Semaine du 13 juillet 2014

Norman Hardie Cabernet Franc Prince Edward County 2012

Bu une autre bouteille de ce vin. Parfait sur le bord d'un feu en camping ! La bouteille se vide rapidement, comme ma réserve de ce vin !

Domaine Chignard Beaujolais-Villages 2012

Le vin est rubis brillant et translucide. Au nez, ça pinotte! Le combo fruit/épices/terre y est. En bouche, saveurs de petits fruits rouges, de cerises acidulées, un peu d’épices, de poussière et de fleur. Pas complexe ni profond au niveau des saveurs, mais elles sont bien définies et vibrantes. L’acidité du vin est assez vive, mais le vin est frais et savoureux, d’une longueur bien acceptable en bouche avec un facteur plaisir assez élevé. Fait 2,5% d’alcool.

Pierre Gaillard Syrah Dernière Vigne VDP Collines-Rhodaniennes 2012

Le vin est rubis dense et violacé. Au nez, arômes de petits fruits, de fumée, de fleurs, d’épices et de sapinage (conifère). En bouche, ce sont des saveurs de fruits noirs et rouges, d’épices (poivre et anis particulièrement), de viande fumée, peut-être un peu plus dense en matière et plus faible en acidité que par les millésimes passés, mais ce vin est gourmand, goûteux et bien agréable. Fait 12,5% d’alcool.

A. et P. de Villaine Bourgogne Côte Chalonnaise La Digoine 2009
Un nez discret mais racé. La bouche est plus ouverte qu’en 2011, bien que les tanins ne soient pas encore fondus. Le fruit est opulent, gourmand, presque sucré. La structure se met en place après une heure d’aération et il parait alors comme un beau Gevrey Villages, dont seule la finale un peu simple trahit sa modeste origine. Un vin d’une belle profondeur pour un pinot de ce prix (31$ à l'époque). 89-90 pts

Jean-Philippe Fichet Monthélie 1er Cru 2011
Pris au Filet......Un joli nez qui pinotte. Une belle pureté, un vin fin avec une élégance de Chambolle. Très bien. 89 pts

Michele Satta Bolgheri Piastraia 2006
Un nez charmeur, une bouche ronde et veloutée, chocolatée. C'est fait pour plaire, plutôt simple, et un peu chaleureux. J'avais un bon souvenir de cette cuvée mais cette bouteille me déçoit. 86 pts

Domaine Grand Veneur Châteauneuf-du-Pape Les Origines 2004
Je ne suis pas un grand fan du domaine….pourtant ce 2004 m’a agréablement surpris

Un nez plaisant, où je perçois à peine quelques notes de chêne, l’essentiel étant des arômes de fruit, de garrigue, figues, un peu de mélasse.

La texture en bouche a cette touche veloutée un peu plus moderne que le bois apporte, une puissance bien contenue. Heureusement, le bois s’est bien intégré et laisse aujourd’hui le fruit s’exprimer de belle façon. C’est savoureux, avec une certaine profondeur, des arômes de kirsch et de garrigue. Toutefois, une certaine sécheresse des tanins apparait après quelques heures. 89 pts

Peut-être est-ce la clé pour que j’apprécie mieux les vins de ce domaine: ne pas les boire en jeunesse (je les trouve alors trop boisés) mais attendre 10 ans.

En même temps, 89 pts pour un vin de ce prix et en considérant les domaines que tu affectionnes dans la région, je ne verrais pas trop pourquoi tu en rachèterais (hormis la curiosité).

Exact Vincent, j'ai d'ailleurs cessé avec le 2005. Il y a tant de beaux vins, à Ch9 ou ailleurs, aussi bien ne pas s'acharner avec les domaines avec lesquels on a moins d'affinités, surtout s'il faut attendre 10 ans!

