Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
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Olivier Collin
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Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
Vincent Messier-Lemoyne a écrit:Je suis un peu surpris que Les Romains 2006 de Vacheron ait dépassé (à ce que j'en comprends) le 2005 par la tête et les épaules ...
J'étais sur l'impression que 2006 était un millésime en retrait par rapport à 2005 (mûr, puissant) et 2007 (pur, classique).
Selon les vignerons rencontrés lors de mon séjour à Sancerre.
2005 et 2006 sont des millésimes riches et semblables tandis que 2007 et surtout 2008 sont des millésimes classiques, droits et purs. Non loin de là, je me souviens l'an passé, que Mme Goisot me racontait aimer peu les 2006 car trop riches et un peu lourds.
Pour ce qui est des Romains 2005 et 2006, je ne suis pas surpris. il ne faut pas oublier la contamination toujours présente lors de ces dégustations alors que 2005 fut le premier vin et plusieurs parlaient de miel, de richesse......ça influence toujours un peu ou beaucoup. Allez Nicolas, viens défendre ton millésime préféré!
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WineBoy
La dégustation à l'aveugle est une grande leçon d'humilité.
Michel Therrien- Messages : 10010
Date d'inscription : 01/06/2009
Age : 61
Localisation : Joliette
Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
Pour les caractéristiques des millésimes, il me semble que que 2005 est riche et pas très acide, 2006 moins riche un peu, mais plus acide, donc peut-être plus harmonieux, mais que 2007 est plutôt difficile, voire herbacé. Avez-vous vraiment entendu parlé ou expérimenté de la grande qualité en 2007?
Franz-E. Schürch- Messages : 506
Date d'inscription : 15/06/2009
Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
1- La question du restaurant
Comme disait Marc Antoine: cuisine approximative Je ne recommanderais pas l'endroit, surtout à 60$ par personne ...
2- Les vins
Merci pour l'organisation Pierre.
La série Alphonse Mellot - Cuvée Edmond fut intéressante avec des vins aux profils assez différents.
1998 évolué avec quelques notes oxydatives sans être désagréable. Un sancerre à maturité
2000 plus boisé avec des légères traces d'élevage
2002 un nez très exotique, belle présence en bouche supportée par l’acidité, une belle longueur
2006 parait très pale comparativement aux autres ... à la limite de la bouteille défectueuse à mon avis.
Deuxième série :
Vacheron Les Romains 2005 : Très charmeur, un nez exotique d’ananas et de mangue qui, à mes yeux se rapprochait du Edmond 2002 que j’aimais déjà beaucoup aimé. La bouche est ample mais non dénaturée qui demeure assez fidèle à ma conception d’un sancerre. Vincent … j’ai personnellement aimé mieux aimé que 2006.
Vacheron Les Romains 2006 : Un vin que j’ai eu plus de difficulté à lire. Il est très bien aussi, on y trouve une expression minérale plus marqué que le 2005 moins je trouve qu’en général le vin est moins expressif et plus strict que 2005.
Pascal Jolivet Cuvée Sauvage 2006 : Première expérience avec cette cuvée. Le vin souffre un peu de la comparaison avec les deux vins Vacheron. Un beau nez pur offrant des arome de pomme verte, de citron ainsi qu’une pointe de minéralité. En bouche c’est bien aussi mais le vin me semble un peu cher à 55$.
Pascale Cotat Monts Damnés 2007 : J’ai bu quelque François et Pascal Cotat 2007 au cours des derniers mois sans toutefois les mettre en comparaison. Mon impression était toujours que ces vins étaient murs et la majorité du temps moins tranchant que j’anticipais. Or c’est à la comparaison que l’on s’appercoit que le mont damnée offre une très belle acidité. Le vin offre un beau nez dans des arômes comparable au Jolivet Sauvage avec en plus cette petite touche mentholée (thé des bois) que j’associe au vins de Cotat.
À présent, je ne suis vraiment pas déçu des 2007 qui me semblent très bien balancé. J’étais sur l’impression que le sauvignon de loire était l’un des cépages étant sortie gagnant de ce millésime.
