Semaine du 12 octobre 2014
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Mat Foulidis
daniel.seriot
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Frederik Boivin
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Pascal Lapensee
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Semaine du 12 octobre 2014
Le repas se prépare, la brigade est en cuisine soit Tamara et Natacha alors que le sommelier se préoccupe du vin qui sera servi au repas......CR à venir!
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WineBoy
La dégustation à l'aveugle est une grande leçon d'humilité.
Michel Therrien- Messages : 10010
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Re: Semaine du 12 octobre 2014
Hier soir, pour l'annif à ma petite soeur - une bibitte à syrah - que je vois trop peu souvent:
Invité- Invité
Re: Semaine du 12 octobre 2014
En espérant vous lire sur ces deux belles quilles messieurs!
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"Mes goûts sont simples, je me contente aisément de ce qu'il y a de meilleur" - Winston Churchill
Vincent Messier-Lemoyne- Messages : 8731
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Re: Semaine du 12 octobre 2014
Anne Gros 2011 NSG Les Damodes: Superbe nez très charmeur, remplie d'eau de vie à la cerise, d'épices, de poivre et de violettes; les sensations en bouche suivent les perceptions du nez et est très minérale, équilibrée et très bien acidulée. Très beau vin!
Armand Rousseau 2011 Gevrey Chambertin: Nez très pop-corn et pipi de chat. Bouche très minérale, pierre de fusil, très puissante et longue, très beau fruit en bouche... La meilleure des 2 quilles mais de peu...
Armand Rousseau 2011 Gevrey Chambertin: Nez très pop-corn et pipi de chat. Bouche très minérale, pierre de fusil, très puissante et longue, très beau fruit en bouche... La meilleure des 2 quilles mais de peu...
Pascal Lapensee- Messages : 116
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Re: Semaine du 12 octobre 2014
Pascal Lapensee a écrit:
Armand Rousseau 2011 Gevrey Chambertin: Nez très pop-corn et pipi de chat. Bouche très minérale, pierre de fusil, très puissante et longue, très beau fruit en bouche... La meilleure des 2 quilles mais de peu...
Michelle Champagne- Messages : 3079
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Re: Semaine du 12 octobre 2014
Ouin Michelle, pas très élégant mon CR, mais bon...
Pascal Lapensee- Messages : 116
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Re: Semaine du 12 octobre 2014
Guigal La Turque 2009 Côte-Rôtie
Un vin dense au nez caressant. On sent l'effet millésime avec un fruit très mûr, presque confit au nez comme en bouche. Ça lui donne même un petit côté pataud qui enlève au côté habituellement lumineux du cru. Certes, le vin est très jeune, mais on sent l'ensemble homogène et presque déjà fondu. Du grand vin, mais la magie, si je puis dire, n'y était pas. D'ailleurs, le Côteaux du Tupin 2011 de Jean-Michel Stephan lui a fait ombrage.
18-18,5/20
Un vin dense au nez caressant. On sent l'effet millésime avec un fruit très mûr, presque confit au nez comme en bouche. Ça lui donne même un petit côté pataud qui enlève au côté habituellement lumineux du cru. Certes, le vin est très jeune, mais on sent l'ensemble homogène et presque déjà fondu. Du grand vin, mais la magie, si je puis dire, n'y était pas. D'ailleurs, le Côteaux du Tupin 2011 de Jean-Michel Stephan lui a fait ombrage.
18-18,5/20
Invité- Invité
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Patrick Désy a écrit:Guigal La Turque 2009 Côte-Rôtie
Un vin dense au nez caressant. On sent l'effet millésime avec un fruit très mûr, presque confit au nez comme en bouche. Ça lui donne même un petit côté pataud qui enlève au côté habituellement lumineux du cru. Certes, le vin est très jeune, mais on sent l'ensemble homogène et presque déjà fondu. Du grand vin, mais la magie, si je puis dire, n'y était pas. D'ailleurs, le Côteaux du Tupin 2011 de Jean-Michel Stephan lui a fait ombrage.
18-18,5/20
Salut Patrick,
Un peu d'air avant?
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Michel Therrien- Messages : 10010
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Localisation : Joliette
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Oui. Coup de carafe à l'ouverture, remis en bouteille et épaulé pendant 3 heures à la cave. Bu sur 2 heures. Le vin s'exprimait très bien.
Complètement l'inverse avec un Cornas Reynard 2010 de Allemand qui a finalement eu raison de nous ce soir-là; il n'a "commencé" à jaser qu'après 24h et encore, c'était difficile à lire.
