Dégustation verticale Joblot
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Vincent Messier-Lemoyne
Julien Martel
Michel Therrien
Pierre Séguin
8 participants
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Dégustation verticale Joblot
Domaine Joblot : Dégustation verticale de 11 millésimes de Givry 1er cru Clos du Cellier aux Moines 2008-1991
Mardi 21 septembre à 18h30 au restaurant La Colombe, rue Duluth
30 places disponibles, 80$
Plus de détails au http://www.seguinrobillard.ca/Seguin_&_Robillard/Evenements.html
Mardi 21 septembre à 18h30 au restaurant La Colombe, rue Duluth
30 places disponibles, 80$
Plus de détails au http://www.seguinrobillard.ca/Seguin_&_Robillard/Evenements.html
Pierre Séguin- Messages : 325
Date d'inscription : 03/06/2009
Localisation : L'Assomption, Qc.,Canada
Re: Dégustation verticale Joblot
Compte-rendu personnel d'une dégustation historique:
http://www.seguinrobillard.ca/Seguin_&_Robillard/Blog/Entries/2010/9/24_Hommage_aux_Joblot.html
http://www.seguinrobillard.ca/Seguin_&_Robillard/Blog/Entries/2010/9/24_Hommage_aux_Joblot.html
Pierre Séguin- Messages : 325
Date d'inscription : 03/06/2009
Localisation : L'Assomption, Qc.,Canada
Re: Dégustation verticale Joblot
Merci Pierre.
Super beau texte............tu devrais écrire plus souvent ou plutôt à nouveau!
Super beau texte............tu devrais écrire plus souvent ou plutôt à nouveau!
_________________
WineBoy
La dégustation à l'aveugle est une grande leçon d'humilité.
Michel Therrien- Messages : 10010
Date d'inscription : 01/06/2009
Age : 61
Localisation : Joliette
Re: Dégustation verticale Joblot
Très intéressant compte rendu. J'ai beaucoup aimé le texte d'introduction.
Julien Martel- Messages : 1830
Date d'inscription : 03/06/2009
Age : 43
Localisation : Ville Mont-Royal
Re: Dégustation verticale Joblot
Très beau texte en effet qui incite à encaver quelques Joblot!
_________________
"Mes goûts sont simples, je me contente aisément de ce qu'il y a de meilleur" - Winston Churchill
Vincent Messier-Lemoyne- Messages : 8731
Date d'inscription : 12/05/2009
Age : 40
Localisation : Montréal
Re: Dégustation verticale Joblot
Vincent Messier-Lemoyne a écrit:Très beau texte en effet qui incite à encaver quelques Joblot!
C'est drôle car pour ma part, j'ai toujours acheté des Joblot pour les encaver une dizaine d'années, à l'exception des 2007 qui sont gourmands et si délicieux actuellement. De façon généralisée, et non directement reliée à ton commentaire, je suis surpris de voir que les gens achètent les Joblot pour une consommation rapide.
Julien Martel- Messages : 1830
Date d'inscription : 03/06/2009
Age : 43
Localisation : Ville Mont-Royal
Re: Dégustation verticale Joblot
Émouvant cr Pierre, surtout avec toute la mise en contexte. Merci de partager.
En plus j'ai appris un joli mot...."déliquescent"
En plus j'ai appris un joli mot...."déliquescent"
Yves Martineau- Messages : 8370
Date d'inscription : 07/06/2009
Localisation : Montréal
Re: Dégustation verticale Joblot
Bravo Pierre,
oui nous avons vécu une très belle dégustation très instructive et je suis un peu surpris qu'il n'y avait pas d'avantage de gens du site de la paulée en ligne. Je crois que cette verticale m'a permi de comprendre les différents millésimes en bourgogne.
Et le compte-rendu de Pierre est une image réelle de cette soirée.
bye,bye
Martin Letarte- Messages : 474
Date d'inscription : 22/08/2009
Re: Dégustation verticale Joblot
Martin Letarte a écrit:
je suis un peu surpris qu'il n'y avait pas d'avantage de gens du site de la paulée en ligne
J'ai appris que cette dégustation avait lieu une semaine d'avance. Malheureusement j'avais déjà des plans, qui étaient impossibles à déplacer avec un préavis aussi petit. J'aurais bien voulu y être, surtout que le prix était intéressant pour 11 vins en dégustation.