Francois Cotat Monts Damnés 2003 : Dans un registre très différent on dénote clairement l’effet millésime. Au nez c’est mur à des notes de pommes et de citron confit. La bouche est moins tranchante et laisse paraître de petites traces d’alcool. S’apprécie quand même ce vin qui offre une pleine expression du millésime. Merci Francois Dagesse
Comme disait Marc Antoine: cuisine approximative Je ne recommanderais pas l'endroit, surtout à 60$ par personne ...
2- Les vins
Merci pour l'organisation Pierre.
La série Alphonse Mellot - Cuvée Edmond fut intéressante avec des vins aux profils assez différents.
1998 évolué avec quelques notes oxydatives sans être désagréable. Un sancerre à maturité
2000 plus boisé avec des légères traces d'élevage
2002 un nez très exotique, belle présence en bouche supportée par l’acidité, une belle longueur
2006 parait très pale comparativement aux autres ... à la limite de la bouteille défectueuse à mon avis.
Deuxième série :
Vacheron Les Romains 2005 : Très charmeur, un nez exotique d’ananas et de mangue qui, à mes yeux se rapprochait du Edmond 2002 que j’aimais déjà beaucoup aimé. La bouche est ample mais non dénaturée qui demeure assez fidèle à ma conception d’un sancerre. Vincent … j’ai personnellement aimé mieux aimé que 2006.
Vacheron Les Romains 2006 : Un vin que j’ai eu plus de difficulté à lire. Il est très bien aussi, on y trouve une expression minérale plus marqué que le 2005 moins je trouve qu’en général le vin est moins expressif et plus strict que 2005.
Pascal Jolivet Cuvée Sauvage 2006 : Première expérience avec cette cuvée. Le vin souffre un peu de la comparaison avec les deux vins Vacheron. Un beau nez pur offrant des arome de pomme verte, de citron ainsi qu’une pointe de minéralité. En bouche c’est bien aussi mais le vin me semble un peu cher à 55$.
Pascale Cotat Monts Damnés 2007 : J’ai bu quelque François et Pascal Cotat 2007 au cours des derniers mois sans toutefois les mettre en comparaison. Mon impression était toujours que ces vins étaient murs et la majorité du temps moins tranchant que j’anticipais. Or c’est à la comparaison que l’on s’appercoit que le mont damnée offre une très belle acidité. Le vin offre un beau nez dans des arômes comparable au Jolivet Sauvage avec en plus cette petite touche mentholée (thé des bois) que j’associe au vins de Cotat.
À présent, je ne suis vraiment pas déçu des 2007 qui me semblent très bien balancé. J’étais sur l’impression que le sauvignon de loire était l’un des cépages étant sortie gagnant de ce millésime.
Francois Cotat Monts Damnés 2003 : Dans un registre très différent on dénote clairement l’effet millésime. Au nez c’est mur à des notes de pommes et de citron confit. La bouche est moins tranchante et laisse paraître de petites traces d’alcool. S’apprécie quand même ce vin qui offre une pleine expression du millésime. Merci Francois Dagesse
Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
Les grands domaines (pour ne pas dire les domaines tout court) de l'appellation reste, en général, méconnus. Et en fait, c'est bien tant mieux ! Que de plaisir à déguster des sauvignons, oui très jeune peut être, mais en même temps vigoureux et puissant.
Dans le Grand Guide des Vins de France de Bettane et Desseauve, il n'est pas rare de constater des fixations de plateau de maturité de 15, voire 20 ans et ce, pour les blancs. Je n'ai pas de doute que certains des vins dégustés hier soir, auront une belle et longue vie devant eux. Et dire, que pas très loin de là, ils peinent à contrer les effets pervers du temps sur leurs productions qu'elles soient d'origine modeste ou de crus issus de terroir renommé. L'oxydation prématurée ne semble pas avoir prise sur la région de Sancerre.