Complètement l'inverse avec un Cornas Reynard 2010 de Allemand qui a finalement eu raison de nous ce soir-là; il n'a "commencé" à jaser qu'après 24h et encore, c'était difficile à lire.
Invité- Invité
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Pascal Lapensee a écrit:Ouin Michelle, pas très élégant mon CR, mais bon...
moi je trouve que ça parle...
Frederik Boivin- Messages : 1963
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Re: Semaine du 12 octobre 2014
ce w-e... de mémoire...
une superbe bouteille de Rauzan-Ségla 1988, de la même provenance que le R-S 1985 bu récemment. Décidément, quand c'est bien conservé ces lots chez Iegor, c'est fichetrement bon! Relativement jeune, quoique clairement sur son plateau. De beaux fruits rouges, graphite, un vin délicat mais avec une belle structure et une une belle acidité, sans tannins. Merci Yves - j'en prendrais d'autres!!!
Thierry Allemand Cornas Reynard 2006 - explosion de beaux fruits noirs, un peu de mélasse et de réglisse, d'anis. A encore plusieurs belles années devant lui, mais on n'y résiste pas! J'aime bien Allemand, chaque fois. Je travaille sur une verticale!
Château Rayas Réservé 2004 - un peu déçu... moins expressif que par le passé, quoique d'un millésime différent. J'ai eu plus de plaisir récemment avec un Fonsalette... Framboises, thym (ou romarin, me rappelle plus!). Un ensemble bien intégré, mais sans âme. Mauvaise phase???
Chassagne-Montrachet Morey Coffinet 2010 - superbe après une heure dans le verre. SVP, carafez! Ne faites pas la même erreur que moi!!!
Puis dimanche...
Bruno Clair Clos St-Jacques 1999 - insoutenable tellement c'était bon! On s'approchait de la perfection vis-à-vis mon humble palais. Meilleur que la plupart des vins que j'ai bu!!!
une superbe bouteille de Rauzan-Ségla 1988, de la même provenance que le R-S 1985 bu récemment. Décidément, quand c'est bien conservé ces lots chez Iegor, c'est fichetrement bon! Relativement jeune, quoique clairement sur son plateau. De beaux fruits rouges, graphite, un vin délicat mais avec une belle structure et une une belle acidité, sans tannins. Merci Yves - j'en prendrais d'autres!!!
Thierry Allemand Cornas Reynard 2006 - explosion de beaux fruits noirs, un peu de mélasse et de réglisse, d'anis. A encore plusieurs belles années devant lui, mais on n'y résiste pas! J'aime bien Allemand, chaque fois. Je travaille sur une verticale!
Château Rayas Réservé 2004 - un peu déçu... moins expressif que par le passé, quoique d'un millésime différent. J'ai eu plus de plaisir récemment avec un Fonsalette... Framboises, thym (ou romarin, me rappelle plus!). Un ensemble bien intégré, mais sans âme. Mauvaise phase???
Chassagne-Montrachet Morey Coffinet 2010 - superbe après une heure dans le verre. SVP, carafez! Ne faites pas la même erreur que moi!!!
Puis dimanche...
Bruno Clair Clos St-Jacques 1999 - insoutenable tellement c'était bon! On s'approchait de la perfection vis-à-vis mon humble palais. Meilleur que la plupart des vins que j'ai bu!!!
Frederik Boivin- Messages : 1963
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Localisation : montréal
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Saumur-Champigny 2006, Clos Rougeard
Une heure de carafe seulement. En général, j'ouvre 12-24 heures d'avance les vins du Clos Rougeard mais décision tardive pour faire plaisir à ma blonde qui en parle comme "mon beau petit cabernet franc".
La robe est pourpre peu intense avec un bon cm grenat en périphérie.
Le bouquet évoque le fruit mûr, un peu cuit avec soupçon de réglisse sans aucune trace de poivron. Un petit côté fumé / épicé avec un peu de havane laisserait songeur p/r à une origine bordelaise si j'étais en aveugle.
La bouche est comme à l'habitude....magique. Un beau volume, texture veloutée à soyeuse, la framboise revient rapidement tout comme un peu de fumée pour un ensemble d'une grand buvabilité et en fraicheur. Un touché de bouche bourguignon, un nez bordelais, une robe pâle, des tannins fins............je me fais toujours avoir à l'aveugle avec ce vin! Seul bémol, pas très long et dense. Mais que c'est bon.
16,5/20.
Une heure de carafe seulement. En général, j'ouvre 12-24 heures d'avance les vins du Clos Rougeard mais décision tardive pour faire plaisir à ma blonde qui en parle comme "mon beau petit cabernet franc".
La robe est pourpre peu intense avec un bon cm grenat en périphérie.