Julien Martel- Messages : 1830
Date d'inscription : 03/06/2009
Age : 43
Localisation : Ville Mont-Royal
Re: Dégustation verticale Joblot
Julien Martel a écrit:Vincent Messier-Lemoyne a écrit:Très beau texte en effet qui incite à encaver quelques Joblot!
C'est drôle car pour ma part, j'ai toujours acheté des Joblot pour les encaver une dizaine d'années, à l'exception des 2007 qui sont gourmands et si délicieux actuellement. De façon généralisée, et non directement reliée à ton commentaire, je suis surpris de voir que les gens achètent les Joblot pour une consommation rapide.
Avant que Pierre me fasse déguster des 96 et 99 l'an dernier, je les buvais rapidement, du genre dans l'année qui suit. Maintenant, je me retiens d'en ouvrir trop dans l'année courante. Il m reste une dizaine de 05 et 06 que je n'ouvrirai pas avant euh ... 2015-16. Je n'ai pas acheté de 2007, mais les 2008 suivront le même traitement d'encavement.
Merci pour ce beau texte Pierre
Luc Rodrigue- Messages : 649
Date d'inscription : 03/06/2009
Localisation : Montréal
Re: Dégustation verticale Joblot
Merci à tous pour ces bons mots.
J'ai envie de vous dire (sans prétention) que mon texte est à l'image des Joblot et de leurs vins: pas parfait mais inspiré!
Pierre
J'ai envie de vous dire (sans prétention) que mon texte est à l'image des Joblot et de leurs vins: pas parfait mais inspiré!
Pierre
Pierre Séguin- Messages : 325
Date d'inscription : 03/06/2009
Localisation : L'Assomption, Qc.,Canada
Re: Dégustation verticale Joblot
Dernière dégustation de l’été, équinoxe oblige. En plus du très beau compte-rendu de Pierre, je transcris mes notes ici question d’apporter une 2e voix au CR bien que nos impressions se rejoignent sur plusieurs points. Merci Pierre d’ailleurs pour le texte d’introduction qui reflète bien nos discussions de fin de soirée.
Donc, une volée de 11 millésimes du Givry 1er cru Clos du Cellier aux moines. Ce terroir, cerné par le Petit Marole et le Clos Grand Marole à gauche et le Clos de la Servoisine à droite, possède la meilleure exposition de la commune, en plein sud-est. La commune de Givry étant au pied d’un cirque naturel.
En guise de mise en bouche:
Bourgogne Côte Chalonnaise Les Clous 2008 A. et P. de Villaine
Robe jaune pâle à reflets verts, cristalline. Le nez est précis sur les fleurs blanches, le tilleul, le citron. La bouche représente un très bel équilibre acidité/gras. Superbe bouteille pour le prix. Très bien.
Les vins furent servis à découvert en deux séries (2008 à 1997, puis 1996 à 1991) par ordre décroissant de millésime :
2008
Un vin encore jeune, qui doit digérer son bois, et donc plus difficile à cerner. La robe rubis est profonde et cristalline. Le nez présente un assemblage de griotte, de cuir, de caramel écossais et de sous-bois dans un ensemble racé. La bouche révèle encore l’élevage, derrière lequel se cachent des fruits rouges et de la mûre. Belle bouteille.
2006
Robe rubis montrant un disque vieux rose lui donnant de la richesse. Nez frais, aérien, sur les fruits rouges (griottes, framboise), qui présente un air de parenté avec le 1999 à l’aération. Bouche sur le cassis et la fumée. Bien droit. Très bien.
2005
Robe rubis profond. Nez retenu sur le fruit rouge avec une maturité digne du millésime, racé. Une grande structure en bouche sur les fruits rouges et noirs avec une longue finale. Très bien+
2003
Robe brillante rubis avec un début de disque grenat et vieux rose. Le nez tire sur le caramel salé, avec un peu de fumée, de bacon. Un beau fruit en bouche, fraîche par rapport à l’idée préconçue du millésime, avec du cassis. Un beau retour d’acidité et de fruit en finale. Très bien+
1999
Robe rubis limpide avec des reflets vieux rose. Le nez présente une trace lactée, de vieux brie, au départ pour laisser place aux fruits rouges et au bacon. En bouche, tout est sur la structure, la retenue. Je la laisserais facilement couchée plusieurs années. Bien+(Très bien)
1997, en magnum
Robe peu profonde rubis tuilée. Nez sur le pissenlit, la betterave, la terre. En bouche, moufette, pois vert, de l’acidité tout en rondeur, feuilles mortes. Une longue finale sur le cuir et les fruits compotés. Bien.