Premier étonnement, les vins de bienvenue gracieusement offerts par Michel et Daniel. Les cuvées de base chez Mellot et chez Boulay. Que de plaisir à savourer la grandeur du Domaine La Moussière 2002 avec ses arômes prononcés d'agrumes et une belle intensité en bouche qui surprend. Pas étonnant que le vin de la soirée ait été sa grande soeur, la cuvée Edmond 2002. Un millésime très réussit chez Mellot. Et que dire de la bouteille de Boulay 2001. 8 ans et toujours aussi belle et gracieuse.
Ensuite, la série de Mellot, Edmond. Le 98, quoique touché que très légèrement par l'oxydation, il n'en demeure pas moins que le mélange de fleurs blanches et d'agrumes dégagent un doux parfum qui ne fait que renforcer mon plaisir à boire ces belles cuvées. Et ce plaisir n'en était pas à sa fin, il ne faisait que commencer. Le 2000 tout en puissance mais différent des 3 autres, c'est-à-dire beaucoup plus noisettes, fumé, grillés, pas tout à fait digéré son bois mais tout en charme et encore un ado. Tout comme le 2002, mais quelle élégance. J'ai eu la chance de le déguster à plusieurs reprises et quel bonheur de constater qu'une autre attend en cave, mon envie de l'ouvrir ... mais pas tout de suite. La pole position de la soirée. Tant qu'au 2006, je demeure un peu surpris de la différence d'intensité avec les autres à ses côtés qui me porte à penser ou à envisager que ce millésime (malgré la haute estime de ce millésime souvent fois entendu de la bouche même des producteurs lors d'une visite de leur domaine l'année dernière) est moins bien réussit et pas plus tard que le line-up suivant me fera préférer ce millésime par rapport aux autres à ses côtés (Les Romains de Vacheron).
Et justement, un autre beau service auquel s'est rajouté une (autre) offrande inatendue mais cette fois de François, soit le François Cotat Monts Damnés 2003. Pour moi, le Romain 2005 de Vacheron m'est apparu plus expressif, moins de retenu, frisant presque l'excessif comme peuvent l'être les vins issus des régions émergentes. Ça demeure très beau tout de même mais moins rafiné que le 2006 qui suivait. Ce dernier tout en beauté et un équilibre en bouche avec sa minéralité et son acidité franche font un mariage réussit ... oui en effet, c'est un brin rare. Le Jolivet, une première expérience pour moi, s'est révélé sur des arômes de fruits jaunes et de bonne ampleur en bouche. Un vin en devenir. Le Monts Damnés de Pascal Cotat 2007 tant qu'à moi était beaucoup trop jeune qui ne me permettait pas tout à fait de l'apprécier à sa juste valeur. Toutefois, je lui reconnais des qualités qui me feront l'aimer dans 3-4 ans tant il est bien supporté par une acidité vive pour le moment. Tandis que son cousin, François avec le 2003 trahissait aisément le millésime avec son acidité basse et de légère touche de sucre mais la longueur demeure toujours aussi impréssionnante chez ce producteur.
Une soirée comme je les aime (côté vins) mais qui aurait été encore mieux apprécié si l'espace dans le resto avait été plus accomodante pour la gang de fous que nous sommes et que les serveurs n'ont pas tout à fait compris malgré la tonne d'indices éparpillés à gauche et à droite sur nos tables. Mais bon, faut dire qu'on est gâté en ta... dans les autres restos que nous avons l'habitude de fréquenter. Pour la bouffe, j'ai apprécié mes assiettes sans être renversé. Et c'est vrai que c'est bruillant les fenêtres ouvertes.
Et pour une récidive, il est certain que je suis preneur.
Dans le Grand Guide des Vins de France de Bettane et Desseauve, il n'est pas rare de constater des fixations de plateau de maturité de 15, voire 20 ans et ce, pour les blancs. Je n'ai pas de doute que certains des vins dégustés hier soir, auront une belle et longue vie devant eux. Et dire, que pas très loin de là, ils peinent à contrer les effets pervers du temps sur leurs productions qu'elles soient d'origine modeste ou de crus issus de terroir renommé. L'oxydation prématurée ne semble pas avoir prise sur la région de Sancerre.