Le bouquet évoque le fruit mûr, un peu cuit avec soupçon de réglisse sans aucune trace de poivron. Un petit côté fumé / épicé avec un peu de havane laisserait songeur p/r à une origine bordelaise si j'étais en aveugle.
La bouche est comme à l'habitude....magique. Un beau volume, texture veloutée à soyeuse, la framboise revient rapidement tout comme un peu de fumée pour un ensemble d'une grand buvabilité et en fraicheur. Un touché de bouche bourguignon, un nez bordelais, une robe pâle, des tannins fins............je me fais toujours avoir à l'aveugle avec ce vin! Seul bémol, pas très long et dense. Mais que c'est bon.
16,5/20.
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La dégustation à l'aveugle est une grande leçon d'humilité.
Michel Therrien- Messages : 10010
Date d'inscription : 01/06/2009
Age : 61
Localisation : Joliette
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Joseph Drouhin Beaune 1er Cru Clos des Mouches Blanc 1997
Beau doré de moyenne intensité. Nez un peu repoussant à l’ouverture, il se replace à l’aération et offrira des arômes de pommes brunies, de champignon, de noix et de fumée. En bouche, le même niveau d’évolution et de saveurs est du même registre, mais l’acidité bien présente sur fond gras rend le tout bien agréable. Sur les fromages, un délice ! Il m’en reste et j’en suis bien heureux…
Fait 13,5% d’alcool.
Beau doré de moyenne intensité. Nez un peu repoussant à l’ouverture, il se replace à l’aération et offrira des arômes de pommes brunies, de champignon, de noix et de fumée. En bouche, le même niveau d’évolution et de saveurs est du même registre, mais l’acidité bien présente sur fond gras rend le tout bien agréable. Sur les fromages, un délice ! Il m’en reste et j’en suis bien heureux…
Fait 13,5% d’alcool.
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Une remarquable dégustation le 19/09/2014 chez un ami libournais autour d’un repas girondin (dont une excellente lamproie)
Les vins sont servis en carafe et à l’aveugle
Ermitage : Ferraton : Le Reverdy : 2006
La robe offre une teinte jaune clair, sans aucun signe d’évolution, le nez net s’ouvre de plus en plus intensément à l’aération sur des arômes, de fruits jaunes et d’agrumes légers, de fleurs séchées, de roches broyées, et de pierre à fusil. La bouche est riche, grasse très charnue, ample, volumineuse, fruitée et florale. La finale est allongée, très pleine et dense, l’acidité gustative est assez basse, des amers nobles de peaux de fruits, associés à une très nette salinité participent à l’équilibre et à l’harmonie, avec des saveurs de d’herbes aromatiques et de légers fruits exotiques. Noté 17, même note plaisir
Barbaresco : Sottimano : Pajoré 2007
La robe est assez soutenue à soutenue de couleur pourpre, avec une très légère évolution au bord du disque. Le bouquet très séduisant et expressif, évoque une roseraie aux fragrances multiples et envoutantes au premier plan, et des fruits mûrs et frais (cerises dominantes) nuancées de fines épices orientales, et des notes balsamiques. L’attaque est soyeuse les tannins fins, racés, mûrs et serrés se trament dans un corps fuselé, dense, charnu, généreux, profond, agrémenté de fruits finement épicés, La longue finale, d’un séduisant velouté de texture est fraîche, dynamique, élégante, bien tenue par des tannins fins et enrobés, elle est soulignée par les enjôlantes saveurs perçues à l’olfaction. Note potentielle 17,5, note plaisir 17
Saint Emilion : Pavie Macquin 1998 (magnum)
La robe est profonde de couleur sanguine, sans signe d’évolution. L’olfaction est intense, avec des arômes de fruits noirs (cerises et cassis en retrait), de boites à épices douces, des notes florales et légèrement réglissées, et une pointe de truffe noire, l’élevage de grande qualité est bien en retrait, quasiment fondu. La bouche est riche, haute dès l’attaque, les sensations sont ascendantes, le centre est très sphérique, ample, naturellement puissant, très charnu, rehaussé de fruits intenses et purs (cerises). La longue finale, harmonieuse, veloutée, dense, précise, énergique et dynamique, d’une bonne fraîcheur est mise en valeur par de très expressives saveurs fruitées, de fines épices, des notes florales et légèrement truffées. Note potentielle 18, voire plus, note plaisir 17,5. Un vin d’une grande jeunesse dans ce format.
