Clos Rougeard au Québec: c'est terminé

ca va ressembler à quoi alors? des allocs en IP et un dans le CV?

Si c'est formellement accepté, ce qui était prévu est une partie distribuée par la SAQ (sans doute un CV), l'autre par l'agent.

Bon, l'espoir d'en avoir encore renaît! Du 2010, ce serait tellement merveilleux pour souligner l'année de naissance des jumeaux

De mon côté, j'aimerais bien mettre la main sur des magnums de Bourg du millésime 2011 pour boire avec mon fils à ses 25 ans !!! On peut toujours rêver !!!

Voir l'article de Marc-André Gagnon, on y cite notre chevalier national!

http://vinquebec.com/node/13084

Cheers et bon weekend,

Simon

Patrick Désy a écrit:

Y'a aussi des journalistes qui posent des question, Michel...

Attendons quand même la confirmation de l'agent. Un dossier qui traîne depuis plusieurs mois.

J'ai failli verser une larme Pat !

Je me permets une réponse puisque la tempête semble passer sur ce dossier

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:
Si un producteur n'est en accord avec les méthodes de son agent, il n'a qu'à changer. Or, il n'existe pas d'alternative à la SAQ. Ce qui me sidère, c'est de voir un monopole d'état s'immiscer dans une relation d'affaires privée (entre un domaine, son agent et ses clients) sous de nobles motifs de démocratisation, alors que dans les faits, il n'en est rien.

Je ne suis pas d'accord avec toi, Vincent. En exigeant qu'une part des vins soient offerts au CV, j'ai au moins la chance d'en avoir. L'intention de la SAQ n'est peut-être pas sincère, mais le processus est démocratique. Dans ce cas précis, le résultat compte à mes yeux.
Jusqu'où peut-on laisser la liberté aux producteurs de faire ce qu'ils veulent lorsqu'ils passent par un système de distribution. Je veux que mon vin soit vendu seulement au 60 ans et plus (je caricature, ici)? Si un vigneron implante sur sa propriété une telle règle, c'est de ses affaires. À partir du moment, que tu traites avec un système de distribution, tu dois apprendre à faire certains compromis.
Ultimement, il n'y a pas de drame. À défaut d'engranger du Rougeard, je me replie sur Guiberteau. Et sans rien enlever au premier, je n'ai pas l'impression de manger des merles en buvant un Arboises ou un Motelles par rapport à un Poyeux.

Ludwig Desjardins a écrit:On se gave de belles paroles que le vin est partage, mais en réalité c'est la loi de la jungle, un peu du chacun pour soit dans la plupart des cas.

I drink to that! Même avec ma propension à la provocation, j'aurais hésité à écrire cette vérité. Un candidat pour le commentaire de l'année. Sans ironie ni sarcasme, ici.