[quote="Yves Martineau"]A. et P. de Villaine Bourgogne Côte Chalonnaise La Digoine 2009  
Un nez discret mais racé. La bouche est plus ouverte qu’en 2011, bien que les tanins ne soient pas encore fondus. Le fruit est opulent, gourmand, presque sucré. La structure se met en place après une heure d’aération et il parait alors comme un beau Gevrey Villages, dont seule la finale un peu simple trahit sa modeste origine. Un vin d’une belle profondeur pour un pinot de ce prix (31$ à l'époque). 89-90 pts



J'espère que tu vas t'en garder une à boire pour 2019 et +, elle m'a souvent épaté après 10 ans cette petite !

Oui Alain, j'en ai encore cing en cave!

Yves Martineau a écrit:Exact Vincent, j'ai d'ailleurs cessé avec le 2005. Il y a tant de beaux vins, à Ch9 ou ailleurs, aussi bien ne pas s'acharner avec les domaines avec lesquels on a moins d'affinités, surtout s'il faut attendre 10 ans!

Même chose pour moi avec Vieux Télégraphe par exemple...

Des vins goûtés une première fois avant le service ( en accompagnement d'une trilogie de langoustines pour le premier, et d'une nage de coquillages sur un lit d'artichaut pour le second).

Les vins ont été mis en carafe trois heures avant la dégustation, laissé en cave à 13°, et mis au réfrigérateur une heure avant le service

Alsace : Domaine de l’Agapé : Riesling Osterberg 2011
La robe de couleur or soutenue est brillante, le nez séduisant et bien ouvert évoque le citron, les fruits jaunes, les épices douces (dont le safran) avec des notes fumées et de naphte. L’attaque est riche, presque grasse, très charnue, avec de l’ampleur et du volume dans un centre rehaussé de fruits épicés, mis en exergue par une acidité sous-jacente  « mûre » qui étire , allonge et donne du tonus à une finale soutenue, harmonieuse, fraîche, soulignée par des saveurs de citron, de safran, et des notes salines. Noté 16,5, note plaisir 16. A attendre pour davantage de complexité.

Sancerre : Gérard Boulay : Monts Damnés 2011
La robe offre une teinte or soutenu ; l’olfaction est nette et assez intense, avec des arômes de fruits de la passion, d’oranges, d’épices orientales, nuancés de notes d’abricot, de léger menthol, et d’une touche de brioche. La bouche est opulente dès l’attaque, avec une grande chair, très veloutée, presque grasse, le vin se développe dans un milieu de bouche, sphérique et très plein, agrémenté de fruits gourmands et intenses. La finale est très persistante, d’une fraîcheur modérée (un peu juste à mon goût), d’un très bon maintien, bien en chair, expressive, avec les saveurs décelées à l’olfaction. Noté 16,5 pour les amateurs de ce type d’équilibre. Note plaisir 15,5

MD 2011 : Ce n'est donc pas votre type d'équilibre Daniel ?

Les 2008, 2010 et 2012 sont, à mon avis, plus opulents, dotés d'un meilleur équilibre et d'une très longue finale accentuant le plaisir en bouche.

Pierre,
Monts Damnés 2011 n'a pas la fraîcheur que j'aime dans les finales, il est même légèrement mou. C'était encore plus flagrant sur la cuvée de base 2011.
Sur les millésimes 2008 et 2010 les vins sont d'un autre calibre. Je n'ai pas goûté 2012, et pas acheté.

Très beau souper chez des amis le 12 juillet dernier...

2004 Bindi Chardonnay Quartz - Australia, Victoria, Port Phillip, Macedon Ranges

Un nez expressif et exotique de fruit jaune, exotique, avec quelques notes fumées. La bouche est riche, grasse, mais il est tout de même doté d'une belle vivacité. Un vin d'une bonne longueur, à la bouche enveloppante. Très bien mais il est à l'apéro un verre suffit. Sa richesse demande un repas (homard) pour s'acommoder. 90 pts (90 points)