1996
Robe rubis-grenat tuilée et troublée par une bonne quantité de dépôt (pour ce qui est de mon verre). Un nez poussiéreux sur la rose séchée, les fruits cuits et le sous-bois. La bouche est évoluée avec encore un beau fruit, des épices (muscade) et du sous-bois, bien équilibrée. La finale, longue, est peut-être un peu sèche. Très bien+.
1995
Plusieurs doutes sur ces bouteilles ; la troisième, à mon sens, présentait un meilleur nez. Mes notes sont valables pour cette dernière bouteille. Robe rubis-grenat avec un début de tuilage sur le disque. Beau nez aérien et frais à l’ouverture, mais tirant sur les fruits cuits à l’aération. La bouche est plus acidulée sans être molle. Une déception quant à la qualité moyenne des trois bouteilles (et peut-être quant au millésime), mais la dernière me paraissait tout de même satisfaisante!
1994
Robe entre le rubis et le grenat montrant de l’évolution. Nez fruité et végétal (roses séchées, ligneux). Bouche souple qui suit le nez avec des épices et une présence d’alcool!??!? Bien.
1993
Robe rubis profonde tuilée. Très beau nez racé sur le fruit, la confiture, le tabac. La bouche est complexe et profonde avec de la mûre cuite et un côté animal. Grande finale. Mon vin de la soirée. Très bien+
1991
Robe résolument grenat tuilée. Nez d’épinard, de feuilles mortes, de lard et de champignon. La bouche suit, avez une prédominance d’acidité et une courte finale. A déjà tout donné.
Les prolongations:
Givry 1er cru Clos du Cellier aux moines 2007 Domaine Joblot (Merci Martin)
Robe rubis cristalline. Nez charmeur sur la cerise et la mûre. L’attaque est tranchante. Bouche croquante sur la cerise qui s’arrondit par la suite. Se livre très bien maintenant. Très bien+
Givry 1er cru Clos de la Servoisine 2008 Domaine Joblot (Merci Madame le Juge)
Sans réelle prise de notes. Robe rubis. Nez sur le fruit croquant. La bouche s’apparente à celle du Cellier aux moines 2007. Bien.
Monthélie 1er cru Les Vignes-Rondes 2002 Domaine Rémi Jobard (mon offrande)
Un vin servi en aveugle à qui l’on a attribué l’ensemble (ou presque) des communes de Bourgogne. Robe grenat tuilée peu profonde mais encore bien brillante. Nez ayant encore du fruit et de la violette, mais donnant également dans les feuilles mortes, le champignon. La bouche suit sur le tertiaire pour conclure sur une finale honnête et une rétro de compote de fruits rouges. Plaisir, honnêteté sans chichi. Bien+ (Est-ce un vieillissement prématuré ou normal pour l’appellation?)
Corton Clos du roi 2005 Domaine De Montille (Merci Martin, en aveugle)
Notes prises sommairement. Robe grenat avec un disque tirant sur l’orangé. Nez aromatique sur les fruits rouges. L’attaque en bouche est bonne avec du fruit, un équilibre entre acidité et matière, de la terre. Finale très longue. Très bien.
Nuits-Saint-Georges 1er cru Les Rues de Chaux Cuvée Camille Rodier 2005 Hospices de Nuits, mise en bouteille par Raphaël Dubois (mon offrande)
Robe cerise à reflet grenat. Nez sur la griotte, les fruits noirs et les épices douces. En bouche, mûres, tarte aux bleuets et vanille se croisent sur une trame au grain perceptible. Un toasté apparaît en finale. Une bouteille plus intéressante par son origine (les hospices) que par son contenu.
Pour conclure:
- mon podium: 1993, 1996, 2007, 2003
- Ces vins vieillissent admirablement bien (jusqu’à 17 ans)!