Premier étonnement, les vins de bienvenue gracieusement offerts par Michel et Daniel. Les cuvées de base chez Mellot et chez Boulay. Que de plaisir à savourer la grandeur du Domaine La Moussière 2002 avec ses arômes prononcés d'agrumes et une belle intensité en bouche qui surprend. Pas étonnant que le vin de la soirée ait été sa grande soeur, la cuvée Edmond 2002. Un millésime très réussit chez Mellot. Et que dire de la bouteille de Boulay 2001. 8 ans et toujours aussi belle et gracieuse.
Ensuite, la série de Mellot, Edmond. Le 98, quoique touché que très légèrement par l'oxydation, il n'en demeure pas moins que le mélange de fleurs blanches et d'agrumes dégagent un doux parfum qui ne fait que renforcer mon plaisir à boire ces belles cuvées. Et ce plaisir n'en était pas à sa fin, il ne faisait que commencer. Le 2000 tout en puissance mais différent des 3 autres, c'est-à-dire beaucoup plus noisettes, fumé, grillés, pas tout à fait digéré son bois mais tout en charme et encore un ado. Tout comme le 2002, mais quelle élégance. J'ai eu la chance de le déguster à plusieurs reprises et quel bonheur de constater qu'une autre attend en cave, mon envie de l'ouvrir ... mais pas tout de suite. La pole position de la soirée. Tant qu'au 2006, je demeure un peu surpris de la différence d'intensité avec les autres à ses côtés qui me porte à penser ou à envisager que ce millésime (malgré la haute estime de ce millésime souvent fois entendu de la bouche même des producteurs lors d'une visite de leur domaine l'année dernière) est moins bien réussit et pas plus tard que le line-up suivant me fera préférer ce millésime par rapport aux autres à ses côtés (Les Romains de Vacheron).
Et justement, un autre beau service auquel s'est rajouté une (autre) offrande inatendue mais cette fois de François, soit le François Cotat Monts Damnés 2003. Pour moi, le Romain 2005 de Vacheron m'est apparu plus expressif, moins de retenu, frisant presque l'excessif comme peuvent l'être les vins issus des régions émergentes. Ça demeure très beau tout de même mais moins rafiné que le 2006 qui suivait. Ce dernier tout en beauté et un équilibre en bouche avec sa minéralité et son acidité franche font un mariage réussit ... oui en effet, c'est un brin rare. Le Jolivet, une première expérience pour moi, s'est révélé sur des arômes de fruits jaunes et de bonne ampleur en bouche. Un vin en devenir. Le Monts Damnés de Pascal Cotat 2007 tant qu'à moi était beaucoup trop jeune qui ne me permettait pas tout à fait de l'apprécier à sa juste valeur. Toutefois, je lui reconnais des qualités qui me feront l'aimer dans 3-4 ans tant il est bien supporté par une acidité vive pour le moment. Tandis que son cousin, François avec le 2003 trahissait aisément le millésime avec son acidité basse et de légère touche de sucre mais la longueur demeure toujours aussi impréssionnante chez ce producteur.
Une soirée comme je les aime (côté vins) mais qui aurait été encore mieux apprécié si l'espace dans le resto avait été plus accomodante pour la gang de fous que nous sommes et que les serveurs n'ont pas tout à fait compris malgré la tonne d'indices éparpillés à gauche et à droite sur nos tables. Mais bon, faut dire qu'on est gâté en ta... dans les autres restos que nous avons l'habitude de fréquenter. Pour la bouffe, j'ai apprécié mes assiettes sans être renversé. Et c'est vrai que c'est bruillant les fenêtres ouvertes.
Et pour une récidive, il est certain que je suis preneur.
Pierre Beauregard- Messages : 3105
Date d'inscription : 03/06/2009
Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
J'avais oublié.....merci Pierre pour ton excellent texte/CR qui rejoint à peu de choses près l'ensemble de mes perceptions! Je ferai bientôt (après le championnat de golf du club, à la FDS du travail) des CR de mes 5 visites chez des producteurs du sancerrois.