A suivre…
Les vins sont servis en carafe et à l’aveugle
Ermitage : Ferraton : Le Reverdy : 2006
La robe offre une teinte jaune clair, sans aucun signe d’évolution, le nez net s’ouvre de plus en plus intensément à l’aération sur des arômes, de fruits jaunes et d’agrumes légers, de fleurs séchées, de roches broyées, et de pierre à fusil. La bouche est riche, grasse très charnue, ample, volumineuse, fruitée et florale. La finale est allongée, très pleine et dense, l’acidité gustative est assez basse, des amers nobles de peaux de fruits, associés à une très nette salinité participent à l’équilibre et à l’harmonie, avec des saveurs de d’herbes aromatiques et de légers fruits exotiques. Noté 17, même note plaisir
Barbaresco : Sottimano : Pajoré 2007
La robe est assez soutenue à soutenue de couleur pourpre, avec une très légère évolution au bord du disque. Le bouquet très séduisant et expressif, évoque une roseraie aux fragrances multiples et envoutantes au premier plan, et des fruits mûrs et frais (cerises dominantes) nuancées de fines épices orientales, et des notes balsamiques. L’attaque est soyeuse les tannins fins, racés, mûrs et serrés se trament dans un corps fuselé, dense, charnu, généreux, profond, agrémenté de fruits finement épicés, La longue finale, d’un séduisant velouté de texture est fraîche, dynamique, élégante, bien tenue par des tannins fins et enrobés, elle est soulignée par les enjôlantes saveurs perçues à l’olfaction. Note potentielle 17,5, note plaisir 17
Saint Emilion : Pavie Macquin 1998 (magnum)
La robe est profonde de couleur sanguine, sans signe d’évolution. L’olfaction est intense, avec des arômes de fruits noirs (cerises et cassis en retrait), de boites à épices douces, des notes florales et légèrement réglissées, et une pointe de truffe noire, l’élevage de grande qualité est bien en retrait, quasiment fondu. La bouche est riche, haute dès l’attaque, les sensations sont ascendantes, le centre est très sphérique, ample, naturellement puissant, très charnu, rehaussé de fruits intenses et purs (cerises). La longue finale, harmonieuse, veloutée, dense, précise, énergique et dynamique, d’une bonne fraîcheur est mise en valeur par de très expressives saveurs fruitées, de fines épices, des notes florales et légèrement truffées. Note potentielle 18, voire plus, note plaisir 17,5. Un vin d’une grande jeunesse dans ce format.
A suivre…
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Alzero 1998, Giuseppe Quintarelli
On reconnait un grand vin dès que l'on approche son verre rempli au nez pour la première fois. Des notes de truffes, de champignons porcini ainsi qu'une vaste gamme de fruits noirs et d'épices asiatiques envahissent le nez ... ainsi que la signature Quintarelli. Pour tous ceux qui ont eu la chance de déguster un vin de ce domaine, vous savez de quoi je parle. En bouche, il est concentré et riche avec une finale qui ne finis presque jamais. Pour moi, l'Alzero, est sans equivoque le vin italien le plus unique et malgré son prix élevé, vaut chaque $0.01! 97pts
N.B. le 2004 sera offert prochainement dans le CV de l'Italie. 2004 est de loin un meilleur millésime que 1998 et selon les revues, l'Alzero est une très grande réussite dans ce millésime.
On reconnait un grand vin dès que l'on approche son verre rempli au nez pour la première fois. Des notes de truffes, de champignons porcini ainsi qu'une vaste gamme de fruits noirs et d'épices asiatiques envahissent le nez ... ainsi que la signature Quintarelli. Pour tous ceux qui ont eu la chance de déguster un vin de ce domaine, vous savez de quoi je parle. En bouche, il est concentré et riche avec une finale qui ne finis presque jamais. Pour moi, l'Alzero, est sans equivoque le vin italien le plus unique et malgré son prix élevé, vaut chaque $0.01! 97pts
N.B. le 2004 sera offert prochainement dans le CV de l'Italie. 2004 est de loin un meilleur millésime que 1998 et selon les revues, l'Alzero est une très grande réussite dans ce millésime.
Mat Foulidis- Messages : 171
Date d'inscription : 28/02/2013
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Je suis sans doute une des rares personnes ici à avoir du Kabinett 2002 en cave..
Fritz Haag Brauneberger Juffer-Sonnenuhr Riesling Kabinett
Mosel Saar Ruwer 2002
Nez discret de citron confit.
Attaque d'une belle vivacité, avec un léger perlant vivifiant, le milieu de bouche est intéressant avec une belle minéralité, la finale est saline, en finesse, de longueur moyenne. Il reste un peu de sucre résiduel, ce qui me lasse un peu à la longue, mais j'ai bien aimé les deux premiers verres. 88 pts
Fritz Haag Brauneberger Juffer-Sonnenuhr Riesling Kabinett
Mosel Saar Ruwer 2002
Nez discret de citron confit.