- Depuis la dégustation des vins du Marquis d’Angerville, je suis toujours étonné de constater que « l’évolution » des robes n’obéit à aucune logique ! Certains millésimes tuilent plus rapidement que d’autres, certains présentent une robe évoluée alors que la bouche est encore fringante et vice-versa. Définitivement, le travail du producteur joue également un rôle en plus du vieillissement de la bouteille quant à la robe du vin.
Merci encore une fois Pierre d’avoir la patience de réunir de tels vins et de nous les faire partager.
Donc, une volée de 11 millésimes du Givry 1er cru Clos du Cellier aux moines. Ce terroir, cerné par le Petit Marole et le Clos Grand Marole à gauche et le Clos de la Servoisine à droite, possède la meilleure exposition de la commune, en plein sud-est. La commune de Givry étant au pied d’un cirque naturel.
En guise de mise en bouche:
Bourgogne Côte Chalonnaise Les Clous 2008 A. et P. de Villaine
Robe jaune pâle à reflets verts, cristalline. Le nez est précis sur les fleurs blanches, le tilleul, le citron. La bouche représente un très bel équilibre acidité/gras. Superbe bouteille pour le prix. Très bien.
Les vins furent servis à découvert en deux séries (2008 à 1997, puis 1996 à 1991) par ordre décroissant de millésime :
2008
Un vin encore jeune, qui doit digérer son bois, et donc plus difficile à cerner. La robe rubis est profonde et cristalline. Le nez présente un assemblage de griotte, de cuir, de caramel écossais et de sous-bois dans un ensemble racé. La bouche révèle encore l’élevage, derrière lequel se cachent des fruits rouges et de la mûre. Belle bouteille.
2006
Robe rubis montrant un disque vieux rose lui donnant de la richesse. Nez frais, aérien, sur les fruits rouges (griottes, framboise), qui présente un air de parenté avec le 1999 à l’aération. Bouche sur le cassis et la fumée. Bien droit. Très bien.
2005
Robe rubis profond. Nez retenu sur le fruit rouge avec une maturité digne du millésime, racé. Une grande structure en bouche sur les fruits rouges et noirs avec une longue finale. Très bien+
2003
Robe brillante rubis avec un début de disque grenat et vieux rose. Le nez tire sur le caramel salé, avec un peu de fumée, de bacon. Un beau fruit en bouche, fraîche par rapport à l’idée préconçue du millésime, avec du cassis. Un beau retour d’acidité et de fruit en finale. Très bien+
1999
Robe rubis limpide avec des reflets vieux rose. Le nez présente une trace lactée, de vieux brie, au départ pour laisser place aux fruits rouges et au bacon. En bouche, tout est sur la structure, la retenue. Je la laisserais facilement couchée plusieurs années. Bien+(Très bien)
1997, en magnum
Robe peu profonde rubis tuilée. Nez sur le pissenlit, la betterave, la terre. En bouche, moufette, pois vert, de l’acidité tout en rondeur, feuilles mortes. Une longue finale sur le cuir et les fruits compotés. Bien.
1996
Robe rubis-grenat tuilée et troublée par une bonne quantité de dépôt (pour ce qui est de mon verre). Un nez poussiéreux sur la rose séchée, les fruits cuits et le sous-bois. La bouche est évoluée avec encore un beau fruit, des épices (muscade) et du sous-bois, bien équilibrée. La finale, longue, est peut-être un peu sèche. Très bien+.
1995
Plusieurs doutes sur ces bouteilles ; la troisième, à mon sens, présentait un meilleur nez. Mes notes sont valables pour cette dernière bouteille. Robe rubis-grenat avec un début de tuilage sur le disque. Beau nez aérien et frais à l’ouverture, mais tirant sur les fruits cuits à l’aération. La bouche est plus acidulée sans être molle. Une déception quant à la qualité moyenne des trois bouteilles (et peut-être quant au millésime), mais la dernière me paraissait tout de même satisfaisante!
1994
Robe entre le rubis et le grenat montrant de l’évolution. Nez fruité et végétal (roses séchées, ligneux). Bouche souple qui suit le nez avec des épices et une présence d’alcool!??!? Bien.