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WineBoy
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Michel Therrien- Messages : 10010
Date d'inscription : 01/06/2009
Age : 61
Localisation : Joliette
Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
Je ne savais trop où mettre ce lien. Cette discussion me semblait tout indiquée: http://lapassionduvin.com/phorum/read.php?5,345782
_________________
"Mes goûts sont simples, je me contente aisément de ce qu'il y a de meilleur" - Winston Churchill
Vincent Messier-Lemoyne- Messages : 8731
Date d'inscription : 12/05/2009
Age : 40
Localisation : Montréal
Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
Vincent Messier-Lemoyne a écrit:Je ne savais trop où mettre ce lien. Cette discussion me semblait tout indiquée: http://lapassionduvin.com/phorum/read.php?5,345782
Merci Vincent!
Une tournée assez incroyable. Quelle belle lecture. Bien content de pouvoir comparer mes notes de dégustations. J'ai été pratiquement aux mêmes adresses mais il en a fait encore plus! J'aurai fort probablement une caisse de 12 de Comtesse 2007 de chez Boulay.....miam miam comme dirait Arnaud!
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Michel Therrien- Messages : 10010
Date d'inscription : 01/06/2009
Age : 61
Localisation : Joliette
Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
Michel Therrien a écrit:J'aurai fort probablement une caisse de 12 de Comtesse 2007 de chez Boulay.....miam miam comme dirait Arnaud!
Est-ce que ce vin sera disponible en IP?
Les Monts Damnés 2007 est vraiment beau, j'en ai ouvert une samedi!
Dernière édition par Ludwig Desjardins le Lun 28 Sep 2009 - 23:09, édité 1 fois
Ludwig Desjardins- Messages : 5774
Date d'inscription : 05/06/2009
Localisation : Montréal
Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
Ludwig Desjardins a écrit:Michel Therrien a écrit:J'aurai fort probablement une caisse de 12 de Comtesse 2007 de chez Boulay.....miam miam comme dirait Arnaud!
Est-ce que ce vin sera disponible en IP?
Le Mont Damné 2007 est vraiment beau, j'en ai ouvert une samedi!
Il y aura Clos de Beaujeu comme d'habitude.
Comtesse.....je ne pense pas mais en écrivant à Rézin....on ne sait jamais!
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WineBoy
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Michel Therrien- Messages : 10010
Date d'inscription : 01/06/2009
Age : 61
Localisation : Joliette
Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
Michel Therrien a écrit:Ludwig Desjardins a écrit:Michel Therrien a écrit:J'aurai fort probablement une caisse de 12 de Comtesse 2007 de chez Boulay.....miam miam comme dirait Arnaud!
Est-ce que ce vin sera disponible en IP?
Le Mont Damné 2007 est vraiment beau, j'en ai ouvert une samedi!
Il y aura Clos de Beaujeu comme d'habitude.
Comtesse.....je ne pense pas mais en écrivant à Rézin....on ne sait jamais!
Ludwig,
je te conseille également le clos de beaujeu, j'ai une petite préférence pour celui là d'ailleurs et toi Michel?
je devrais mettre la main sur un truc plutôt rare de chez Boulay et très hâte d'y gouter...je vous en recause si ca marche!
si on reste dans Sancerre, mettez la pression à Balthazar pour obtenir les rouge de Pinard!! j'ai recu mon vendange entière c'est de la balle!
Invité- Invité
Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
J'ai déjà du Beaujeu 2006 en cave, et tu peux être certain que le 2007 suivra...
Ludwig Desjardins- Messages : 5774
Date d'inscription : 05/06/2009
Localisation : Montréal
Re: Dégustation Sancerre blanc - Mercredi 19 août
Je viens d'ouvrir une Edmond 2006 bouchonnée, il me semble que plusieurs en ont eu récemment...
Je pense que l'échange se fera contre autre chose.
Je pense que l'échange se fera contre autre chose.
Ludwig Desjardins- Messages : 5774
Date d'inscription : 05/06/2009
Localisation : Montréal
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