Attaque d'une belle vivacité, avec un léger perlant vivifiant, le milieu de bouche est intéressant avec une belle minéralité, la finale est saline, en finesse, de longueur moyenne. Il reste un peu de sucre résiduel, ce qui me lasse un peu à la longue, mais j'ai bien aimé les deux premiers verres. 88 pts
Yves Martineau- Messages : 8370
Date d'inscription : 07/06/2009
Localisation : Montréal
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Mat Foulidis a écrit:N.B. le 2004 sera offert prochainement dans le CV de l'Italie. 2004 est de loin un meilleur millésime que 1998 et selon les revues, l'Alzero est une très grande réussite dans ce millésime.
J'ai reçu hier l'invitation pour la dégustation, mais sait-on quand la liste des produits offerts sera disponible?
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Vincent Messier-Lemoyne- Messages : 8731
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Localisation : Montréal
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Un Baron qui cuisine, il va finir par perdre ses quartiers de noblesse
Je me suis trompé de rubrique. Excusez-moi
Je me suis trompé de rubrique. Excusez-moi
Dernière édition par daniel.seriot le Mer 15 Oct 2014 - 14:38, édité 1 fois
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Mercredi midi bien occupé qui m'a fait manquer la vente à la SAQ, mais j'avais une bonne raison:
Vous le reconnaissez?!
Quelle machine à raconter des histoires! Grande rencontre.
Ce soir, lancement du dernier guide de Jacques Orhon (devait y avoir quelques belle fioles) suivi d'une jolie verticale de Ducru Beaucaillou de 2000-2011 avec possiblement le 2012 en primeur et la présence du fort sympathique Monsieur Borie.
Ah oui, hier soir, on s'est fait les vins d'épicerie de Chartier à l'aveugle avec d'autres vins de dépanneur/Cotsco et quelques petits crus à moins de 15$ de la SAQ. Vidéo qui devrait être sympa sur MR et un papier dans Journal de Montréal/Québec d'ici quelques jours
Vous le reconnaissez?!
Quelle machine à raconter des histoires! Grande rencontre.
Ce soir, lancement du dernier guide de Jacques Orhon (devait y avoir quelques belle fioles) suivi d'une jolie verticale de Ducru Beaucaillou de 2000-2011 avec possiblement le 2012 en primeur et la présence du fort sympathique Monsieur Borie.
Ah oui, hier soir, on s'est fait les vins d'épicerie de Chartier à l'aveugle avec d'autres vins de dépanneur/Cotsco et quelques petits crus à moins de 15$ de la SAQ. Vidéo qui devrait être sympa sur MR et un papier dans Journal de Montréal/Québec d'ici quelques jours
Invité- Invité
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Arianna Occhipinti SP68 Terre Siciliane IGT 2012
Rubis clair. Nez de petits fruits rouges, un peu d’épices, de terre et un léger côté végétal. En bouche, équilibre parfait entre les saveurs de fruits et l’acidité plus que rafraichissante ! Un pur délice fait de cépages moins commun.
Composé de Nero d’Avola et de Frappato à part égale et fait 12,5% d’alcool.
Rubis clair. Nez de petits fruits rouges, un peu d’épices, de terre et un léger côté végétal. En bouche, équilibre parfait entre les saveurs de fruits et l’acidité plus que rafraichissante ! Un pur délice fait de cépages moins commun.
Composé de Nero d’Avola et de Frappato à part égale et fait 12,5% d’alcool.
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Suite de la dégustation commentée hier
Les vins ont été mis en carafe et sont dégustés à l’ aveugle. Il sont présentés par paire.