1993
Robe rubis profonde tuilée. Très beau nez racé sur le fruit, la confiture, le tabac. La bouche est complexe et profonde avec de la mûre cuite et un côté animal. Grande finale. Mon vin de la soirée. Très bien+
1991
Robe résolument grenat tuilée. Nez d’épinard, de feuilles mortes, de lard et de champignon. La bouche suit, avez une prédominance d’acidité et une courte finale. A déjà tout donné.
Les prolongations:
Givry 1er cru Clos du Cellier aux moines 2007 Domaine Joblot (Merci Martin)
Robe rubis cristalline. Nez charmeur sur la cerise et la mûre. L’attaque est tranchante. Bouche croquante sur la cerise qui s’arrondit par la suite. Se livre très bien maintenant. Très bien+
Givry 1er cru Clos de la Servoisine 2008 Domaine Joblot (Merci Madame le Juge)
Sans réelle prise de notes. Robe rubis. Nez sur le fruit croquant. La bouche s’apparente à celle du Cellier aux moines 2007. Bien.
Monthélie 1er cru Les Vignes-Rondes 2002 Domaine Rémi Jobard (mon offrande)
Un vin servi en aveugle à qui l’on a attribué l’ensemble (ou presque) des communes de Bourgogne. Robe grenat tuilée peu profonde mais encore bien brillante. Nez ayant encore du fruit et de la violette, mais donnant également dans les feuilles mortes, le champignon. La bouche suit sur le tertiaire pour conclure sur une finale honnête et une rétro de compote de fruits rouges. Plaisir, honnêteté sans chichi. Bien+ (Est-ce un vieillissement prématuré ou normal pour l’appellation?)
Corton Clos du roi 2005 Domaine De Montille (Merci Martin, en aveugle)
Notes prises sommairement. Robe grenat avec un disque tirant sur l’orangé. Nez aromatique sur les fruits rouges. L’attaque en bouche est bonne avec du fruit, un équilibre entre acidité et matière, de la terre. Finale très longue. Très bien.
Nuits-Saint-Georges 1er cru Les Rues de Chaux Cuvée Camille Rodier 2005 Hospices de Nuits, mise en bouteille par Raphaël Dubois (mon offrande)
Robe cerise à reflet grenat. Nez sur la griotte, les fruits noirs et les épices douces. En bouche, mûres, tarte aux bleuets et vanille se croisent sur une trame au grain perceptible. Un toasté apparaît en finale. Une bouteille plus intéressante par son origine (les hospices) que par son contenu.
Pour conclure:
- mon podium: 1993, 1996, 2007, 2003
- Ces vins vieillissent admirablement bien (jusqu’à 17 ans)!
- Depuis la dégustation des vins du Marquis d’Angerville, je suis toujours étonné de constater que « l’évolution » des robes n’obéit à aucune logique ! Certains millésimes tuilent plus rapidement que d’autres, certains présentent une robe évoluée alors que la bouche est encore fringante et vice-versa. Définitivement, le travail du producteur joue également un rôle en plus du vieillissement de la bouteille quant à la robe du vin.
Merci encore une fois Pierre d’avoir la patience de réunir de tels vins et de nous les faire partager.
Re: Dégustation verticale Joblot
Alex Bélanger a écrit:
Pour conclure:
- mon podium: 1993, 1996, 2007, 2003
- Ces vins vieillissent admirablement bien (jusqu’à 17 ans)!
- Depuis la dégustation des vins du Marquis d’Angerville, je suis toujours étonné de constater que « l’évolution » des robes n’obéit à aucune logique ! Certains millésimes tuilent plus rapidement que d’autres, certains présentent une robe évoluée alors que la bouche est encore fringante et vice-versa. Définitivement, le travail du producteur joue également un rôle en plus du vieillissement de la bouteille quant à la robe du vin.
Merci encore une fois Pierre d’avoir la patience de réunir de tels vins et de nous les faire partager.
Merci Alex de prendre le temps de partager cette belle dégustation.
J'ajouterais que depuis longtemps la couleur en Bourgogne m'influence peu.........des robes dense et foncées en jeunesse avec un vin léger et des robes plus que pâles avec des vins puissants!
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WineBoy
La dégustation à l'aveugle est une grande leçon d'humilité.
Michel Therrien- Messages : 10010
Date d'inscription : 01/06/2009
Age : 61
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