Chignin Bergeron 2005 Gilles Berlioz
Page 1 sur 1
Chignin Bergeron 2005 Gilles Berlioz
Lors de la dégustation des Chignin Bergeron du millésime 2004 Gille Berlioz s'en tirait avec les honneurs - même si le vin n'était pas exceptionnel - dans une année difficile où le manque de maturité avait fait beaucoup de dégats chez de nombreux propriétaires du secteur. Aussi j'étais assez circonpect avant d'ouvrir cette bouteille du millésime suivant et me demandait si elle allait vraiment satisfaire un "quarteron" de dégustateurs très exigeants.
Heureuse surprise, le vin s'est montré clair, frais, puissant et charmeur avec ce "je ne sais quoi" de race qui signe les vrais vins de sol que l'on peut alors qualifier "de terroir". Notes de fleurs blanches, de verveine, de tilleul mêlées à de fins arômes de fruits jaunes en finale. Un vrai régal à l'équilibre magistral et noble de vrai vin sec. Sans doute me dira t'on qu'il subsiste 4 grammes...mais ils ne se sentent pas le moins du monde!
J'ai défendu le potentiel de cette appellation pendant de nombreuses années et j'avoue que je me lassais un peu des dernières bouteilles tastées car elles se montraient trop souvent "sucreuses", FML non faîtes et pleine de CO2. Le chignin semblait devenir un vin de soif conçu pour les touristes alpins...Mais je suis rassuré, il en est encore quelques uns qui cherchent l'excellence et Gilles Berlioz est le plus talentueux de ceux que j'ai dégusté récemment. Félicitations à lui!
Heureuse surprise, le vin s'est montré clair, frais, puissant et charmeur avec ce "je ne sais quoi" de race qui signe les vrais vins de sol que l'on peut alors qualifier "de terroir". Notes de fleurs blanches, de verveine, de tilleul mêlées à de fins arômes de fruits jaunes en finale. Un vrai régal à l'équilibre magistral et noble de vrai vin sec. Sans doute me dira t'on qu'il subsiste 4 grammes...mais ils ne se sentent pas le moins du monde!
J'ai défendu le potentiel de cette appellation pendant de nombreuses années et j'avoue que je me lassais un peu des dernières bouteilles tastées car elles se montraient trop souvent "sucreuses", FML non faîtes et pleine de CO2. Le chignin semblait devenir un vin de soif conçu pour les touristes alpins...Mais je suis rassuré, il en est encore quelques uns qui cherchent l'excellence et Gilles Berlioz est le plus talentueux de ceux que j'ai dégusté récemment. Félicitations à lui!
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Aujourd'hui à 20:19 par Yves Martineau
» Semaine du 10 novembre 2024
Aujourd'hui à 8:13 par Michel Therrien
» Les petites pépites pour le temps des fêtes?
Hier à 11:57 par Alain Roy
» Semaine du 17 mars 2024
Dim 10 Nov 2024 - 15:21 par Yves Martineau
» Un très beau mercurey blanc... en magnum!
Dim 10 Nov 2024 - 14:13 par Yves Martineau
» Semaine du 3 novembre 2024
Sam 9 Nov 2024 - 19:31 par Patrick Ayotte
» Semaine du 27 octobre 2024
Sam 9 Nov 2024 - 11:51 par Yves Martineau
» Semaine du 20 octobre 2024
Lun 4 Nov 2024 - 9:14 par Patrick Ayotte
» Événement Clos Rougeard (21 octobre 2024)
Mar 29 Oct 2024 - 16:57 par PeteVungoc
» Semaine du 13 octobre 2024
Lun 28 Oct 2024 - 20:22 par Frederick Blais
» Les loteries 2024
Ven 25 Oct 2024 - 18:04 par Ludwig Desjardins
» Rubrique thé de l'année
Dim 13 Oct 2024 - 12:09 par PeteVungoc
» Semaine du 6 octobre 2024
Sam 12 Oct 2024 - 10:57 par Yves Martineau
» Semaine 23 Septembre 2024
Mar 8 Oct 2024 - 18:38 par François Guyot
» Semaine du 29 septembre 2024
Mar 8 Oct 2024 - 18:12 par François Guyot