Saint Emilion : Bellevue 2001 ( magnum)
La robe est profonde de teinte sanguine, sans signe d’ évolution au bord du verre. Le nez net et très expressif, évoque les cerises noires, les mûres sauvages, la cannelle, avec des notes de roses et de légères truffes noires. La bouche est très velouté en attaque, les tannins mûrs sont enrobés par une chair bien formée, le vin se développe dans un corps fuselé, plein d’une bonne densité aux rondeurs avenantes, agrémenté d’intenses fruits gourmands finement épicés. La finale portée par une acidité gustative mûre de bonne aloi, s’allonge, avec élégance, précision, bien tenue par des tannins d’une belle douceur tactile, très persistante grâce au saveurs appuyées de fruits variés, d’épices douces, des notes truffées et florales, elle est ponctuée par d’agréables sensations crayeuses et salines. Noté 17, même note plaisir
Saint Emilion : La Mondotte 2001
La robe est profonde, avec un liseré de couleur « sang de bœuf ». Le bouquet est intense et très séduisant avec des arômes de cerises mûres, de cassis écrasé, de boite à épices douces, avec des notes d’encens, et de truffes noires. La bouche est riche, les tannins mûrs, racés sont parfaitement habillés par une chair généreuse, le milieu de bouche, rehaussé de fruits explosifs est sphérique, ample, très charnu, d’une belle concentration dans le contexte du millésime. La finale est longue, fraîche, très soutenue, harmonieuse, bien dessinée, très persistante, et mise en valeur par les intenses saveurs décelées à l’olfaction. Noté 18, note plaisir 17,5. Un must dans le millésime, une bouteille un cran dessus de celle dégustée, il y a trois ans.
Les vins ont été mis en carafe et sont dégustés à l’ aveugle. Il sont présentés par paire.
Saint Emilion : Bellevue 2001 ( magnum)
La robe est profonde de teinte sanguine, sans signe d’ évolution au bord du verre. Le nez net et très expressif, évoque les cerises noires, les mûres sauvages, la cannelle, avec des notes de roses et de légères truffes noires. La bouche est très velouté en attaque, les tannins mûrs sont enrobés par une chair bien formée, le vin se développe dans un corps fuselé, plein d’une bonne densité aux rondeurs avenantes, agrémenté d’intenses fruits gourmands finement épicés. La finale portée par une acidité gustative mûre de bonne aloi, s’allonge, avec élégance, précision, bien tenue par des tannins d’une belle douceur tactile, très persistante grâce au saveurs appuyées de fruits variés, d’épices douces, des notes truffées et florales, elle est ponctuée par d’agréables sensations crayeuses et salines. Noté 17, même note plaisir
Saint Emilion : La Mondotte 2001
La robe est profonde, avec un liseré de couleur « sang de bœuf ». Le bouquet est intense et très séduisant avec des arômes de cerises mûres, de cassis écrasé, de boite à épices douces, avec des notes d’encens, et de truffes noires. La bouche est riche, les tannins mûrs, racés sont parfaitement habillés par une chair généreuse, le milieu de bouche, rehaussé de fruits explosifs est sphérique, ample, très charnu, d’une belle concentration dans le contexte du millésime. La finale est longue, fraîche, très soutenue, harmonieuse, bien dessinée, très persistante, et mise en valeur par les intenses saveurs décelées à l’olfaction. Noté 18, note plaisir 17,5. Un must dans le millésime, une bouteille un cran dessus de celle dégustée, il y a trois ans.
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Vietti Castiglione Barolo DOCG 2010
Grenat de moyenne intensité. Le nez lui, il est puissant; fruits rouges, cuir, épices, de fleurs séchées, on sent les arômes sans avoir le verre sous le nez ! En bouche, c’est un peu carré, animal, sur le cuir, les épices, on perçoit la puissance et la jeunesse du vin, avec des tannins bien présents sans être agressants, mais la finale (tellement longue!) florale jumelée à une acidité assez vive me charme totalement ! Pas peur pour la longue garde avec ce vin (et j’en ai pour l’âge de la majorité des jumeaux )
Fait de Nebbiolo de vignes âgées de 7 à 35 ans avec un rendement de 35 hl/ha. Élevage de 24 mois en fût, puis 8 mois en cuve de stainless avant d’être embouteillé. Fait 14% d’alcool.
Grenat de moyenne intensité. Le nez lui, il est puissant; fruits rouges, cuir, épices, de fleurs séchées, on sent les arômes sans avoir le verre sous le nez ! En bouche, c’est un peu carré, animal, sur le cuir, les épices, on perçoit la puissance et la jeunesse du vin, avec des tannins bien présents sans être agressants, mais la finale (tellement longue!) florale jumelée à une acidité assez vive me charme totalement ! Pas peur pour la longue garde avec ce vin (et j’en ai pour l’âge de la majorité des jumeaux )
Fait de Nebbiolo de vignes âgées de 7 à 35 ans avec un rendement de 35 hl/ha. Élevage de 24 mois en fût, puis 8 mois en cuve de stainless avant d’être embouteillé. Fait 14% d’alcool.
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Fin du superbe repas- dégustation chez un ami libournais.
