je savoure ce divin nectar. Il y a beaucoup de matière pas encore fondue à l'ensemble mais c'est vachement délicieux pareil...

Chambertin grand cru: Ça n'a pas été long que je l'ai identifié comme mon favori, il y a eu comme un coup de foudre instantané...Le bouquet est plus discret, timide, subtil, mais beaucoup plus élégant, délicat, féminin. C'est floral et épicé doux, sur le fruit rouge frais, ça pinote doucement. Il fait plus "pinot" pour moi, le bouquet étant moins concentré mais plus fin. Dès la première gorgée, ça brise le coeur...Moins de corps mais quel esprit ! De la finesse, de l'élégance, magnifique et émouvant jusqu'à la dernière goutte. Grand vin prêt à boire il me semble tandis que Bel-Air le sera dans quelques années.

Dégustés en semi-aveugle, je croyais que Bel-Air était le Chambertin vu sa matière plus intense.

Vraiment du pur bonheur d'avoir trempé mes lèvres toute la soirée dans ces deux superbes vins. Par contre je trouve que la différence de prix n'est pas justifiée si je me fie juste à ma bouche...La seule raison que je trouve c'est bêtement les appellations: on a ici un 1er cru et un grand cru.

En lisant ton compte rendu, ça me fait penser que j’ai dégusté Chambertin Armand Rousseau 2008 la semaine dernière. D’entrée de jeu, était très muet olphactivement. On a senti pendant toute la dégustation qu’il y avait beaucoup de matière à découvrir, mais le mutisme est demeuré. Le waw effect ne s’est malheureusement pas révélé. Néanmoins, des arômes timides d’épices, d’herbes sèches, de cerises et de soya étaient la. La matière avait une duration quand même longue. Malgré ces aspects qualitatifs, nous n’avons pas eu le plaisir attendu de ce vin, considérant sa stature. J’ai laissé le botch chez mon co-dégustateur qui l’a fini le lendemain. Le vin ne s’est pas plus révélé.

Pierre Beauregard a écrit:Yves, c'est à ce lien que j'ai pris ces infos

https://www.platsnetvins.com/affnotemillesime.php?vin=595&appellation=Sancerre

Un site étrange....très exhaustif, ils ont des tableaux de millésimes de vraiment partout, même l'état de New York ou d'Irancy!

Par contre, à Châteauneuf, ils mettent 4 étoiles à 2010 (peut-être le plus grand depuis 1990) mais 5 à 2009....puis 2007 au même niveau que 2011 et 2004 (que trois étoiles!), 2016 sous 2015, etc. etc.

En Bourgogne rouge, ils ont les 2018, 2017, 2016 sous les 2014, 2007, 2003,1998, 1997, ....ce qui me semble une hérésie, surtout pour 2016. Et 2013 sous 2011, 2008, 2006, 2004...

J'ignore leur méthode, est-une compilation d'amateurs membres de leur site? Je doute fort que leur tableau pour Échezeaux soit différent de celui de Givry ou Coteaux de l'Auxois, mais j'ai cessé mon analyse. J'ai l'impression qu'ils ne font que reproduire pour chaque appellation les cotes données à la grande région, car effectivement Sancerre a les mêmes notes que Muscadet...

Pinte Bien 2018, Arbois Poulsard, dom.de la Pinte, 32$.

Pnp. Robe claire et peu soutenue d'un genre de cerise pâle mixée avec de la pêche. Bouquet subtil mais archi fruité bonbon, genre bonbons aux cerises. Rien de complexe, fraîcheur, sucre, cerises...

En bouche rien n'accroche, ça coule comme de l'eau, rien de frappant non plus. La texture est belle, douce, pas d'amertume, acidité de bon aloi, le fruit est naturel et sucré. Belle attitude mais très court en finale. J'ai plus l'impression de boire un jus de fruit que du vin, sans offense...En tout cas rien pour écrire à ma mère !

Lendemain: bouquet encore plus subtil, fort simple, ça sent pas le jus de raisin mais le jus de cerises, à la limite le jus de canneberges. en bouche a peu bougé: simplet, jus de fruit sucré, sans amers, à peine tendu. J'ai pas l'habitude de boire au petit déjeuner, mais ça j'en prendrais bien un p'tit verre avec 2 oeufs-toasts-bacon !

32$ ??? Ça me fait poser des questions...

Week-end de pêche, ce n’est pas un contexte idéal pour déguster. Pas d’électricité, pas d’eau et des verres pas vraiment top....J’ai tout de même bu 2 excellents vins.

Tout d’abord, le riesling de Niepoort Fio Wine Ratzelhaft Riesling 2015. J’étais curieuse de voir comment Niepoort avait travaillé du riesling alllemand. Franchement, ce fut une belle découverte. Un riesling aux fruits blancs, belle acidité sur une finale très limette. Du beau travail!

Et, je ne pouvais pas passer à côté de la suggestion d’Olivier, le Domaine Raspail-Ay Gigondas 2016 Tout un rapport qualité/prix. Lorsque j’ai vu qu’il était à 15 degrés d’alcool, j’ai eu un peu peur. Aucune sensation de chaleur grâce à l’équilibre du vin. Cerises noires et after eight. Ce n’est pas un monstre de concentration mais par sa texture veloutée, ses tanins lissés et ses fruits noirs, il nous charme. Merci Olivier pour cette alerte, nous nous sommes régalés.

Sans prise de notes, avec les amis hier sur le bord de la piscine puis sur la terrasse, à 2m de distance:

Sumarroca Brut Nature Gran Reserva Cava 2015 qui a été sabré puis bu assez rapidement. Mes bulles préférées sous les 20$

Le nouveau millésime du Frangine de Pinard et Filles (2019), très floral sur l'hibiscus et la fleur d'oranger, assez goûteux, mais clairement jeune. Je préfère habituellement cette cuvée avec 1-2 ans de garde.

Et pour finir un excellent pinot d'ici, le Domaine du Nival Pinot Noir 2018. Savant mélange de finesse et de buvabilité, beaucoup de fruit et facteur plaisir au rendez-vous. Le meilleur exemple de cette cuvée bue à ce jour.

Yves Martineau a écrit:Pierre, je déplore la même chose que toi pour les millésimes, il ne semble y avoir aucune source fiable pour la Loire. C'est encore pire pour le Languedoc d'ailleurs.

Par ailleurs, j'avais l'impression nette que 2012 était un très beau millésime à Sancerre...

Je ne sais plus où j'avais lu ça à l'époque mais j'avais fait le plein et ne l'ai jamais regretté. J'ai 18 notes de dégustation élogieuses sur mon CT...et plusieurs vins encore en cave...

Cher Pierre,

Le meilleur tableau des millésimes est celui de Vinous, avec des tableaux différents pour Loire Sauvignon, Muscadet et chenin.

Celui sur le sauvignon (Sancerre, Pouilly et Mennetou) place l'année 2012 au niveau de 2005 et 2010, à 91 points. Ce sont les trois meilleurs millésimes après 2002.

https://vinous.com/vintages

Content d'apprendre qu'il existe un tableau représentatif des régions. Merci Yves du lien. Cependant, il faut être membre pour accéder à ce trésor

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