2011 Thibault Liger-Belair Moulin-à-Vent La Roche - France, Burgundy, Beaujolais, Moulin-à-Vent
Un nez parfumé, floral, cerises, très joli.
Encore quelques traces d'élevage, mais la bouche est pure, le fruit éclatant, c'est très beau, frais et droit. Une belle découverte à Moulin-à-Vent. 91+ pts (91 points)

1995 Domaine Huet Vouvray Sec Le Mont - France, Loire Valley, Touraine, Vouvray
Un nez fascinant, complexe, de camphre, pierre à fusil, miel, coing, pomme chaude. La bouche est d'une acidité basse, aérienne, crayeuse. J'étais sur un 2002, sa jeunesse est impressionnante. Superbe vin, qui confirme la sagesse faire vieillir les vins du domaine, même les secs. 92 pts (92 points)

1999 Hubert Lignier Clos de la Roche - France, Burgundy, Côte de Nuits, Clos de la Roche Grand Cru
Un nez qui pinotte, avec de jolis arômes de sous-bois, framboises et mûres. Envoûtant. Une bouche bien vigoureuse et fine à la fois, d'une texture élégante, fougueuse mais délicate. C'est complexe et aérien, avec tout de même une solide colonne vertébrale. Magnifique! 93-94 pts (93 points)

2002 E. Guigal Côte-Rôtie La Mouline - France, Rhône, Northern Rhône, Côte-Rôtie
Un nez presque bourguignon (!), avec du sous-bois, fraises des champs, un coté fumé avec un peu de menthol.
Un vin racé et séveux, assez puissant, il possède un équilibre et une densité de grand vin. Il affiche une prestance phénoménale pour ce millésime honni. Quel vin! 93 pts (93 points)

Bonjour Yves,

As-tu déjà fait une correspondance entre tes notes sur 100 points et une échelle sur 20 points ?

Non Daniel, mais je crois que Michel Therrien l'a déjà fait.

daniel.seriot a écrit:Bonjour Yves,

As-tu déjà fait une correspondance entre tes notes sur 100 points et une échelle sur 20 points ?

Pourquoi ?

Une évaluation sur 100 points me parle moins qu' une autre sur 20.
La corrélation n'est certes pas nécessaire, mais alors on doit pouvoir savoir si la note correspond à un bon vin , très bon vin, excellent vin, etc..

Salut Daniel,
Voici la concordance que j'utilise.

14 = 82
14,5 = 84
15 = 85
15,5 = 87
16 = 88
16,5 = 90
17 = 91
17,5 = 93
18 = 94
18,5 = 96
19 = 97
19,5 = 99
20 = 100

Daniel, pour situer le degré de qualité, voici le résumé que fait le Wine Advocate de l'échelle sur 100:

Robert Parker's rating system employs a 50-100 point quality scale (Parker Points®). It is my belief that the various twenty (20) point rating systems do not provide enough flexibility and often result in compressed and inflated wine ratings. The Wine Advocate takes a hard, very critical look at wine, since I would prefer to underestimate the wine's quality than to overestimate it. The numerical ratings are utilized only to enhance and complement the thorough tasting notes, which are my primary means of communicating my judgments to you.

96-100:
An extraordinary wine of profound and complex character displaying all the attributes expected of a classic wine of its variety. Wines of this caliber are worth a special effort to find, purchase, and consume.

90 - 95:
An outstanding wine of exceptional complexity and character. In short, these are terrific wines.

80 - 89:
A barely above average to very good wine displaying various degrees of finesse and flavor as well as character with no noticeable flaws.

70 - 79:
An average wine with little distinction except that it is a soundly made. In essence, a straightforward, innocuous wine.

60 - 69:
A below average wine containing noticeable deficiencies, such as excessive acidity and/or tannin, an absence of flavor, or possibly dirty aromas or flavors.

50 - 59:
A wine deemed to be unacceptable.