Pomerol : Vieux Château Certan 1998
La robe assez profonde, de teinte sanguine, est d’une grande jeunesse. Le bouquet est expressif et élégant, avec des arômes cerises, de mûres sauvages, de boite à épices douces, nuancés de note florales (roses) de sous bois et de prémisses de truffes noires. La bouche est richement dotée, les tannins fins et mûrs se trament dans un corps dense, arrondi, charnu, d’une belle puissance sous jacente, rehaussé de fruits très intenses et gourmands. La longue finale, très fraîche, très bien tenue par des tannins au cœur de grain encore un peu ferme mais au contour poli et velouté, mise en valeur par une acidité gustative impeccable est harmonieuse et très persistante grâce aux intenses saveurs décelées à l’olfaction. Noté 18, note plaisir 17. Une bouteille moins évoluée que celle bue précédemment. Attendre son vingtième anniversaire pour davantage de plaisir.
Pauillac : Château Latour 1998
La robe est profonde de couleur sanguine. Le nez net et assez ouvert évoque le cassis, les épices variées, avec des notes de graphite, de résineux et une pointe végétale. La bouche est assez stricte, les tannins très fermes charpentent le vin énergiquement avec autorité dans un centre modestement charnu et assez fruitée. La finale est allongée solidement construite, mais tannique, très fraîche, même un peu vive, avec des saveurs fruitées et épicées assez expressives. Note potentielle 16, voire un peu plus, sur cette bouteille, si le vieillissement finit par patiner suffisamment les tannins et conserver une bonne intensité des fruits. Note plaisir 14.
Cornas : Domaine Courbis : La Sabarotte 1999
La robe est profonde, avec des reflets de teinte violine, L’olfaction est ouverte et avenante, avec des arômes de fruits noirs bien mûrs ( cassis dominant) d’épices variées (dont le poivre) d’herbes aromatiques séchées, avec des notes fumées et de légère tapenade. La bouche est très veloutée, les tannins fondus et serrés sont tramés dans un corps puissant, dense, ample et charnu rehaussé de fruits épicés expressifs. La finale est longue, énergique, sans se départir d’une bonne douceur tactile, d’une bonne fraîcheur, et une aération prolongée. Note plaisir 16,5
Pomerol : Vieux Château Certan 1998
La robe assez profonde, de teinte sanguine, est d’une grande jeunesse. Le bouquet est expressif et élégant, avec des arômes cerises, de mûres sauvages, de boite à épices douces, nuancés de note florales (roses) de sous bois et de prémisses de truffes noires. La bouche est richement dotée, les tannins fins et mûrs se trament dans un corps dense, arrondi, charnu, d’une belle puissance sous jacente, rehaussé de fruits très intenses et gourmands. La longue finale, très fraîche, très bien tenue par des tannins au cœur de grain encore un peu ferme mais au contour poli et velouté, mise en valeur par une acidité gustative impeccable est harmonieuse et très persistante grâce aux intenses saveurs décelées à l’olfaction. Noté 18, note plaisir 17. Une bouteille moins évoluée que celle bue précédemment. Attendre son vingtième anniversaire pour davantage de plaisir.
Pauillac : Château Latour 1998
La robe est profonde de couleur sanguine. Le nez net et assez ouvert évoque le cassis, les épices variées, avec des notes de graphite, de résineux et une pointe végétale. La bouche est assez stricte, les tannins très fermes charpentent le vin énergiquement avec autorité dans un centre modestement charnu et assez fruitée. La finale est allongée solidement construite, mais tannique, très fraîche, même un peu vive, avec des saveurs fruitées et épicées assez expressives. Note potentielle 16, voire un peu plus, sur cette bouteille, si le vieillissement finit par patiner suffisamment les tannins et conserver une bonne intensité des fruits. Note plaisir 14.
Cornas : Domaine Courbis : La Sabarotte 1999
La robe est profonde, avec des reflets de teinte violine, L’olfaction est ouverte et avenante, avec des arômes de fruits noirs bien mûrs ( cassis dominant) d’épices variées (dont le poivre) d’herbes aromatiques séchées, avec des notes fumées et de légère tapenade. La bouche est très veloutée, les tannins fondus et serrés sont tramés dans un corps puissant, dense, ample et charnu rehaussé de fruits épicés expressifs. La finale est longue, énergique, sans se départir d’une bonne douceur tactile, d’une bonne fraîcheur, et une aération prolongée. Note plaisir 16,5
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Mercurey Les Montots 2012 A et P de Villaine
Nez quasi absent, probablement un peu fermé vu la jeunesse et le transport récent de saq.com. Bouche ronde, sur les fruits rouges puis déclinant sur les cerises à l'eau-de-vie. Peu de longueur et une finale d'amertume. Très bien avec le repas (filet de veau et pommes de terre oubliées), donc je vais lui redonner une autre chance dans un an.