Et celle du Wine Spectator:

Wine Spectator tasters review wines on the following 100-point scale:

95-100 Classic: a great wine
90-94 Outstanding: a wine of superior character and style
85-89 Very good: a wine with special qualities
80-84 Good: a solid, well-made wine
75-79 Mediocre: a drinkable wine that may have minor flaws
50-74 Not recommended

Merci Michel et Yves, pour le tableau de corrélation et les commentaires des critiques anglophones. Je vous propose mon tableau de corrélation, qui pourra ainsi éclairer ceux qui me lisent.

(corrélation notation sur 100 points- notation sur 20 points)


 < 80 ou <10 :  Vin défectueux : non noté
80- 84  ou  10 -12 : vins sans défauts majeurs, mais sans intérêt
85-86   ou  12,5- 13 : vin moyen
87-88   ou  13,5- 14 : assez bon vin, plus précis
89-90   ou  14,5-15 : bon vin : qui commence à avoir une allonge convenable
91-92   ou  15,5- 16 : très bon vin
93-94   ou  16,5 – 17 : excellent vin
95-96   ou  17,5- 18 : grand vin
97        ou  18,5 : très grand vin
98        ou  19 : vin exceptionnel
99        ou  19,5 : une approche de la perfection

Je propose une corrélation entre la notation sur 100 et la notation sur 20, car j’ai choisi de noter les primeurs bordelais sur 100 points (depuis le millésime 2006), c’est une corrélation linéaire (donc sans pondération), et ceci pour deux raisons :
j’ai une sensation peut-être plus aigüe que d’autres dégustateurs sur les défauts du vin : réduction rédhibitoire, brettanomyces, forte amertume, élevage de mauvaise qualité (vieux bois, serpillère, etc.)…
De plus depuis le millésime 2005, la plupart des critiques internationaux donne des notes de plus en plus élevées (supérieures ou égales à 95 points) à une cinquantaine, parfois plus, de vins dans les excellents ou grands millésimes, alors que la note de 90 points était le seuil de qualité, il y a une petite quinzaine d’années à Bordeaux, sans parler des notes superlatives accordées par Parker aux vins du Rhône sud notamment.
En résumé donner des notes inférieures à 10 (ou entre 60 et 80 sur l’échelle 100), n’a pas d’intérêt pour des vins qui présentent suffisamment de défauts (moindre pour d’autres dégustateurs, j’en conviens) à mon goût.
J’essaie, modestement et non sans difficultés, que le commentaire soit en adéquation avec mon évaluation.

Samedi soir, entre amis, après de sympathiques bulles, deux paires fort intéressantes :

Égly-Ouriet Tradition grand cru brut champagne : Élevage de 48 mois, dégorgement en juillet 2013. Couleur assez foncée. Nez de fruits secs, de fleur blanche et d’épices qui évoquent le gâteau aux fruits. Bouche pleine, finement effervescente, avec une impression vineuse et un dosage modéré. Bel éclat, finale longue et précise, sur le gingembre confit et la fumée. Excellent.

Morey-Coffinet Dents de Chien chassagne-montrachet 1er cru 2011 : Nez de poire mûre, d’acacia et de crème anglaise. Très jeune, moyennement complexe pour l’heure, mais distingué et profond. Bouche suave, souple et parfumée, très longue et élégante. Vin fin et aérien, gracile et harmonieux. Très belle persistance aromatique et superbe définition. Excellent, voire plus.

Morey-Coffinet Blanchots Dessus chassagne-montrachet 1er cru 2011 : Nez de fruits jaunes (abricot frais, pêche), d’agrumes frais, de miel et de pierre chaude. Attaque imposante, mûre et pulpeuse. Milieu de bouche qui se cherche un peu, mais finale relevée, avec une acidité et une empreinte minérale prégnantes. Vin blanc corsé et sauvage, dont la concentration et la complexité me ravissent à chaque fois. Moins en place que le précédent, mais promis à un bel avenir. Je n’ai pas goûté beaucoup de 2011 avec cette poigne. Assurément superbe à maturité.

Bartolo Mascarello barolo 2009 : Couleur rubis clair, jeune, mais translucide. Nez de petits fruits rouges acidulés, d’herbes grillées, de fleur fanée et d’épices douces. La bouche est plus costaude, ample et pleine, mais vigoureuse portée par des tanins minéraux et abondants. Un peu rustique en dégustation pure, il se révèle magnifiquement à table. Les tanins s’affinent sur la viande et sa fraîcheur rend justice à ce que le vin doit aussi être, une boisson désaltérante. Finale expansive et parfumée. Excellent, voire plus.

Giuseppe Rinaldi Brunate Le Coste barolo 2009 : Couleur plus sombre et nez ténébreux, sur la prune noire, la cerise amère, le café froid, la viande grillée et le goudron. Bouche plus pulpeuse que la précédente, dotée d’une mâche impressionnante. À partir du milieu de bouche, le tout se resserre considérablement, tout en gardant un éclat et une fougue impressionnants. Finale sauvage, plus structurelle qu’aromatique pour l’heure, mais d’une longueur étonnante. Un vin qui semble plus marqué par le millésime que le précédent, que la nourriture n’aura pas complètement délié. Un coureur de fond. Excellent, probablement plus à maturité, mais difficile à lire en l’état.

18 juillet 2014

Il y a de ces rares moments avec le vin, moments intimes, précieux, qui restent gravés en mémoire. Ils sont peu nombreux dans ma vie! Oui, il y a le partage du forum, les paulées pour les grands et les plus petits collectionneurs et ces nombreux moments de partage où nous ne devrions pas nous soucier de ce qui est offert... du moins c'est ce qui vit sur le forum. Mais tout de même... il faut reconnaître notre chance et c'est ce que je tente de faire ce soir!

La semaine dernière, ces moments de folies ont pris tout un autre sens pour moi. Première rencontre avec un domaine mythique, que tous ici connaissent et dont nombreux d'entre vous ont eu la chance de déguster à plusieurs reprises j'en suis sûr...

Sur la bucket list d'une personne très importante pour moi dont l'état de santé décline très rapidement:

Château d'Yquem, 1996 Moment touchant, empli d'émotions et d'admiration devant le flacon. Nous l'ouvrons lentement, avec précautions, nous assurant de ne pas engendrer le pire et retirer le bouchon convenablement pour conserver tout le potentiel du nectare. Une réelle cérémonie!

La robe est dorée, assez foncée marquant la majorité du vin, du haut de ses 18 ans. Un nez... difficile à décrire et à circonscrire au départ. Foin, miel, pêches, abricots, pommes, léger côté botrytisé s'entremêlent dans une valse enivrante mais dont le rythme et la cadence ne sont pas toujours en harmonie à l'ouverture, laissant peu de repères. Ça se place à l'aération et avec le temps, indiquant à quel point il reste encore du temps au temps!

En bouche, la magie s'opère. Certains sur le forum ont indiqué que ce millésime était plutôt lourd... je n'ai pas d'autre repère. La perception d'un équilibre noble, bien installé entre le sucre, l'acidité, le côté fruité et presque safrané, belle fraîcheur et ce malgré les 14% d'alcool. Wow! Sans compter cette longueur qui fait dire à tout le monde, quel vin excellent... que j'ai envie de le boire lentement. Une gorgé d'éternité après l'autre, j'aurais souhaité que ces deux heures ne se terminent jamais...

Bref... un moment magique, plein de sens et une rencontre unique étant donné le moment et le type de bouteille. Je voulais vous le partager! À bientôt!

Simon

Un grand vin mais surtout un très grand cr, Simon, merci du partage. Très touchant et je suis heureux de voir que le vin fut à la hauteur de votre moment privilégié.

Superbe cr en effet.

Vraiment un beau message Simon. Merci du partage !

Merci messieurs, content de voir que j'ai pu vous transmettre l'intensité et l'importance du moment.

Au plaisir,

Simon

Simon, bien content que vous ayez vécu ce moment. Je suis convaincu qu'il restera longtemps gravé dans ta mémoire.

Merci du partage.