Addendum: j'ai relu vos notes sur ce vin, et celles de Burghound. J'aurais dû le carafer, et ça vaudra la peine de l'attendre. Merci!
Nez quasi absent, probablement un peu fermé vu la jeunesse et le transport récent de saq.com. Bouche ronde, sur les fruits rouges puis déclinant sur les cerises à l'eau-de-vie. Peu de longueur et une finale d'amertume. Très bien avec le repas (filet de veau et pommes de terre oubliées), donc je vais lui redonner une autre chance dans un an.
Addendum: j'ai relu vos notes sur ce vin, et celles de Burghound. J'aurais dû le carafer, et ça vaudra la peine de l'attendre. Merci!
Dernière édition par Stéphanie Chénier le Sam 18 Oct 2014 - 15:22, édité 1 fois
Stéphanie Chénier- Messages : 2261
Date d'inscription : 26/04/2014
Re: Semaine du 12 octobre 2014
Château Léoville Las Cases 1999, Saint-Julien 2ième GCC, acheté en 2004, 155$.
Robe sans aucun signe d'évolution, grenate assez profond mais nette. Pas le genre de nez que je préfère, fruits noirs genre cassis et un peu poussiéreux. Il parle mieux dans la bouche (bizarre ça comme formulation...), quoiqu'après la première "sip", comme disait babbo, il me laisse perplexe. C'est qu'il est écoeurant (dans le bon sens) quand il entre, mais il s'enfuit quand il sort (ça aussi c'est bizarre...). Mais ouf, le tout se replacera avec le temps pour apporter émotion, grande classe, fraîcheur et plaisir partagé. Très jeune cet ado de 15 ans...(Est-ce que j'achète de nouveaux millésimes à +ou- 500$ ? Non !!!)
Château Trottevieille 1999, St-Émilion 1er Grand Cru Classé, acheté en 2003, 60$.
Grenat, profond, limpide, très peu évolué à l'œil. Doux bouquet, fruits rouges confits, sucre, vanille. Au palais: doux, classy, féminin, sucré, fruité, miam miam...
Château Les Ormes de Pez 1999, St-Estèphe, acheté en 2006, 50$.
Le bouchon pue l'écurie. Jolie robe, moyennement profonde, tout à fait limpide, grenate, peu évoluée pour un p'tit cul, euh, un p'tit cru de 15 ans. Ça sent le bordelais fondu, je me sens invité. Fruits noirs, écurie, sucre et blabla, il sent bon. Pleinement satisfaisant en bouche, doux et plein et goûteux à la fois, amertume noble bien présente, pointe d'acidité rafraîchissante, du fruit, ouais, vraiment pas déçu par ce petit bourgeois de 15 ans. Il se vend toujours dans les alentours de 50$ pour du 2009-2010 en plus !
Robe sans aucun signe d'évolution, grenate assez profond mais nette. Pas le genre de nez que je préfère, fruits noirs genre cassis et un peu poussiéreux. Il parle mieux dans la bouche (bizarre ça comme formulation...), quoiqu'après la première "sip", comme disait babbo, il me laisse perplexe. C'est qu'il est écoeurant (dans le bon sens) quand il entre, mais il s'enfuit quand il sort (ça aussi c'est bizarre...). Mais ouf, le tout se replacera avec le temps pour apporter émotion, grande classe, fraîcheur et plaisir partagé. Très jeune cet ado de 15 ans...(Est-ce que j'achète de nouveaux millésimes à +ou- 500$ ? Non !!!)
Château Trottevieille 1999, St-Émilion 1er Grand Cru Classé, acheté en 2003, 60$.
Grenat, profond, limpide, très peu évolué à l'œil. Doux bouquet, fruits rouges confits, sucre, vanille. Au palais: doux, classy, féminin, sucré, fruité, miam miam...
Château Les Ormes de Pez 1999, St-Estèphe, acheté en 2006, 50$.
Le bouchon pue l'écurie. Jolie robe, moyennement profonde, tout à fait limpide, grenate, peu évoluée pour un p'tit cul, euh, un p'tit cru de 15 ans. Ça sent le bordelais fondu, je me sens invité. Fruits noirs, écurie, sucre et blabla, il sent bon. Pleinement satisfaisant en bouche, doux et plein et goûteux à la fois, amertume noble bien présente, pointe d'acidité rafraîchissante, du fruit, ouais, vraiment pas déçu par ce petit bourgeois de 15 ans. Il se vend toujours dans les alentours de 50$ pour du 2009-2010 en plus !
Alain Roy- Messages : 3458
Date d'inscription : 25/06/2010
Localisation : montreal
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